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CP Au Pied du Galtz

La communauté de paroisses « Au pied du Galtz » rassemble six des douze communes du canton de Kaysersberg, à savoir : Ammerschwihr, Katzenthal, Kaysersberg, Kientzheim, Niedermorschwihr, Sigolsheim, Les Trois Epis.

Le Galtz est un éperon rocheux à proximité des Trois Epis sur lequel a été érigée en 1930 une monumentale statue du Christ bénissant la plaine d’Alsace en reconnaissance du retour de l’Alsace à la France. Le Galtz domine les villages de notre communauté de paroisses.

Bienvenue sur le site de notre communauté de paroisses « Au pied du Galtz »!
Vous y trouverez toutes les informations nécessaires sur la vie et les services de notre église locale.

Curé de la communauté de paroisses : Père Alain Riegert, alain.riegert@wanadoo.fr

Coopératrices de la pastorale :   
Soeur Soa Patricia, pastorale des jeunes pour le doyenne : soa.pasto.jeunesdoyenne@gmail.com

Mme Solange Hibon, pastorale des enfants pour le doyenne : solange.pasto.enfantsdoyenne@gmail.com

Adresse du presbytère :

3 place de l’Abbé Simonis, 68770 Ammerschwihr
tél. 03 89 47 15 16 

Retrouvez tous les horaires des célébrations sur www.messes.info

Équipe d’Animation Pastorale (EAP)

L’équipe d’animation pastorale est une équipe composée  de laïcs qui participent en étroite collaboration avec le curé de la communauté de paroisses à la mission de l’Eglise locale dans la fidélité aux orientations diocésaines.

Elle veille à la cohésion et au dynamisme de l’Église qui vit sur le territoire de la communauté de paroisses.

Avec le curé elle décide, cordonne et met en œuvre les activités habituelles ou exceptionnelles de la paroisse.

Les membres de l’équipe d’animation pastorale travaillent ensemble dans une communion fraternelle et missionnaire. Ils consolident leur action dans  la prière, la parole de Dieu et les sacrements.

 Notre équipe :

  • Père Alain Riegert, curé
  • Soeur Soa Patricia, coopératrice pastorale, en charge de la catéchèse
  • Angèle Jay, en charge des moyens matériels
  • Sophie Kuehn, en charge de la communication
  • Annette Ritter-Hobel, en charge de la liturgie
  • Marie-Antoinette Sayer, en charge de la solidarité

                                                                                              

Les Conseils de fabrique

Les fabriques d’église sont régies par le décret du 30 décembre 1809 et sont des établissements publics du culte, dotés de la personnalité juridique de droit public.

Ces établissements sont chargés de veiller à l’entretien des édifices culturels et d’administrer les biens et revenus affectés à l’exercice du culte, en réglant les dépenses et en assurant les moyens d’y pourvoir.

La durée du mandat des conseillers est de six ans. Aucun membre ne pourra accomplir plus de trois mandats successifs.

Chacune des paroisses de la communauté « Au pied du Galtz » dispose d’un conseil de fabrique.

Ammerschwihr
– Bruno Meyer, président : 1 rue des Cigognes
– Jean-Rémy Girardin, trésorier : 12 rue des Coquelicots
– Paul-André Ludwig, secrétaire : 9 rue des Coquelicots
– Dominique Meyer : 18 route de Kientzheim
– Régine Schillinger : 4 place du Général de Gaulle

Katzenthal
– Michel Conreaux, président : 43 rue du Galtz
– Bruno Klur, trésorier : 28 rue du Souvenir
– Francis Meyer-Fonne,secrétaire : 24 Grand’rue
– Jean-Julien Klur : 4 rue du Curé Haumesser
– Maurice Schmitt : 70 rue du Vignoble

Kaysersberg
– Maurice Demling, président, 53a rue du Général de Gaulle
– Marie-Louise Stein, trésorière : 4 Grand’rue des Prés
– Fabienne Maillet-Koegler, secrétaire : 74 rue de la Flieh
– Rémi Loewert : 6 place Gouraud
– N.

Kientzheim
–                           , président :
– Jean-Charles Carrouche, trésorier : 7 rue du Général de Vernejoul
– Charles Blanck : 9 rue Philippe-Aimé de Golbery
– François Naegele : 7 rue du Général Théodore Leclaire
– N.

Niedermorschwihr
– Robert Fichtler, président : 38 rue Saint Wendelin
– Catherine Millon Hunckler, trésorière : 32 rue de l’Eglise
– Gabrielle Toussaint, secrétaire : 5 rue du Vignoble
– Jean Boxler : 137 rue des Trois Epis
– Pierre Boxler : 16 rue des Trois Epis

Sigolsheim
– Patrick Bernhard, président : 20 rue de Bennwihr
– Angèle Jay, trésorière : 18 rue de l’Aspirant Girard
– Yolande Schuller, secrétaire : 18 rue du Stade
– Bernard Maciejewski : 12 rue du Cussac
– Roger Ottmann : 3 rue de la 5ème Division Blindée

Lecteurs

Le lecteur est au service de Dieu qui en fait son porte-parole et celui de l’assemblée à qui il porte la Parole de Dieu, pour qu’elle s’en nourrisse et en vive à la gloire de Dieu. L’équipe des lecteurs assure les lectures aux offices dominicaux et participe à la distribution de la communion aux fidèles.

