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  • Foyer Caroline : chaque 1er mercredi du mois à 11h00
  • Foyer du Parc : chaque 2ème mercredi du mois à 14h45
  • Hôpital Loewel : chaque 3ème mercredi du mois à 15h30

Gunsbach Griesbach-au-Val

Eglise Gunsbach

L’église simultanée de

Gunsbach – Griesbach-au-Val

Située au centre du village de Gunsbach, cette église est à la fois intercommunale, les deux communes de Gunsbach et de Griesbach-au-Val étant propriétaires des murs, et interconfessionnelle puisqu’elle sert aux deux confessions, protestante et catholique. Le village est mondialement connu grâce au Docteur Albert Schweitzer (médecin, pasteur, organiste…) qui y passa son enfance. Le père du Prix Nobel de la Paix y exerça son ministère pastoral.

Les origines de Gunsbach sont incertaines. Le village apparaît en 1278. Le sens précis du nom n’est pas clair : le ruisseau marécageux ou le ruisseau d’un nommé Guno (?). Au XIIIème siècle, le village est bien d’Empire, dépendant du château de Pflixbourg puis donné en gage par Rodolphe de Habsbourg au seigneur Conrad Werner de Hattstatt en 1285. Gunsbach est vendu en 1434 à la famille des Ribeaupierre et reste, malgré les tentatives des Hattstatt pour le récupérer, leur propriété jusqu’en 1789. La réforme luthérienne y est introduite en 1575. Les serpes de vigneron du blason rappellent que pendant des siècles la viticulture était l’activité principale du village.

L’église est construite sur l’emplacement d’une chapelle datant de 1413. Elle a été agrandie et transformée à plusieurs reprises, notamment en 1555, date qui correspond également à la construction des plus anciennes maisons restantes du village. Elle est fréquentée par les catholiques et les protestants depuis 1751. C’est ce qui lui vaut le nom d’église simultanée. Desservie par un vicaire, la paroisse reçoit son premier pasteur en 1806.

L’agrandissement de l’église date de 1825. Le 26 avril 1895, la foudre tombe sur le clocher causant d’importants dégâts à l’édifice. Le clocher restauré en 1902 est à nouveau malmené par un obus en 1917 et en juin 1940. La reconstruction définitive s’achève en 1951. L’intérieur de l’édifice a été entièrement rénové entre 1989 et 1993.

Jusqu’en 1986, l’église ne possédait que deux cloches. La plus petite des deux, et aussi la plus ancienne, date de 1493 et a été ressoudée en 1951. La plus grande date de 1826 et a été refondue également en 1951. Sa résonance étant très faible, le conseil presbytéral décide en 1986, suite au legs du Pasteur Mélidonian, l’adjonction d’une troisième cloche dans le but d’améliorer la sonnerie.

Le premier orgue de l’église de Gunsbach a été construit en 1828 par Valentin Rinckenbach d’Ammerschwihr. Albert Schweitzer racontait lui-même qu’il y jouait dès son plus jeune âge (vers 8 ans), alors qu’il pouvait à peine atteindre le pédalier. Il remplaçait occasionnellement l’organiste du village. Réparé à plusieurs reprises, l’instrument est remplacé en 1931 sous ses directives par le facteur d’orgues Frédéric Haerpfer, de Boulay (Moselle). Cet orgue a été, malheureusement, gravement endommagé lors de la Seconde Guerre mondiale. En 1961, le facteur d’orgues Alfred Kern de Strasbourg, construit un nouvel orgue, une fois de plus selon les indications précises d’Albert Schweitzer. Malheureusement, ce dernier ne devait plus jamais revoir l’Alsace et sa « dernière oeuvre » comme il l’appelait, puisqu’il mourut à Lambaréné en 1965. La « Maison Schweitzer » abrite actuellement un musée et ses archives et reçoit tous les ans plus de 10 000 visiteurs.

Metzeral Sondernach

Eglise de l'Emm

L’église de l’Emm

(Metzeral-Sondernach)

L’église de l’Emm est à la fois l’église paroissiale de Metzeral-Sondernach (St-Blaise), le lieu d’un pèlerinage séculaire dédié à la Vierge (Notre-Dame des Sept douleurs et Notre-Dame des Neiges) et enfin un Mémorial consacré aux soldats de la Grande Guerre tombés dans les Vosges, notamment lors de la bataille de Metzeral en juin 1915. La dénomination d’Emm provient du nom de la colline sur laquelle est juché le sanctuaire, évoquant la légende d’Emma et Roland de Roncevaux. Certains affirment qu’à l’heure de minuit, l’âme d’Emma plane autour de la colline et fait entendre une plainte émouvante à l’adresse de Roland qui la rejoint sur son cheval blanc.

Jusqu’en 1450, Metzeral et Sondernach dépendaient de la paroisse de Muhlbach créée en 896. Une chapelle dédiée à Notre-Dame des Neiges fut ensuite construite sur la colline, à l’emplacement, selon la légende, d’un ermitage fondé par Emma en souvenir de son fiancé Roland. Détruite au cours des guerres, elle fut reconstruite en 1758 sous le patronat de Saint-Blaise. Devenue mixte à la suite de la Réforme, cette nouvelle chapelle, en 1899, fut réservée aux catholiques. Le 2 février 1900 eut lieu la fondation de la nouvelle paroisse de Metzeral-Sondernach.

L’actuelle église-mémorial de l’Emm, bâtie sur le site même de la chapelle qui fut détruite au cours des affrontements de la bataille de Metzeral, est l’œuvre de l’abbé Martin Béhé (1887-1963).

