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Service de la Solidarité

La fraternité, un défi à relever

Introduction – Présentation:

La fraternité ! Un défi à relever

A travers ces pages du site diocésain, notre service en lien avec l’assemblée diocésaine pour la solidarité, souhaitons en priorité vous donner la possibilité de trouver réponses à vos questions. Puisse ces quelques pages vous livrer d’autres informations et être l’occasion d’entrer en dialogue avec nous, par vos partages d’expériences dans le domaine de la solidarité et de la fraternité… Et être mis à profit à l’ensemble des communautés de paroisses ou acteurs au « service du frère et de la sœur »

Notre mission :

  • Animer l’assemblée diocésaine pour la solidarité et assurer de la mise en œuvre les décisions prises.
  • Accompagner les conseils et commission de solidarités des 12 zones pastorales
  • Accompagner les membres des Equipes d’Animation Pastorale « solidarité » des communautés de paroisses, et être en dialogue avec les communautés de paroisses et les grandes associations de solidarités afin de favoriser des synergies.
  • Accompagner le Réseau de l’Espérance et ses initiatives ainsi que tout projet s’inscrivant dans l’élan de « Diaconia 2013 » (journée des pauvres, Voyage diocésain de l’espérance, tables ouvertes, etc.…

 

Histoire :

C’est en réponse à l’appel du Pape Jean-Paul II que se mirent en place des Conseils de la solidarité au niveau de chaque pays, et diocèse.

Les évêques de France ont rédigé trois textes fondateurs de la solidarité :

  •  Le texte « La Solidarité, une urgence » en 1987.
  • La Charte de la Solidarité elle-même en 1988.
  • Les orientations du Conseil de la Solidarité en 1989.
La Charte nationale nous précise les trois domaines de la solidarité :
  1. Le partage du bien de la foi au Christ. La solidarité ne saurait l’exclure. Le texte précise que ce souci est porté en priorité par les services de coopération missionnaire, mais que c’est à la charge de tous. Cela, d’ailleurs, peut aller jusqu’à marquer certains choix de solidarité, comme l’aide aux Églises pauvres pour des projets d’annonce explicite ou de formation d’agents pastoraux.
  2. Le deuxième domaine nous est familier : celui du pain, c’est-à-dire celui de la dimension économique de la solidarité, celui du développement des peuples.
  3. Enfin, celui de la culture qui attire l’attention tant sur l’accès à un certain niveau de culture (l’alphabétisation, l’école, l’université), qu’au respect des différentes cultures, sans que l’une ne veuille faire disparaître les autres. Et l’on pense bien sûr à ce défi majeur du soutien à l’expression culturelle des peuples marginalisés ou même en voie de disparition

En octobre 2019, le conseil diocésain pour la solidarité devient assemblée diocésaine pour la solidarité.

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