Sacristains

Le métier de sacristain, emploi d’Église au sein d’une paroisse, constitue un service qui comporte des missions, tant manuelles qu’intellectuelles. Il nécessite une polyvalence et foi dans le Seigneur. Le sacristain se donne dans la prière et collabore avec une équipe de personnes dans la confiance, le respect, la communication et la complémentarité.
Chacune des paroisses de la communauté dispose au moins d’un sacristain :
– à Ammerschwihr : Bruno Meyer
– à Katzenthal : Bruno Klur
– à Kaysersberg : Maurice Demling
– à Kientzheim : Bernard Marck
– à Niedermorschwihr : Robert Fichtler
– à Sigolsheim : Alain Jenny et Roger Ottmann.

Chorales

Vous aimez chanter ? Nos chorales ont besoin de vos voix, même si elles ne sont pas formées.
Venez participer à une répétition de nos chorales. Nos aînés, nos organistes et nos chefs de choeur vous soutiendront dans votre démarche.
Pour tout renseignement vous pouvez les contacter à la fin d’un office ou joindre Annette RITTER, membre de l’EAP au 06 81 45 52 08.
« Celui qui chante bien, prie deux fois » Saint Augustin

Servants d’autel

Servir à la messe, c’est contribuer à la beauté des célébrations, aider le prêtre et l’assemblée à prier et être soi-même plus disponible à la prière.

Ainsi, cette pastorale dépasse le seul service liturgique. Elle est un lieu de proposition et d’approfondissement de la foi chrétienne. Les jeunes y trouvent une formation liturgique, une certaine catéchèse, une expérience fraternelle de convivialité, de découverte et de vie en Église.

Pour les enfants qui souhaitent renforcer les équipes des servants d’autel et ainsi participer activement à aider le prêtre lors des célébrations, les parents doivent contacter monsieur le curé de la communauté de paroisses.

Fleurissement des églises

Pour la beauté des offices religieux, des personnes donnent de leur temps et de leur talent pour le fleurissement des églises. Des fleurs peuvent être offertes par tous. Pour chaque église, des bénévoles assurent l’entretien et la décoration du lieu de culte

– à Ammerschwihr : Régine Schillinger
– à Katzenthal : Mme Schmidt
– à Kaysersberg : Camille Demling
– à Kientzheim : Anne-Marguerite Marck
– à Niedermorschwihr : Gaby Toussaint
– à Sigolsheim : Yolande Schuller

Caritas

article en cours de rédaction

Adorateurs du Mont Ste Odile

Elle fut fondée en 1931 par Mgr. RUCH, alors évêque de Strasbourg et mise en œuvre par le chanoine Brunissen. Depuis cette année, des hommes et plus récemment des femmes, se relaient nuit et jour, 365 jour par an, dans la prière devant le Saint-Sacrement. Ils sont originaires de tous les cantons d’Alsace et sont groupés au sein de la Confrérie de l’Adoration perpétuelle.

Actuellement le groupe de notre doyenné compte environ 30 membres. Un appel pressant est lancé à tous les fidèles de notre communauté de paroisses de venir se joindre à nous, chacun et chacune selon ses possibilités.

Le Conseil Pastoral

Le conseil pastoral un est groupe de réflexion au service de la communauté des chrétiens.

Le conseil n’est pas actuellement activé.

Présidé par le curé, il examine les besoins de l’évangélisation sur le territoire de la paroisse et les moyens d’y répondre. De par la diversité de ses membres, le conseil pastoral reflète la vie de la communauté chrétienne. Avec pour soucis la qualité de vie évangélique de la paroisse, il propose des orientations, aide à murir les projets qui lui sont confiés et fait l’écho de la vie de la paroisse.

  • Il est « veilleur et éveilleur » pour la mission de l’Église. Et pour cela il est à l’écoute des attentes et des suggestions de toute personne pour contribuer à la cohésion de la communauté de paroisses.
  • Il rappelle la dimension universelle de l’Église et la dimension internationale de la réalité sociale en proposant des actions de solidarité.
  • Il se réunit chaque trimestre.

Ammerschwihr

AMEREn ce début de XXIe siècle, Ammerschwihr reste très marquée par son histoire. Vieille bourgade dont les premières mentions remontent à 869 avec une première référence à une chapelle dès le Xe siècle, elle est érigée en ville en 1367 avec un statut de bourgeois pour les habitants viticulteurs ou commerçants. Entre le XVIe et XVIIe siècle, la cité pourtant très fortifiée, subit invasions et dévastations. Puis la prospérité revient pour une population exclusivement catholique et très sédentaire jusqu’à la destruction presque totale en décembre 1944. La reconstruction, financée par les dommages de guerre, bien que menée avec soin avec le souci d’une unité architecturale, n’a toutefois pas réussi à redonner à Ammerschwihr son âme d’antan.
Plusieurs édifices de culte émaillent le territoire et contiennent parfois les rares trésors du passé qui ont pu être sauvés des accidents de l’histoire :
– L’église paroissiale, datant pour l’essentiel du XVIe siècle, possède un mobilier assez remarquable : un grand Christ en croix polychrome avec la Vierge et S. Jean (XVe), un Christ des Rameaux assis sur son âne.
– La maison de retraite possède sa propre chapelle entretenue et animée par une équipe de bénévoles.
– Enfin, il existe deux chapelles votives : l’une dédiée à S. Wendelin à la sortie vers les Trois-Epis, l’autre à S. Eloi, à la sortie vers Kientzheim.