Arrivant dans la vallée en 1921, il constitue l’année suivante un comité de l’œuvre du « Souvenir Alsacien », sous le haut patronage de Mgr Ruch, évêque de Strasbourg et du Général de Pouydraguin, ancien commandant de la 47e division et ancien gouverneur militaire de Strasbourg. Des ventes de charité sont organisées dans les grandes villes du pays (Paris, Lyon et Bordeaux) ainsi qu’à l’étranger (notamment en Suisse). La consécration de l’édifice a lieu le 4 octobre 1931.

A l’extérieur, le matériau dominant est le grès rose des Vosges des carrières Rauscher d’Adamswiller dans le Bas-Rhin dont fut faite la cathédrale de Strasbourg. Le clocher s’inspire de la tour de l’ancienne chapelle de Fourvière, souvenir d’une vente de charité en 1926 et abrite quatre cloches classées. Le Bourdon (Do : 2.400 kgs), est la clef de voûte d’un carillon majestueux en ut majeur.

A l’intérieur, le chef-d’œuvre de l’église est sans conteste le Maître-Autel fait de marbre blanc de Carrare. Le long de la nef, dans les arcades de 1m80 de haut, sont placées des plaques de marbre jaune de Sienne sur lesquelles sont gravés les noms des soldats tombés dans les Vosges.

Au centre de la nef, la chapelle du pèlerinage abrite une Pietà de Notre-Dame des Sept Douleurs du XVIe s (datation contestée). Volée en 1764, elle a été retrouvée en 1944.

L’aspect général de l’église est rehaussé de vitraux de grande qualité réalisés par la Maison Ott Frères de Strasbourg. Un vitrail en particulier rappelle la vocation du sanctuaire : au-dessus de la chapelle latérale le vitrail dit du « Souvenir » présente un soldat mourant dans les bras d’un aumônier auquel un ange apporte la couronne des élus.

En juillet 2005, l’église de l’Emm s’est dotée d’un nouvel orgue réalisé par le Maître Facteur d’Orgues Hubert Brayé de Mortzwiller. Cette réalisation s’inscrit dans le cadre d’une re-dynamisation et mise en valeur de l’édifice à travers l’organisation de concerts ou de manifestations cultuelles ou culturelles.

Cette présentation n’a rien d’exhaustif, aussi rien ne vaut le plaisir d’une visite.

Mittlach

Mittlach_glise_de_lImmacule-Conception

La paroisse de Mittlach

Mittlach, au passé pourtant lointain, est la cadette des communes et paroisses de la vallée de Munster. Le village n’apparaît que vers 1741 sous la désignation de village de « Medla » ou « Metla ». Le terme provient de « mittel » (moyen) et de « aha » (ruisseau). Le village se serait formé autour de la ferme ou métairie de « Zu Fluss », propriété de l’abbaye de Munster.

La ferme de « Zu Fluss » est mentionnée pour la première fois sur la carte de Daniel Specklin datée de 1576. L’immigration de bûcherons commence au XVIème siècle, continue lentement au siècle suivant pour atteindre son apogée au moment de l’exploitation intense des forêts  au XVIIIème siècle menée sous la conduite de l’abbaye de Munster. Le village s’est constitué à partir d’apports multiples, essentiellement de bûcherons, tous catholiques, du Tyrol, de Salzburg, de la Forêt Noire, de la Suisse, de la Lorraine et d’Italie.

Dans la seconde moitié du XVIIIème siècle, le nom d’origine « Zufluss » tend à disparaître (notamment après la Révolution et l’Empire) au profit de celui de Mittlach, appellation qui englobe peu à peu l’ensemble de l’agglomération autour de la ferme.

Après 1793 la ferme et les prés aux alentours sont vendus comme biens nationaux et cédés aux habitants de Metzeral. Dépouillés de leurs terres, les habitants de Mittlach, n’avaient d’autres ressources que de défricher les versants élevés de leurs montagnes pour y planter quelques pommes de terre dans les « kritters ».

Au XIXème siècle, Mittlach continue d’être l’annexe administrative de Metzeral, même après le partage des biens indivis de l’ancienne communauté en 1847. Des divergences d’intérêts, de religion, existant depuis longtemps à l’état latent, opposaient les gens de Mittlach à ceux de Metzeral. Les péripéties du litige aboutirent à la séparation administrative.

Le 1er avril 1908, la commune de Mittlach devient commune indépendante (elle fête cette année le centenaire de sa création). Un premier grand projet, l’édification d’une mairie et d’une école, est mis en chantier et exécuté dès 1911.

La population de Mittlach, en totalité de confession catholique, dépendait autrefois de la paroisse de Muhlbach, puis en 1900 de Metzeral. En 1906, Mittlach devient le siège d’un vicariat autonome. C’est en 1908 qu’est nommé le premier curé de Mittlach. La commune compte alors 600 habitants. Le presbytère est construit en 1910.

Investi dans la nuit du 20 au 21 avril 1915 par l’armée française après le départ des troupes allemandes, le village n’est pas détruit pendant les combats de la bataille de Metzeral.

En 1922, la paroisse, en remerciement d’avoir été épargnée par la guerre de 14-18, édifie la Grotte de Lourde dans la falaise de la forêt du Kiwi, au-dessus du pré des Jonquilles. Le site sert également de monument aux Morts de la commune.

L’église de Mittlach, réalisée en 1928, a été bénie le dimanche de Pentecôte 1929. Elle est dédiée à l’Immaculée Conception. Une église provisoire avait déjà été construite en 1895 qui, depuis l’édification du sanctuaire actuel, est devenue la maison des Œuvres puis l’actuelle salle des fêtes.

L’orgue E-A. Roethinger a été inauguré le 21 avril 1930 (lundi de Pâques) par le chanoine F. X. Mathias, organiste de la cathédrale de Strasbourg.

