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Faire mémoire des défunts

parlons-mort-alliance-vita1000 photos verbatim pour faire mémoire des défunts

Et si parler des morts nous aidait à vivre ?

A l’occasion du 2 novembre 2016, jour des défunts, où l’on fait mémoire dans le recueillement des êtres chers qui nous ont quittés, Alliance VITA publie un album d’images et de réflexions tirant les conclusions de sa grande enquête de rue « Parlons la mort ».

A l’issue de cette enquête, Alliance VITA a estimé que le fruit des quelques 2 000 rencontres avec des personnes dans la rue et des plus de 1 000 photographies verbatim recueillies méritait d’être valorisé et partagé tant les messages recueillis sont de véritables « trésors ».

D’où le contenu de cet ouvrage de 72 pages, avec :

  • une sélection de 27 photographies verbatim en pleine-page de personnes qui ont partagé ce que « la mort d’un proche » leur a « appris sur la vie ».
  • cinq contributions de personnalités reconnues pour leur réflexion et leur engagement sur les sujets de la fin de vie, de la mort et du deuil.

A Strasbourg, nos membres engagés sont allés à la rencontre des personnes dans la rue, afin de recueillir leurs témoignages mais aussi leurs sentiments, sur la fin de vie d’un proche. Ce fut l’occasion de très belles rencontres et d’une véritable réflexion sur la mort qui fait partie de la vie. Nous y sommes tous confrontés d’où l’importance de ne pas l’occulter.

Les cinq contributions

  • A partir de ces conversations « essentielles », Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et fondateur du service d’écoute SOS Fin de vie, constate que la conscience de la mort favorise le sentiment d’une fraternité universelle.
  • Christian de Cacqueray tire de son expérience du service funéraire l’importance des rites de deuil qui humanisent et permettent la croissance personnelle.
  • Anne Davigo-Le Brun travaille avec ceux qu’elle accompagne pour qu’ils puissent tirer des deuils, aussi douloureux ou violents soient-ils, des forces vitales, en leur donnant le sens d’un précieux héritage immatériel.
  • Tanguy Chatel revient, en sociologue, sur le tabou incontournable de la fin de vie en montrant qu’il s’est largement déplacé vers les rites de deuil, trop souvent escamotés.
  • Enfin, le philosophe Jacques Ricot explique comment peut se conjuguer le verbe mourir, mot qui incite à consentir aux limites de la condition humaine.

Par cette publication, Alliance VITA souhaite :

  • alerter sur l’appauvrissement et l’accélération des rites de deuils dont souffrent de plus en plus nos contemporains ;
  • encourager la libération de la parole et l’accompagnement des personnes endeuillées, afin de mieux envisager la mort, pour mieux vivre.

Pour visualiser le livre en format PDF :version intégrale basse définition

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