Katzenthal

KATLe territoire de Katzenthal, qui était à l’origine propriété d’Eguisheim, fut réuni à celui des d’Ingersheim et le resta jusqu’à la Révolution Française.
Lors des combats et des bombardements associés à la bataille de la poche de Colmar, qui fit rage du 5 décembre 1944 au 4 février 1945, le village fut dévasté à 90%. Les dégâts nécessitèrent des travaux de reconstruction qui se prolongèrent jusqu’en 1956.
Katzenthal devint paroisse autonome en 1690, et une nouvelle église – l’édifice actuel –, dédiée à S.Nicolas, fut construite en 1719, à l’initiative du curé Jean Staedler. Le campanile, qui renferme un carillon de quatre cloches, n’a été érigé qu’en 1895. L’église subit de graves dommages en 1944, mais des travaux de reconstruction furent entrepris après la guerre, qui durèrent jusqu’en 1955. Cinq magnifiques vitraux illustrent les paraboles de l’évangile : le levain dans la pâte, les ouvriers dans la vigne, le semeur, le bon pasteur et le retour de l’enfant prodigue.
Katzenthal fait partie de la communauté de paroisses « Au pied du Galtz » depuis 2009.

Kaysersberg

clocher église Sainte croixKaysersberg (Mont César ou mont de l’empereur selon les auteurs) est le verrou de la vallée viticole et forestière de la Weiss. Avec son château et son bourg médiéval, Kaysersberg faisait partie des dix villes libres de la Décapole. Elle devient un centre économique et historique regroupant à côté de la viticulture, de l’artisanat, la cartonnerie et une entreprise pharmaceutique.
Mais c’est aussi une cité religieuse de la communauté de paroisses «Au pied du Galtz», fortement marquée par le christianisme. En témoignage, l’abbaye d’Alspach, la Commanderie S. Jean, la chapelle des Franciscains – actuelle Résidence hospitalière de la Weiss – celle de l’Oberhof ainsi que les chapelles S. Wolfgang, S. Alexis, S. Michel.
L’église Sainte Croix, réputée pour son retable de Bongart, son ossuaire, son Christ avec sa poutre de gloire et sa crypte, est fréquentée par les paroissiens et les nombreux touristes. La population a exprimé sa foi à travers les âges par des monuments, fontaine de Constantin, croix de la peste, S. Népomuck protecteur du pont et même par des inscriptions sur des immeubles à colombages « Marie protège cette maison contre l’inondation, le feu et la misère ! »

Kientzheim

clocher de KientzheimCommune viticole et forestière, elle appartient dès le XIIe siècle aux nobles de Coensheim, puis aux familles d’Eguisheim, de Ferette, de Habsbourg, de Ribeaupierre, de Lupfen et de Schwendi. Réputée pour son calme et son art de vivre, cette cité médiévale (1374) conserve son mur d’enceinte. Ville aux nombreux châteaux, elle est le siège de la seigneurie de Hohenlandsberg depuis Lazare de Schwendi (1563). Elle compte parmi sa population des hommes célèbres : Philippe Aimé de Golbery, le général Théodore François Joseph Leclaire (1752-1811), le chevalier d’Olry….
Dès 869, Kientzheim possède déjà une église paroissiale, propriété des sœurs de Zurich, dédiée aux Sts. Félix et Régule, dans le bas de la ville. Après le départ des Clarisses en 1283, une nouvelle église voit le jour et en 1470, elle devient église paroissiale du « haut » sous la protection de Notre Dame des Sept Douleurs. Fortement agrandie et remaniée à plusieurs reprises, elle possède un mobilier baroque remarquable et un orgue Valentin Rickenbach.
A l’église du « bas » a lieu en 1466 un miracle montrant les statues de la Vierge et de S. Jean pleurant ostensiblement. C’est le début d’un pèlerinage marial qui prend un essor considérable et devient célèbre dans toute la vallée rhénane et au-delà pour ses guérisons miraculeuses. Son mobilier, très riche, consiste en des statues polychromes et en bois doré du XVe et d’un Christ janséniste de 1622. Ce sanctuaire, détruit en 1944, est reconstruit en 1966, et cette chapelle, chère au cœur des kientheimois, recèle une collection d’ex-voto unique en Europe du Nord.
Depuis 2009, Kientzheim fait aussi partie de la communauté de paroisses « Au pied du Galtz ».

Niedermorschwihr

NiedermorscwihrA partir du XIVe siècle et jusqu’à la Révolution, le village est divisé en deux parties, l’une relevant du bailliage impérial de Kaysersberg et l’autre, de la seigneurie de Hohlandsberg. Plusieurs établissements religieux avaient des possessions ou des droits à Niedermorschwihr : l’abbaye de Pairis, le chapitre de Saint-Dié, le chapitre cathédral de Bâle, l’ordre de Malte.
Selon les recensements et les registres paroissiaux, le village compte 230 habitants en 1720 et 700 à la fin du XVIIIe, tous catholiques. Au cours du XIXe il compte entre 900 et 1000 habitants dont la majorité vit de la viticulture.
A la fin de la Seconde guerre mondiale, de décembre 1944 à février 1945, continuellement sous le feu de l’artillerie, le village est sinistré à 60% et la population est évacuée début 1945.
Quelques autres faits et événements marquants :
– 1260 : première mention de l’église, célèbre pour son clocher tors
– 3 mai 1491 : la Vierge apparaît, aux Trois-Epis, à Thierry Schoeré, forgeron d’Orbey, qui se rend au marché dîmier de Niedermorschwihr
– 1803 : acquisition de l’orgue des Dominicains de Colmar construit en 1726 par André Silbermann
– 1805 : reconstruction de l’église, devenue trop étroite avec conservation du clocher tors dont le coût de démolition s’avérait trop élevé
– 1918 : création de la chorale paroissiale Ste Cécile
– 1930 : érection du monument du Galtz, un Christ de 25 mètres de haut, offert en témoignage de reconnaissance par des soldats revenus saufs de la première guerre mondiale
– 1963 : baptême de la nouvelle cloche de l’église S. Gall
En lisière de forêt se tapit une chapelle dédiée à S. Wendelin.