C’est en 1949 que la grande cloche a été bénie. Elle est venue remplacer celle qui a eu le triste privilège d’avoir été la première cloche d’Alsace à avoir été saisie par les Nazis. La bénédiction de la troisième cloche s’est effectuée le 30 juillet 1950. Elle est dédiée aux 23 habitants de la commune morts lors de la 2ème Guerre mondiale.

L’oratoire du Kolbenthal dédié à St. Antoine a été béni le 25 juin 1960.

Aujourd’hui, la commune compte environ 300 habitants dont toujours une forte majorité de catholiques. Notons que le Maire de la commune, Bernard Zingle, à l’instar de son père, est l’actuel organiste de la paroisse.

Muhlbach Breitenbach

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L’église St Barthélémy de Muhlbach-sur-Munster

 Le touriste qui parcourt la vallée de Munster sera quelque peu surpris en traversant Muhlbach. En effet, il apercevra à sa droite une église dont le clocher n’a pas le style du terroir mais davantage celui de la Bavière ou du Tyrol. Ce sanctuaire insolite, pour une vallée vosgienne, est l’église catholique de la paroisse de Muhlbach-Breitenbach, la plus ancienne de la Grande Vallée.

L’histoire de la paroisse est intimement liée à celle de la vallée de Munster. Vers l’an 660, fut fondé à Munster un couvent de Bénédictins dédié au pape Grégoire le Grand (le val St-Grégoire est en effet l’autre formule pour désigner la vallée de Munster).

La fondation du village de Muhlbach se situe en l’an 896. La première chapelle dédiée à St-Barthélémy y est construite en 1068 puis agrandie en église en 1086. Celle-ci se situait à l’emplacement de l’actuelle église protestante.

L’abbaye de Munster y enverra régulièrement un moine pour assurer le culte, qui, plus tard, résidera sur place assisté de deux vicaires.

En 1559, à la suite du vicaire de Muhlbach, la quasi-totalité de la paroisse embrasse la religion de Luther (Réforme protestante).

Sous Louis XIV le culte catholique est progressivement réintroduit. En 1704 les deux cultes sont officiellement reconnus dans les églises du val St-Grégoire. En 1728 l’église de Muhlbach devient une église mixte ou simultaneum.

Jusqu’en 1900 ce sera la seule paroisse pour le fond de la vallée. En 1915, lors de la Première Guerre mondiale, le village et ses églises sont entièrement détruits.

Le curé Martin Béhé, en résidence à Metzeral, devient administrateur de la paroisse ; une baraque provisoire est érigée pour chaque confession. Celle des catholiques se trouvait à l’emplacement du Foyer paroissial.

Dès 1925, le conseil municipal envisage d’aider à la construction d’une église à la place de chaque baraque. Le curé Louis Finck œuvre énergiquement à la réalisation du projet.

Les plans sont élaborés par l’architecte colmarien J.-C. Schoffit et la réalisation est confiée à l’entrepreneur J. Meyer, fils du Maire de Breitenbach. Le sculpteur Driesbach de Munster s’emploie à l’installation et l’ameublement intérieur. Les vitraux sortirent des ateliers Ott de Strasbourg.

L’église, de style néo-baroque, est bénie le 26 mai 1929. L’orgue, sorti des ateliers Edmond-Alexandre Roethinger est inauguré le 21 avril 1930.

Le curé Paul Taglang, installé le 29 juin 1930, parachève l’œuvre de son prédécesseur en faisant notamment réaliser les travaux de peinture par l’atelier Lichtenauer de Colmar.

L’abbé Gérédis, installé en 1936, fait agrandir l’orgue en 1938. Le village est occupé le 18 juin 1940. En 1943, deux des trois cloches sont réquisitionnées et fondues. Pour préserver le vitrail de Jeanne d’Arc, figure française, celle-ci est pourvue d’une croix et d’une couronne avec l’inscription Sankt Michael ! Les Allemands quittent Muhlbach le 4 février 1945 (Jeanne d’Arc retrouve son vitrail).

En 1949, le curé Cadé procède au baptême de deux nouvelles cloches provenant de la fonderie Paccard en Haute-Savoie.

La réforme liturgique de Vatican II impose des transformations, la suppression du banc de communion et l’installation d’un autel face au peuple.

Plus près de nous, les restaurations de l’église en 2000 et de l’orgue en 2005 furent réalisées.

Munster

Eglise Saint Léger de Munster

L’église Saint-Léger de Munster

L’abbaye bénédictine Saint-Grégoire de Munster, dont il subsiste quelques vestiges, est fondée vers 660. Une première petite église construite à l’emplacement de l’actuelle église Saint-Léger est citée entre 1182 et 1187.

La chapelle originelle était destinée à accueillir les paroissiens de Munster, l’église abbatiale construite sur le bord de la Place du Marché étant réservée aux moines de l’abbaye. Un cimetière entourait l’église Saint-Léger jusqu’en 1791.

En 1265, la paroisse Saint-Léger est officiellement incorporée à l’abbaye. En 1287, elle se trouve à l’extérieur de la ville nouvellement fortifiée. L’église est la proie d’un terrible incendie en 1354. L’édifice sera entièrement reconstruit et servira au culte catholique jusqu’à l’introduction de la Réforme à Munster en 1553, année où la messe catholique est remplacée par le culte protestant.

De 1569 à 1574, l’église est au centre d’affrontements entre les Munstériens luthériens et l’abbé Henri de Jestetten qui dirige l’abbaye bénédictine Saint-Grégoire. A partir de 1575 et du Traité de Kientzheim conclu sous l’arbitrage de Lazare de Schwendi, l’église revient entièrement à la communauté protestante, les catholiques devant se rendre à l’église abbatiale. La première pierre de la tour actuelle est posée en 1590.

Consécutivement à la révocation de l’Edit de Nantes par Louis XIV en 1685, le chœur de l’église revient au culte catholique en 1686 et, jusqu’à la première utilisation de l’église protestante, le 28 décembre 1873, elle devient église simultanée, ouverte aux deux cultes. A partir de janvier 1874, elle est exclusivement réservée à la communauté catholique.

L’extrême vétusté de l’église entraine son agrandissement et sa rénovation au cours de la seconde moitié du XIXème siècle et le clocher datant de 1590 est rehaussé d’un étage. On restaure l’église après les combats de la 1ère Guerre mondiale. En 1974 l’intérieur de l’église prendra son aspect actuel suivant les préconisations du Concile Vatican II.

De nouvelles cloches sont installées en 1927 et 1950 (les anciennes cloches sont confisquées pendant les deux guerres). L’église St Léger s’est dotée de quatre nouvelles cloches qui sont installées dans leur beffroi en décembre 2006. Les quatre nouvelles cloches associées aux quatre anciennes permettent de varier les thèmes de sonnerie (thèmes propres aux dimanches du temps de l’Avent, du Carême, de Pâques, temps ordinaire, mariages, enterrements etc.).

L’orgue Roethinger installé en 1929 arrive en fin de vie en 1973. Il est remplacé par une réalisation de Christian Guerrier de Willer en 1985-86. Il comporte 28 jeux répartis sur trois claviers et pédale.

Depuis septembre 2008 une horloge astronomique est visible sur la tribune de l’église. Le mécanisme conçu par les établissements Ungerer, après la Première Guerre mondiale, a été restauré par les ateliers Voegelé de Strasbourg. Cet ensemble est surmonté de quatre cadrans, réalisés par l’artiste Didier Chanut, indiquant les mois, les phases de la lune, les jours et l’heure. Le tout est coiffé d’un coq qui chante trois fois et bat des ailes tous les midis avant l’Angélus en référence au reniement de Saint Pierre. L’horloge s’élève sur sept mètres de haut et pèse une demi-tonne.

Soultzbach-les-Bains

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L’église Saint Jean-Baptiste de Soultzbach-les-Bains

La fête patronale est la Saint Jean d’été, célébrée le dimanche qui précède ou suit la fête de la nativité de Saint Jean le Baptiste (24 juin)..

Blotti dans le vallon du Krebsbach, le vieux village, fondé le jour de la Sainte Lucie de l’an 1275 par Conrad Werner III de Hattstatt, passe au XIVe siècle sous la suzeraineté du Duc de Lorraine et connait une période tourmentée. A la fin du XVe siècle, Jacques de Hattstatt, administrateur des biens du Duc de Lorraine en Alsace et du baillage de Gérardmer, s’installe à Soultzbach avec son épouse Marguerite de Rathsamhausen. C’est à ce couple que la paroisse doit quelques-uns des plus beaux joyaux de son patrimoine religieux. A cette époque, la bourgade connait une période de renouveau. En 1605, les biens des Hattstatt sont dévolus à la famille de Schauenbourg. Avec la découverte de la source en 1603, une nouvelle ère s’ouvre pour Soultzbach, celle du tourisme thermal. La famille de Schauenbourg va exploiter la source et attirer visiteurs et curistes. Cet «âge d’or» permettra de doter l’église, la chapelle Sainte Catherine et le village d’œuvres d’art admirables. La dernière période faste, au XIXe siècle, entre 1832-1870 et la découverte de la source du château verra encore l’acquisition d’œuvres d’art qui complèteront le riche patrimoine de Soultzbach.

L’église Saint Jean-Baptiste :

Le chœur, ancienne chapelle funéraire des Hattstatt, datant des XVe et XVIe siècles, abrite le monument le plus précieux, une armoire eucharistique des environs de 1500. Le maitre-autel et les autels latéraux de la nef, du XVIIIe siècle, œuvres de H.A. Werle et de ses collaborateurs, J. Braun et A. Ketterer, comptent parmi les plus beaux exemples de mobilier baroque d’Alsace. Le somptueux gisant de J. de Hattstatt et de M. de Rathsamhausen est dressé contre le mur nord de la nef. Au fond de l’église, un autre gisant du XIVe siècle représente une Dame inconnue de la famille de Hattstatt. Dans la tribune trône l’orgue Callinet (1832-1833);

La chapelle Sainte Catherine :   Chapelle Soultzbach

Construite au XIVe siècle, selon la tradition populaire, reconstruite au XVIIIe siècle, elle renferme une armoire eucharistique de la fin du XVe siècle, de belles statues du XVIIIe siècle et deux tableaux portant la signature de F.G. Herrmann, un des maitres du baroque allemand.

Trois calvaires, une croix funéraire du XVIIIe siècle et un Bildstock du XVIe siècle complètent le riche patrimoine de Soultzbach.

Stosswihr Ampfersbach

église ste marie auxiliatrice

La paroisse de Stosswihr-Ampfersbach

Située dans la petite vallée, juste sous le Hohneck et le col de la Schlucht, Stosswihr fait partie des plus anciens villages de la vallée de Munster. Le bourg est connu en 783 sous le nom de Stozzowilare puis Scotenwilre en 817. La partie nommée Ampfersbach n’est apparue qu’au XIIIème siècle.