Sigolsheim

SigolsheimLe village est sans doute né au VIIe siècle autour d’une propriété seigneuriale de l’abbaye d’Ebermunster. Le vignoble réputé fait partie du patrimoine foncier de toutes les grandes abbayes d’Alsace, de Germanie et de Suisse puis du fief des Habsbourg, du Hohlandsberg et des Ribeaupierre. On trouve les premières mentions de la « Marche de Sigolt » (celui qui impose par la force) au VIIIe siècle.
En 884, l’impératrice Richarde, épouse de l’empereur germanique Charles Gros, fait construire l’église S. Pierre sur l’emplacement de l’actuelle église paroissiale.
En décembre 1944, la colline de Sigolsheim est le théâtre de terribles combats entre Américains et Allemands qui font 2000 victimes. Cette colline entre dans l’histoire sous le nom de «Blutberg » (colline de sang). Le village est entièrement reconstruit entre 1950 et 1960.
L’église Sts. Pierre et Paul est reconstruite une première fois dans le style roman tardif à la fin du XIIe siècle. Cette église est un des joyaux les plus typiques de la route romane d’Alsace avec un clocher à bâtière, une abside en cul de four et un remarquable tympan sculpté en Christ trônant. Elle abrite un Christ en croix du XVIe siècle, une Vierge des douleurs du XIVe et une Ste Anne portant Marie et Jésus du XVIe siècle.
La chapelle Ste Anne, construite au début du XIVe, est dédiée à la Vierge et à S.Wendelin. En 1680 elle est dédicacée à Ste Anne.
Depuis 2009, la paroisse de Sigolsheim fait partie de la communauté de paroisses « Au pied du Galtz ».

Premier pardon – Première communion

Lors du baptême de votre enfant, vous avez pris l’engagement de l’éduquer dans la foi chrétienne. Votre enfant a au moins huit ans. Il convient de l’inscrire à la préparation à la Première Communion.
Ce cheminement se déroule sur deux ans :

– en première année le sacrement du Premier pardon,
– en deuxième année le sacrement de la Première communion.

Les rencontres se font tous les quinze jours dans les différentes paroisses de la communauté. La durée de ces rencontres est d’une heure.
Pour accompagner les enfants, nous cherchons des parents volontaires.
Les inscriptions se font dans la dernière quinzaine du mois de septembre au presbytère d’Ammerschwihr, 3 place de l’abbé Simonis, tél 03 89 47 15 16.

Profession de Foi – Confirmation

Tu as 13 ans ou plus ! Tu es dans les années du collège. L’avenir, avec ses défis, devient pour toi une question à envisager plus précisément.
« Nous croyons profondément que la Bonne nouvelle est un chemin qui peut t’aider à grandir humainement et spirituellement et à trouver bonheur et épanouissement dans ta vie », Olivier FRÖHLICH.

Dès ton plus jeune âge, tes parents ont pris la décision de te baptiser. A présent, il te revient de faire ta profession de foi pour renouveler tes vœux de baptême.
C’est un cheminement de deux ans qui comprend :

– en première année la Profession de foi,
– et en deuxième année, le sacrement de la Confirmation.

Ce sacrement est conféré en principe par l’évêque ou son délégué qui confirme l’engagement du jeune dans sa vie chrétienne. Celui-ci te permet :

  • de découvrir la dimension collective, communautaire et ecclésiale de ta vie,
  • de prendre conscience de tes responsabilités dans les différents lieux de vie, dans la société et dans l’Eglise.Les inscriptions se font dans la dernière quinzaine du mois de septembre au presbytère d’Ammerschwihr, 3 place de l’abbé Simonis, tél 03 89 47 15 16.
    Pour accompagner les enfants, nous cherchons des parents volontaires.
    Les rencontres se font tous les quinze jours au presbytère d’Ammerschwihr. La durée de ces rencontres est d’une heure et demi environ.

Baptême

Le Baptême, qu’est-ce que c’est ?
Est-ce que c’est pour moi ? pour mes enfants ?
Pourquoi et comment le demander ?