Selon la légende, les premiers moines écossais (Scotten ; hypothèse contestée de l’origine du nom de Stosswihr) – ou irlandais – arrivés dans la vallée de Munster vers 634, se seraient installés à Schweinsbach près de Stosswihr pour y mener dans la solitude leur vie d’ermites. Ils y auraient construit une première église abbatiale et un monastère avant de fonder vers 660 l’abbaye Saint Grégoire, à la confluence des deux Fecht. Hélas aucun document ne vient corroborer l’existence d’une ou plusieurs cellules monacales à Schweinsbach.

L’actuelle chapelle de Schweinsbach est l’œuvre de l’abbé Soltner, curé de Stosswihr (1885-1895) et fut bénie le 25 octobre 1891. Elle se dresse à l’emplacement de l’ancienne église du même nom, disparue vers 1820. L’existence de ce sanctuaire à cet endroit n’est certifiée qu’en 1220.

Il n’est pas impossible que la chapelle de Schweinsbach ait les mêmes origines que l’église Saint Léger de Munster : vers la fin du XIIème siècle, l’abbaye de Saint-Grégoire était presque totalement ruinée. Profitant de la situation malheureuse du monastère, les habitants de la ville avaient cherché à se soustraire à l’autorité spirituelle de l’abbé. Ils élevèrent donc, sur l’emplacement de la chapelle du cimetière, une église paroissiale qui fut dédiée à St Léger.

La chapelle de Schweinsbach dépendait jusqu’en 1793 de l’abbaye de Munster. Cet ancien sanctuaire dépassait de beaucoup les dimensions de l’oratoire actuel. La chapelle fut gravement endommagée lors de la 1ère Guerre mondiale. Elle fut entièrement restaurée et rouvrit ses portes en 1923.

Jusqu’à la création de la paroisse indépendante de Stosswihr-Ampfersbach en 1869, les catholiques du lieu dépendaient entre 1793 et 1808 de la paroisse de Muhlbach, puis de celle de Munster de 1808 à 1869.

La nouvelle église fut inaugurée le 25 avril 1869. Celle-ci fut détruite par l’offensive allemande de 1915. La dernière messe célébrée avant sa destruction s’est déroulée le 14 février 1915. Après la guerre, une église provisoire fut construite (1920-1926) puis on rebâtit l’église qui fut bénie le 31 octobre 1926. Cette dernière est dédiée à Sainte Marie-Auxiliatrice et à Saint Grégoire. Seule la statue de la Vierge, érigée en 1888, sur la place devant l’église fut épargnée de la guerre.

L’église possède trois cloches (sol, la, si) datant de 1926 et 1948.

L’orgue actuel a été réalisé par le facteur d’orgues Joseph Rinckenbach en 1926. Cet instrument est le deuxième de sa production pour Ampfersbach car le premier qu’il installa en 1906 fut détruit en 1915. Le buffet en chêne est l’œuvre de Camille Rudmann & Guthmann de Logelbach. L’instrument fut relevé en 1974 par Alfred Kern et en 2004 par Richard Dott.

Plus près de nous, plusieurs travaux nécessaires furent réalisés : la peinture intérieure de l’église en 1986, l’installation en 2004 d’un nouvel autel face au peuple en chêne par Denis Gersbach, la peinture extérieure en 2005 et enfin le ponçage et la vitrification du sol en 2007.

Walbach

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L’église Saint Jacques le Majeur de Walbach

Le Saint patron est Saint Jacques le Majeur, apôtre du Christ et grand patron des pèlerins. La fête patronale est célébrée le dimanche qui précède ou suit la Saint Jacques (25 juillet), mort martyr vers 42 après Jésus Christ.

La première mention du village remonte à l’année 1100. Son nom viendrait de Walenbach,’’ le petit ruisseau’’ de la forêt qui traverse le bourg.

Possession des seigneurs de Guirsberg jusqu’en 1410, Walbach avec le château, entre dans le domaine des Ribeaupierre. Au début du XVIe siècle, le château passe aux nobles de Walbach issus d’une branche batarde des Ribeaupierre qui s’éteindra en 1554. Jusqu’à la révolution, les Ribeaupierre et leurs héritiers, la maison de Deux-Ponts-Birkenfeld, sont restés en possession du village.

Walbach et Wihr ne formaient alors qu’une seule paroisse. Mais au début du XVIIIe siècle, Walbach a sa propre paroisse. Il y avait déjà une petite chapelle dédiée à Saint Jacques le Majeur, mais les paroissiens devaient se rendre à Wihr qui était leur paroisse et ils étaient enterrés dans le cimetière de ce village. Une église a été bâtie au début du XVIIIe siècle à l’emplacement de l’actuel cimetière. L’orgue Silbermann provenant de l’église des Dominicains de Guebwiller et acquis par la commune en 1792 avait, tout d’abord, été installé dans cet édifice. La chaire de style baroque provient également de l’ancienne église. L’église actuelle a été construite entre 1837 et 1840 dans le style Louis- Philippe. Elle est orientée sud-nord. Le chœur est décoré de remarquables peintures murales qui renvoient une image de la voûte céleste. La statue de Saint Jacques le Majeur, sur le maître-autel, date de la deuxième moitié du XIXe siècle. A gauche, dans le chœur, on remarque une belle vierge à l’enfant du XVIIIe siècle. Le bel orgue Silbermann, remonté en 1840 par Valentin Rinckenbach d’Ammerschwihr a bénéficié d’une restauration soignée par le facteur d’orgue Antoine Bois d’Orbey en 1988-89, laquelle lui a redonné son caractère d’origine. Plusieurs calvaires se dressent en divers points du village ; le plus ancien date du XVIIIe siècle. Au lieudit «Gisbelbuckel», sur le Bergacker, se dresse un calvaire de 1768 (voir photo). La statue en bois de Notre-Dame du Chêne, installée au-dessus du village, à l’orée de la forêt, est une œuvre contemporaine (1953). Elle remplace une des deux statuettes votives aujourd’hui disparues.

Wasserbourg

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L’église Saint Michel de Wasserbourg

Le Saint patron de la paroisse est depuis 1648, Saint Michel archange, «qui est comme Dieu».

La fête patronale est célébrée le dernier dimanche du mois de septembre, le plus proche de la fête du Saint (29 septembre).

L’ancien nom : Wasenbourg viendrait de wasen = pâturages. La première mention du village remonte au IXe siècle. Au début de l’an mille, la vallée propriété de l’abbaye de Payerne et du chapitre de la cathédrale de Constance est administrée par Colmar.

En 1222, le Seigneur André de Guirsberg construit le château fort «Strauburg» au-dessus de Wasserbourg. Entre la fin du XIIIe siècle et du XVIe siècle, le village connaîtra plusieurs propriétaires. Ensuite, les Ribeaupierre le possèderont jusqu’à la révolution. Jusqu’à son départ en 1815, la famille de Schauenbourg, possessionnée à Soultzbach, avait le patronage de l’église.

Eglise Saint Michel :

La petite église construite au cours du XIIIe siècle, dédiée à la Vierge Marie, est placée en 1648 sous le patronage de Saint Michel. Mais en 1620, la paroisse avait été rattachée à Buhl, situé dans la vallée de Guebwiller. De l’ancien sanctuaire, il ne subsiste que le clocher.

En 1759, G.F. Merkel installe le premier orgue. Entre 1830-35, l’église est agrandie et l’intérieur modifié. En 1834, Valentin Rinkenbach installe un nouvel orgue. Endommagée pendant la première guerre mondiale, l’église a été rénovée dans le style néo-classique. Le grand tableau, suspendu dans le chœur, représente l’archange Saint Michel tenant dans sa main gauche le glaive, prêt à accueillir les âmes. Le chemin de croix en céramique polychrome, de la fin du XIXe siècle, est remarquable. Dans le fond de l’église, est exposé un curieux triptyque représentant une mise au tombeau, avec une cavité ouverte en son centre. L’œuvre semble remonter, en partie, au XVIIIe siècle. Son usage n’est pas connu. Cinq petits oratoires dédiés à Sainte Anne et aux quatre évangélistes, Saint Jean, Saint Luc, Saint Marc et Saint Matthieu invitent les paroissiens et hôtes de passage à la prière.

Wihr-au-Val

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L’église Saint Martin de Wihr-au-Val

Le Saint Patron est Saint Martin (318-397), apôtre des Gaules. Soldat romain, il quitta l’armée pour se retirer auprès de Saint Hilaire, évêque de Poitiers. Fondateur du monastère de Ligugé, le peuple de Tours le choisit comme évêque. La légende raconte qu’une nuit d’hiver, le jeune soldat Martin partagea son manteau avec un pauvre.

La fête patronale est célébrée le 11 novembre.

Situe au pied du Sonnenberg, le village doit son origine au Duc d’Alsace Boniface; il y aurait fait construire une résidence de chasse entre 660 et 671. Bonifaci Villare devenu Weyer puis Wihr-au-Val appartient à l’abbaye de Munster avant de passer dans le patrimoine des Ribeaupierre. En 1279, Wihr est entouré de remparts. A partir de 1303, le château et la ville sont reconstruits. Les Ribeaupierre et leurs héritiers, les princes de Deux-Ponts- Birkenfeld, conserveront Wihr jusqu’à la révolution.

Le village a connu plusieurs incendies et dévastations. La dernière fois, le 18 juin 1940. Il ne subsiste que quelques vestiges du passé. De l’église médiévale qui s’élevait à l’emplacement de l’actuel cimetière, il ne reste rien. Construite en 1872 dans le style néo-gothique, l’église a été en partie détruite pendant le bombardement de 1940. Lors de la reconstruction entre 1945 et 1950, les voûtes de la nef centrale ont été remplacées par un plafond. Dès l’entrée, le regard est attiré par les vitraux, œuvre de l’artiste peintre Françoise Hass, réalisés en 1951. Les belles statues du XVIIIe siècle, au-dessus de l’autel latéral droit, sont dues au talent des sculpteurs Ketterer, Braun, Werle à qui l’on doit les beaux autels de Soultzbach.

En 1954, la paroisse a acquis le bel orgue Mutin-Cavaillé-Coll construit pour la famille Dubosq des Landes.

La chapelle ossuaire Saint Michel, construite vers 1500, se trouve à l’entrée du cimetière. Elle comporte deux niveaux : un ossuaire au niveau inférieur et une chapelle dédiée à Saint Michel à l’étage. L’intérieur est pavé de galets, des peintures murales et des inscriptions ornent certains murs.

Près de l’église part un chemin qui mène au départ du Chemin de Croix. Peu après la dernière station, se dresse la chapelle de la Croix construite en 1736 à l’emplacement d’un petit ermitage. Elle renferme une vierge à l’enfant du XVIIIe siècle. C’est le seul lieu de pèlerinage de notre communauté de paroisses.

Zimmerbach

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L’église Saint Georges de Zimmerbach

La fête patronale a lieu le dimanche qui précède ou suit la fête de Saint Georges mort martyr vers 287, sous le règne de Dioclétien et Maximien (23 avril).

Selon une légende qui remonte au XIe siècle, le Saint est représenté revêtu d’une armure de chevalier, armé d’une lance et combattant le dragon. Il symbolise ainsi le combat et la victoire du bien sur le mal.

En 1879, après les travaux d’agrandissement, l’église est consacrée au Sacré-Cœur d’où la nouvelle dénomination : ‘’Saint Georges du Sacré- Cœur‘’.