  • Le baptême compris par un enfant
    « Le Baptême, c’est quand Jésus est né dans mon cœur. » Voilà ce que disait un enfant de cinq ans. Et c’était pertinent. En effet, il avait fait l’équivalence :
    1- Jésus (Dieu fait homme) vient habiter en nous, « naître dans notre cœur », là où l’on aime, par le Baptême.
    2- Le Baptême est en même temps notre propre naissance à la vie de Dieu.Le Baptême, comme disait l’enfant, c’est le début d’une nouvelle vie, une naissance : « Le Baptême constitue la naissance à la vie nouvelle dans le Christ «  (Catéchisme de l’Eglise catholique, n° 1.277).Cela veut dire une vie nouvelle avec Dieu, et même, dit Saint Paul, l’un des premiers disciples du Christ, « une création nouvelle » (2e épître aux Corinthiens ch. 5, verset 17).
    Le Baptême nous fait devenir « fils ou fille adoptifs de Dieu le Père », frères de Jésus Christ, Dieu le Fils.Et si nous devenons par le Baptême « enfants de Dieu-le-Père et frères de Jésus-Christ », nous pourrons vivre avec lui éternellement dans le Ciel. Après notre mort, comme Jésus-Christ, nous ressusciterons. Mais, dès notre Baptême, dans notre vie ici-bas, nous devenons réellement frères adoptifs de Jésus-Christ.
    Par le Baptême il nous donne la rémission de nos péchés et fait entrer la vie divine en nous. C’est pour cela qu’on parle d’une « naissance ».Le Baptême, c’est quelque chose qui nous est donné, c’est une grâce. La « grâce », c’est un don de Dieu pour les hommes. Le Baptême, c’est la grâce d’une vie nouvelle avec le Christ : vivre comme il vit , aimer comme il aime.
  • Que veut dire « baptiser » ?
    Le mot « baptiser » signifie au sens premier, en grec, plonger dans l’eau. Depuis deux mille ans de christianisme et de baptêmes, il est devenu synonyme d’entrer dans l’Eglise des chrétiens par une cérémonie où l’on verse de l’eau sur la tête. Lors du Baptême, celui qui le reçoit soit est plongé entièrement dans l’eau, par trois fois, (= baptême par immersion), soit reçoit plus simplement, par trois fois également, l’eau du Baptême sur la tête.Cela signifie que « nous sommes plongés dans la mort du Christ » et « promis à participer à sa résurrection », et que dès maintenant, à travers cette eau bénie, nous recevons la source d’une vie nouvelle, « la grâce de Dieu ».
  • Le pardon des péchés
    Le Baptême nous purifie de tout le mal que nous avons pu accomplir auparavant. Par lui Dieu nous pardonne tous nos péchés (c’est à dire les fautes contre l’amour de Dieu, contre l’amour des autres, contre l’amour de soi-même). Par l’eau, par la grâce du Baptême, tout est effacé : nous sommes tout neufs, « une création nouvelle ».
    En même temps le Baptême rompt notre solidarité avec le péché des origines, ce mystérieux « péché originel » : il nous fait entrer dans la solidarité de Jésus-Christ, le nouvel Adam (« Adam », voir ci-dessous).
  • Qu’est-ce que « le péché originel » ?
    Un premier homme et une première femme, au cours de l’évolution, ont reçu le cadeau extraordinaire de la dignité humaine et de la capacité d’aimer librement. C’était le don de Dieu, une vie d’amour et une promesse de vivre pour l’éternité dans la compagnie de Dieu.
    Ce premier homme et cette première femme qui avaient reçu ce don de l’amour sont appelés pour la commodité » Adam « et » Eve ». Nous connaissons leur histoire dramatique à travers ses conséquences. La Bible est le rassemblement de tous les textes à travers lesquels Dieu nous dit qui il est et qui nous sommes. Le premier livre de la Bible, la Genèse, raconte de façon imagée qu’Adam et Eve ont rompu volontairement l’union d’amour, l’alliance qu’ils avaient avec Dieu leur créateur, entraînant une solidarité pour leur descendance.Cette rupture de l’alliance est une réalité dont nous éprouvons tous les conséquences par notre difficulté à aimer vraiment, à être bons, à n’avoir aucune compromission avec le mal dans le monde, en sorte qu’aucun des hommes ne peut se dire en vérité « innocent de tout mal ». Souvent nous « faisons le mal que nous ne voulons pas et nous ne faisons pas le bien que nous voudrions ».
    Nous avons une tendance au mal, à ne pas aimer ou à mal aimer.Et tous les hommes cherchent à leur façon, confusément, à sortir du mal, à avoir une meilleure image d’eux mêmes, à se « purifier ». C’est cette purification que certains recherchent par l’idée de réincarnations successives au cours desquelles on deviendrait peu à peu meilleur ; d’autres proposent un chemin de jeûnes, d’exercices physiques comme le yoga, ou mentaux par des « méditations transcendantales », voire par des régimes alimentaires, des  » éléments « , des « pierres », des « métaux », des « énergies »…

Le Baptême, c’est beaucoup plus simple : Dieu lui-même, l’Innocent de tout mal, lui qui non seulement est bon, mais est la Bonté elle-même, vient à notre secours : à travers l’eau du Baptême, il efface tous nos péchés et nous donne la grâce d’aimer. Seul Celui qui est Bon peut me faire devenir bon.

 