Une petite église a été construite, vraisemblablement au XIVe siècle, à l’emplacement de l’actuelle. Le chœur vouté sur croisée d’ogives semble remonter à cette époque; il a toutefois été remanié lors de la reconstruction. L’armoire eucharistique, encastrée dans le mur nord, attire le regard ; elle est datée de la fin du XIVe siècle. L’étoile sculptée dans l’encadrement évoque, sans doute, les donateurs, la famille de Guirsberg dont le blason portait une étoile en brisure.

La nef a été reconstruite et agrandie en 1879 avec un clocher porche dans œuvre et ornée de remarquables vitraux réalisés fin XIXe siècle dans l’atelier du verrier munichois Burchkart. Une belle statue de Saint Georges, du XVIIe siècle, orne l’autel latéral droit. Le bel orgue construit par les frères Rinkenbach d’Ammerschwihr a bénéficié d’une restauration soignée en 2006.

Plusieurs calvaires et petits oratoires sont visibles en divers endroits du village. Le monument aux morts, situé près de l’église, est surmonté d’une statue du Sacré-Cœur … unique exemple en Alsace. Une belle promenade ombragée, d’environ 1km500, mène à la chapelle des Frères qui aurait été construite à l’emplacement d’un ancien ermitage.

Commission liturgique

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Chorales

Depuis Vatican II, la liturgie est une action de toute la communauté. La chorale est  membre à part entière de l’assemblée. Elle maintient le juste équilibre : être intégrée à l’assemblée, tout en tenant son propre rôle.

Ainsi, la chorale n’a plus le monopole du chant, elle co-célèbre et co-anime la célébration. C’est d’elle que va dépendre le chant de l’assemblée : soutien des chants, qualité des dialogues, justesse du ton et du rythme, apprentissage des chants nouveaux, enrichissement des sources sonores de la célébration.

La chorale recherche sans cesse de nouveaux choristes.

Les chorales de la CP St Grégoire au Val de Munster

Munster :

La chorale de la paroisse St Léger de Munster est actuellement dirigée par Josée Schmittbiel, assistée de Pierre Hartmann. Elle compte 24 choristes dans 4 pupitres : soprani, alti, ténors et basses.

Elle répète dans la chapelle de l’église tous les 1er lundi du mois à 9h, et  3ème mardi du mois à 18h30 (entrée par la sacristie à l’avant de l’église). Voir également les annonces sur la feuille de semaine.

Contact :

Pierre HARTMANN Président : pierreagnes.hart@wanadoo.fr  03 89 30 48 89 ou
06 36 23 01 56

Josée SCHMITTBIEL chef de choeur  lj-trembiel@wanadoo.fr   06 73 66 80 22

Les chorales de la CP St Sébastien aux Rives de la Fecht

Les chefs de choeur :

Soultzbach :  Françoise RITZ : 03 89 71 06 62

Walbach : Dominique ZEHLER : 03 89 71 05 74

Wasserbourg : Fernand FILLINGER : 03 89 71 15 38

Wihr-au-Val : Jean-Paul WERNAIN : 03 89 77 66 19

Zimmerbach : Rémy KAYSER : 09 61 45 85 02

Les organistes :

Marie-France RITZ

Henri FILLINGER  : 07 82 68 67 55

Bernard ECKENTSCHWILLER :

Jean-Marie MULLER : 03 89 71 11 38

Jean-C KAISER :

Le chorale des jeunes de la Vallée

Composée de jeunes choristes et musiciens, renforcée par des adultes toujours jeunes de coeur, elle est commune à nos deux Communautés de paroisses et dirigée par :

Stéphanie PFOHL : 03 89 27 26 60   spfohl@free.fr

Nathalie BASSO : 03 89 77 30 52  nath.basso@lapost.net

Les répétitions ont lieu le vendredi soir à 19 h alternativement au foyer St Sébastien de

Wihr au Val, ou à la chapelle de semaine de l’église St Léger de Munster

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lecteurs

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Groupe des LECTEURS :

Un engagement simple et souple au sein de la communauté : différents horaires, différents lieux, différentes personnes.

Avant de lire devant l’assemblée, une préparation est généralement faite en binômes. C’est un temps de partage enrichissant, l’occasion de méditer la Parole de Dieu et de faire grandir sa foi.

La rédaction des prières universelles permet de rendre cette Parole vivante, de se mettre au service de l’Eglise, de l’assemblée et de tous nos frères.

Trois fois par an, les lecteurs se réunissent avec le prêtre pour un échange sur le service de lecteur, la vie de la communauté, ou un échange spirituel. Le planning des mois à venir est établi.

Paroles de lecteurs :

« Dans notre équipe, chacun vient avec sa sensibilité, chacun est écouté, respecté. »

« En proclamant la Parole de Dieu, tu te sentiras proche de lui. »

« Lire à l’église, fait du bien à soi-même et la communauté. Viens essayer ! »

« Venez et voyez. Venez nous enrichir de votre foi et de votre voix. »

 

 

Servants d'autel

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Fleurissement - entretien

Des équipes de bénévoles munies de serpillières, balais, chiffons et de beaucoup de courage, œuvrent pour rendre nos églises encore plus accueillantes.

D’autres, s’investissent au service de la liturgie en prenant en charge la décoration florale.

Le nettoyage, le fleurissement des lieux de culte sont des témoignages de foi ; ils contribuent à la qualité de l’accueil de toute personne qui entre dans nos églises.

Liste des responsables d’équipes dans nos paroisses :

Entretien :

Soultzbach-les-Bains : église : Giovanna GAMBUZZA  – 03 89 71 01 35

chapelle : Marlène DA LOZZO – 03 89 71 15 55

Walbach : Fabienne THORR : 03 89 71 04 80

Wihr-au-Val : Jeannette BEDE : 03.89.71.16.60

Zimmerbach : Marie-Elisabeth KAYSER – 03.89.71.02.56

Fleurissement :

Soultzbach-les-Bains : Christiane FOHNEY – 03.89.71.14.81

Walbach : Agnès ANSEL – 03.89.71.18.59

Wasserbourg : Martine FILLINGER – 03 89 71 15 38

Wihr-au-Val : Marie WISSON – 03.89.71.10.85

Zimmerbach : Marlyse KAYSER – 03.89.71.02.56

Munster : Thérèse BRENDEL – 03 89 77 49 97

Muhlbach : Monique HANS – 03 89 77 31 13

Metzeral : Marguerite JOSE – 03 89 77 64 10

Mittlach : Marguerite BRUNN – 03 89 77 68 66

Stosswihr : Huguette HATTENBERGER – 03 89 77 39 39

Gunsbach : Isabelle CHRISTMANN – 03 89 77 03 03

Chapelets

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Temps d'adoration et de prière

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Pélé Jeunes

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Semer la Parole en son corps

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Découvrez cette proposition de prière avec son corps en cliquant ci-dessus

Pèlerinage à l'Emm

Rando Pélé vers l’Emm chaque année le 8 mai :

Ce pèlerinage est proposé aux enfants, jeunes et adultes, à pied ou à vélo, depuis Munster jusqu’à l’église Notre-Dame des Neiges de l’Emm à Metzeral.

Rendez-vous  à 8h45 à l’église de Munster

A midi, repas tiré du sac – buvette et pâtisseries proposées par les membres du Conseil de fabrique

A 14 h 30 : messe pour pèlerins et non-pèlerins

Retour possible en train.

Marches d'entrée en Avent

Marche de l’Avent 2017

Découvrez le programme de la Marche d’entrée en Avent 2017 en cliquant ci-dessus

Marches d'entrée en Carême

Marche d’entrée en Carême 2018

Découvrez le programme de cette journée en cliquant ci-dessus

Chemin de Croix

Vendredi Saint à Wihr-au-Val : Chemin de Croix et bol de riz

Comme chaque année depuis 2002, nous sommes tous invités à vivre un moment intense de ressourcement spirituel chaque Vendredi Saint.

En participant au Chemin de Croix dans un cadre naturel propice à la méditation, nous mettons nos pas dans ceux du Christ ; à chaque station, chants et lectures nous permettront de méditer sur ce Mystère central dans la vie du Christ et sur sa portée dans notre propre vie.

A partir de midi, bol de riz au foyer St Sébastien proposé  par les jeunes de la profession de foi de nos deux Communautés de paroisses. A consommer sur place ou à emporter. Don libre.

Votre obole permettra de soutenir une association caritative qui vient en aide aux plus démunis.

Adoration Mont Ste Odile

Adoration perpétuelle au Mont St Odile la dernière semaine du mois de mars

« L’adoration est un temps privilégié pour se laisser aimer par Dieu et le laisser transformer notre cœur » (Pape François)

Fondée en 1932 par Mgr Ruch, évêque de Strasbourg, la confrérie de l’adoration perpétuelle assure une veille permanente de prière devant le Saint Sacrement exposé jour et nuit au Mont Sainte Odile.

Ainsi depuis toutes ces années, chaque doyenné du diocèse ainsi que quelques mouvements d’église assurent ce service durant une semaine : des groupes d’hommes et de femmes se relaient pour assurer sans cesse, de jour comme de nuit, l’adoration devant le Très-Saint Sacrement.

Leurs journées sont en outre rythmées par des offices religieux, des temps de prières, des conférences et des moments de détente. Les conditions sont agréables, le cadre exceptionnel et l’ambiance fraternelle et chaleureuse. « C’est un temps de relâchement qui me coupe de la vie de tous les jours et me permet de prier, méditer, penser à Dieu, à l’au-delà ».

Le doyenné de Wintzenheim-Munster prend en charge la dernière semaine du mois de mars, parfois la première du mois d’avril.

Le mercredi, c’est la journée des pèlerins : les fidèles des paroisses rejoignent les adorateurs sur le Mont pour une journée de prière et de récollection. A cette occasion parfois, le souffle de l’Esprit-Saint se fait plus insistant et installe en l’un ou l’autre l’envie de passer toute une semaine là-haut sur cette montagne sainte au service de la prière et de la louange du Seigneur.

Les années passant, certains adorateurs âgés ne peuvent plus, pour raison de santé, se consacrer à ce temps d’adoration. D’autres ne sont plus de ce monde. Notre doyenné a besoin de renforcer son équipe. Les membres de la Confrérie seraient heureux de vous accueillir pour la semaine ou pour une ou quelques journées.

Nos adorateurs sont heureux de livrer le témoignage de leur joie à vivre cette belle expérience spirituelle : « Je vis un vrai cœur à cœur avec Jésus ; sa présence est réelle à mes côtés et je ressens un véritable bien-être » – « ces temps de recueillement devant le Saint Sacrement sont une vraie nourriture » – « un temps de ressourcement qui me permet de déposer tout ce qui est en moi, un temps qui m’apporte la paix du cœur et de l’esprit ».

« Venez nous rejoindre pour ce temps béni qui vous apportera la joie de mieux connaître le Christ et vous permettra de Lui dire :  « Jésus, je suis bien avec toi ».

 Renseignements auprès de Malou KIEFFER 03 89 55 30 74 ou Yvonne GERIG  03 89 71 11 64.

 

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