  • Pourquoi Jésus-Christ est-il appelé « Notre Sauveur » ?
    Après la rupture de l’alliance d’amour avec Dieu du premier homme et de la première femme, Dieu ne se console pas de voir les hommes aller à leur perte, à la mort. Il va leur proposer « une nouvelle alliance », et pour cela il envoie vers eux son Fils.
    Par amour pour nous, Dieu-le-Fils se fait homme comme nous. Il prend un corps et une âme en naissant de la Vierge Marie à Bethléem en l’an 1 de notre ère (à peu près, sans doute 6 ans plus tôt). Son nom est Jésus, ce qui veut dire « Dieu sauve ».Les livres appelés « évangiles » rapportent sa vie et ses paroles. On donne à Jésus le titre de « Christ », ou « Messie » parce qu’il est le consacré de Dieu. Christ en grec, messie en hébreu veulent dire « consacré », qui a reçu l’onction de Dieu.Jésus-Christ annonce pendant sa vie terrestre, historique, « le Royaume de Dieu », c’est à dire la voie pour être purifié de ses péchés, grandir dans une vie d’amour et retrouver l’amitié avec Dieu, pour toujours, c’est à dire pour l’éternité. Mais son message n’est pas accueilli par les responsables religieux et politiques de l’époque. Finalement il est mis à mort sur une croix. Cette mort, il l’accepte volontairement, par amour pour nous. Il a offert sa vie pour nos donner le salut de Dieu.
    Il est mis au tombeau, mais le troisième jour il ressuscite, et répand l’Esprit Saint sur ses disciples (les Apôtres).Ces disciples, témoins de sa vie, de son enseignement et de sa résurrection, vont annoncer l’Evangile jusqu’aux extrémités de la terre (Cela continue aujourd’hui).
    Jésus-Christ après sa Résurrection, et avant sa montée au Ciel, l’Ascension, a confié en effet urne mission à ses disciples :
     » Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit «  (évangile de Saint Matthieu, ch. 28, v. 19).Voici un résumé dans l’Evangile de Saint Jean : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils Unique afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. » (évangile de saint Jean, ch.3, v. 16 et 17).
  • Que faut-il faire pour être baptisé ?
    Pour recevoir le Baptême, il faut le demander, en vérité et d’un cœur sincère. Celui qui demande le Baptême reconnaît Jésus-Christ comme le Seigneur, c’est à dire Dieu ; il croit en Dieu trinité, Père, Fils et Esprit. Il croit à l’évangile, c’est à dire aux paroles de Jésus, qui lui est donné par l’Eglise. Il croit à l’Eglise Catholique à qui Jésus a confié la mission de faire connaître son évangile au monde.C’est cela que l’on appelle la foi. La foi, c’est la confiance en Dieu, la confiance dans les promesses de Jésus-Christ. L’Eglise nous transmet ces promesses à travers l’évangile et les sacrements. Le Baptême est le premier des sacrements, l’entrée. La foi, la confiance en Dieu, est un don de Dieu, une grâce. Ce don est accueilli librement. Et si le don de la foi est accueilli par nous, elle va grandir : pendant la préparation au Baptême (Catéchuménat), et encore plus à partir du Baptême.Il n’est donc pas nécessaire d’avoir « une foi complète » pour demander à être baptisé. Pendant la cérémonie du Baptême, on demande au catéchumène (ou à son parrain si c’est un petit enfant) :
    « Que demandez-vous à l’Eglise de Dieu ?  » et il répond : « La foi ! ».  Avec le baptême, avec cette grâce d’une nouvelle vie dans le Christ, notre désir de connaître Dieu, notre amour et notre confiance en lui vont augmenter. La communauté des baptisés, l’Eglise, nous y aidera.
  • Que fait-on après le baptême ?
    A partir du Baptême commence toute une vie de foi, d’espérance et d’amour. Cela durera jusqu’à notre mort terrestre et à la rencontre face face avec Dieu dans le Ciel. Une fois baptisé, on peut expérimenter une paix et une joie profondes et durables qui ne viennent pas de nous. Parfois il y a des hauts et des bas, c’est le combat pour l’amour et la vérité. Le Seigneur Dieu vient à notre aide ; il nous envoie l’Esprit Saint pour nous guider et nous fortifier. Il nous donne sa grâce. Il nous soutient par la communauté chrétienne : selon le mot de l’Ecriture, « un frère pour un frère, c’est une tour fortifiée ».Dans le sacrement de l’Eucharistie, qu’on nous expliquera au cours de la préparation au Baptême, nous recevrons de nouvelles forces pour vivre en chrétien. Et peu à peu nous accueillerons cette grâce du baptême plus profondément. Nous l’accueillerons bien sûr dans notre vie de prière, mais aussi dans notre travail, notre vie de famille, nos relations sociales.
    Alors, comme Saint Paul nous pourrons dire : « Ce n’est plus moi qui vit, c’est le Christ qui vit en moi ! « Par notre Baptême, Dieu nous ouvre le Ciel. C’est notre espérance, comme il est dit dans le célèbre Livre de Job (dans l’Ancien Testament, la partie de la Bible avant les Evangiles), 500 ans environ avant Jésus : « Je sais que mon Rédempteur est vivant que lui, le dernier, se lèvera sur la poussière. Après mon éveil, il me dressera devant lui et de mes yeux de chair je verrai Dieu. » (Job, 19, v.25 et 26)Mais dès maintenant, baptisés, sans voir encore le Christ, nous avons déjà une joie que nul ne peut nous enlever : « Sans l’avoir vu, vous l’aimez ; sans le voir encore, mais en croyant, vous exultez d’une joie indicible et pleine de gloire, sûrs d’obtenir l’objet de votre foi : le salut de vos âmes. «  (1ère épître de Saint Pierre, ch.1, v.8)
  • Le baptême est-il possible pour des adultes ?
    Chaque année, même dans un pays traditionnellement catholique comme la France, des milliers d’adultes demandent le Baptême. Si l’on n’a pas été baptisé enfant, on peut demander le Baptême à tout âge. Même à 90 ans passés, comme Madeleine, cette dame qui était dans un service d’hôpital pour personnes âgées. Vous pouvez vous adresser à Monsieur le curé au presbytère, ou vous connecter sur le site du Service du catéchuménat du diocèse de Strasbourg : https://www.alsace.catholique.fr/les-services/catechumenat-des-adultes/
  • Est-ce qu’un enfant peut être baptisé ?
    Oui, évidemment, c’est le cas le plus habituel dans nos pays ; le Baptême est un don de Dieu, il n’est pas la récompense d’un travail intellectuel. Il n’y a pas d’âge minimum requis pour recevoir cette grâce. Par le Baptême, la vie d’union avec Dieu dans l’amour peut commencer aussitôt que la vie humaine.
    Dès la naissance donc, tout enfant peut être baptisé si ses parents le demandent, et s’ils promettent de l’éduquer dans la foi au Christ.
    L’instruction de l’enfant concernant Jésus-Christ et la Trinité, l’Eglise et les Sacrements s’appellera « Catéchisme ».
  • L’enfant baptisé jeune sera-t-il libre ?
    Bien sûr, tout comme un baptisé adulte, l’enfant, en grandissant, aura toujours la liberté de continuer à dire « oui » à son baptême, à la vie avec le Christ. Le Baptême est une grâce pour la vie, mais c’est une grâce à laquelle on dit « oui » chaque jour, librement, c’est à dire avec amour. Mais les parents chrétiens seraient vraiment peu aimants pour leur petit enfant de lui refuser ce don de Dieu qu’est le Baptême. Ce don qu’ils ont eux-mêmes reçu et grâce auquel ils peuvent mieux aimer, mieux espérer.
  • Les enfants ont une vie spirituelle
    Il faut savoir que les tout-petits ont réellement une « vie spirituelle », c’est à dire de sensibilité à Dieu, d’amour pour lui. Si les parents prient avec leurs jeunes et même très jeunes enfants, ils découvriront cette vie spirituelle de leurs enfants. Ils recevront eux-mêmes un grand encouragement à leur vie avec le Christ en voyant la confiance des enfants. Ils recevront des lumières de l’Esprit Saint à travers des réflexions des enfants.
    Dieu n’est pas la propriété des adultes. Il connaît une façon de parler au cœur des enfants bien avant l’âge de raison  « Je te bénis, Père, Seigneur du Ciel et de la terre, d’avoir caché cela aux sages et aux intelligents et de l’avoir révélé aux tout-petits ». (évangile de Saint Luc, ch. 10, v.21)
  • La préparation du sacrement du baptême
    Deux rencontres sont prévues avec le prêtre. Lors de la première rencontre, il vous expliquera le sacrement du baptême et vous remettra un livret qui s’intitule : « La fête du baptême » où vous aurez à choisir tout ce qu’il vous convient pour la célébration du baptême de votre enfant. Lors de la deuxième rencontre, vous reviendrez auprès du prêtre avec toutes vos interventions et le déroulement précis de la célébration.

Mariage

  • Le mariage est le signe visible de l’union du Christ et de l’Eglise
    Saint Paul présente le mariage des chrétiens comme le signe de l’union du Christ et de l’Eglise. « L’homme quittera son père et s’attachera à sa femme et les deux ne feront qu’une seule chair. Ce mystère est de grande portée ; je veux qu’il s’applique au Christ et à l’Eglise. » (Eph 5,31) Le mariage est un grand mystère par rapport au Christ et à l’Eglise. C’est le signe visible d’une réalité spirituelle.

Le sacrement du mariage confère aux époux chrétiens des grâces spéciales qui leur permettront d’accomplir leur vocation, les grâces nécessaires pour vivre saintement et pour bien élever leurs enfants. Il donne aux époux la grâce de s’aimer de l’amour dont le Christ a aimé son Eglise. Il y a donc deux réalités dans le sacrement du mariage : le lien du mariage et les grâces du mariage.

  • La préparation au mariage
    Trois rencontres ont lieu avec le prêtre. Il y a un échange sur les motivations quant au mariage religieux. Les problèmes administratifs sont réglés.

Le prêtre leur remet différents documents :
– un numéro de la revue « Fêtes et Saisons » sur le mariage, permettant de préparer la célébration
– un ensemble de dossiers invitant à s’interroger et dialoguer en couple sur les thèmes suivants (mes qualités/tes qualités, qui est Dieu pour nous, nos moments difficiles, la communication verbale et non-verbale)
– un document leur permettant de rédiger la déclaration d’intention avec une explication sommaire des différents piliers du mariage religieux.
– une liste donnant les différents intervenants pour la célébration (chorale, fleuriste, organiste etc.…)
– une feuille contenant le déroulement d’une célébration du mariage, avec ou sans eucharistie

Lors de la deuxième rencontre, on échange sur les différents dossiers travaillés à la maison. Puis le prêtre aborde les 4 piliers du mariage religieux que sont la liberté, la fidélité, l’indissolubilité, la fécondité. Chacun est invité à rédiger, pour la rencontre suivante, sa déclaration d’intention contenant ces 4 piliers. Ils sont également invités à lire, méditer et choisir les textes de leur célébration.

Lors de la troisième rencontre, chacun lit d’abord sa déclaration d’intention au mariage. Un partage a lieu autour des textes bibliques. Ensuite, nous finalisons la célébration du mariage.

Pastorale des malades

« J’étais malade et vous m’avez visité. » dit Jésus aux bénis de son Père.

Notre communauté de paroisses porte le souci des malades : elle lance un appel aux bénévoles qui voudraient rejoindre les équipes de visiteurs déjà en place.
Si vous vous sentez interpellé, merci de contacter M. le curé, ou Denis Kleitz, diacre au 03 89 49 88 76.

Par ailleurs, si vous connaissez des personnes qui sont en soins à la MGEN aux Trois-Epis et qui désireraient recevoir la Communion, contactez Denis Kleitz, 03 89 49 88 76. Merci pour elles.

Funérailles

Pour les funérailles, contactez notre curé  :
Père Alain RIEGERT
Presbytère
3 place de l’Abbé Simonis
68770 Ammerschwihr
03 89 47 15 16
alain.riegert@wanadoo.fr

La mission de la pastorale de la santé au sein de l’Eglise catholique, c’est principalement :

  • être à l’écoute des personnes malades, âgées, handicapées, de leurs proches, du personnel soignant, à domicile ou dans les établissements de santé ;
  • y témoigner de le tendresse de Dieu ;
  • s’impliquer dans les questions éthiques .

« J’étais malade et vous m’avez visité » (Mt 25,35)

SEM (Service de l’Evangile auprès des Malades)

Le SEM, ce sont des chrétiens envoyés par la communauté paroissiale, qui sont appelés à :

  • visiter des personnes fragilisées par la vie ou la maladie, ou des personnes âgées, à domicile ou dans les établissements de santé (Ehpad),
  • les accompagner sur leur chemin en respectant leurs convictions,
  • témoigner de leur foi auprès de ces personnes.

Les membres du SEM se retrouvent régulièrement en équipe, se forment et assurent le lien avec la communauté paroissiale.

Notre souhait est de mettre en route une équipe SEM sur notre Communauté de paroisses.

Les personnes qui désirent recevoir la communion ou le sacrement des malades peuvent s’adresser à Monsieur le Curé Alain Riegert.

Aumônerie des Ehpad (Ammerschwihr et Kaysersberg)

Une équipe de bénévoles seconde le prêtre pour amener à la chapelle les résidents qui le désirent les jours où une messe est célébrée (tous les samedis à 17h à Ammerschwihr, les 2e et 4e mercredis du mois à 16h à Kaysesberg).

M. l’abbé Martin Heitzmann, responsable, intervient dans les deux Ehpad.

page en cours de constitution, merci de votre compréhension  🙂

AU PIED DU GALTZ - ASSOCIATION DES AMIS DES ORGUES DE KIENTZHEIM

orgues Kientzheim

Créée en mars 2017, l’Association les Amis des Orgues Valentin Rinkenbach de Kientzheim accompagne le projet de rénovation et d’entretien des orgues de l’Eglise Notre-Dame des Sept Douleurs de la ville de Kientzheim (Kaysersberg-Vignoble). L’association a pour objet de les rénover, de les entretenir et de faire leur promotion.

Pour réaliser son objet, l’association organise des conférences, des repas caritatifs, des concerts, des expositions, des actions de formation…

Le rapport d’expertise, accessible par le lien infra, atteste de l’exceptionnelle richesse patrimoniale de l’orgue de Kientzheim,  » le chef d’œuvre de Valentin Rinkenbach ».

L’expertise rend aussi compte  de l’impérieuse nécessité de sauvegarder ce patrimoine unique.

Aidez l’association Les Amis des Orgues Valentin Rinkenbach de Kientzheim et exprimez votre soutien par un don. Merci de votre générosité !

BULLETIN ADHESION AAOK

Association des Amis des Orgues de Kientzheim, 48 Grand’rue, Kientzheim, 68240 KAYSERSBERG VIGNOBLE

MEJ : quitte ton canapé, prends du temps pour découvrir

Le MEJ Alsace organise un WE Interbranches les 7/8 Octobre dont le thème est « Quitte ton canapé, prends du temps pour découvrir ce qui a du prix à tes yeux » le dimanche 8 octobre, au centre ‘Le Vallon’ à Orbey Basses-Huttes,

Mgr Ravel rencontre les coopérateurs d’Alsace

Mardi 19 septembre à la maison diocésaine Teilhard de Chardin de Mulhouse, Mgr Luc Ravel a été à l’écoute de la centaine de laïcs en mission au sein du Diocèse de Strasbourg.

Calendrier des visites pastorales de Mgr Ravel

Mgr Luc Ravel va entreprendre entre décembre 2017 et décembre 2018, une visite pastorale de 4 jours dans chacune des 14 zones pastorales (ZP) du diocèse, pour aller à la rencontre des communautés paroissiales et des réalités ecclésiales.

L’imaginaire des Scouts et Guides De France

Les Scouts et Guides du France du Haut-Rhin organisent un rassemblement destiné à leurs jeunes sur le terrain du Val du Pâtre, commune de Soultzmatt, les 3, 4 et 5 juin 2017 (week-end de la Pentecôte).

Avec les confirmands, Vivre la Passion du Christ selon St Marc

Environ 250 personnes des communautés de paroisses « Vignes et Châteaux » et du « Bon Pasteur » qui forment le doyenné de Ribeauvillé ont assisté, aux deux représentations de la Passion du Christ données par les 24 confirmands dans le cadre de leur parcours, les 1er et 14 avril dernier dans les églises de Bennwihr et Ostheim.

De la catéchèse avec des Lego

Lors de la semaine sainte, plus de 200 enfants de la zone pastorale Vignoble et Vallée se sont retrouvés à Rosheim pour une activité des plus originales : faire de la catéchèse avec des Lego.

Un prêtre écroué

L’Abbé Hubert SPITZ a été incarcéré à Colmar le 28 septembre 2016. Alors qu’il venait de quitter la communauté de paroisses de Wintzenheim et qu’il s’apprêtait, le 2 octobre prochain, à rejoindre la communauté de Thann, Hubert Spitz a été mis en examen, « soupçonné de viol, d’agression sexuelle et d’abus de confiance ».

Pélé Jeunes vécu par Vignoble Vallées

Du 17 au 23 août 24 jeunes et 6 accompagnateurs de la zone Vignoble Vallées ont participé au Pélé Lourdes organisé par le diocèse.

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