AMMERTZWILLER – église Saint Etienne

AMMERTZWILLER était, par le passé, un haut lieu de pèlerinage situé à mi-chemin entre FELDBACH et THANN.
L’église telle que nous la connaissons a été construite en 1927 pratiquement sur l’emplacement de l’église détruite lors de la 1ère guerre mondiale. Les travaux ont débutés en 1925 pour s’achever en juin 1927. La consécration a lieu le 8 septembre 1927.  De style néo-gothique, l’église d’Ammertzwiller abrite un retable d’une très grande richesse. On remarquera les encadrements, soubassements et chapiteaux en grès rose qui soulignent ses traits essentiels et la mettent en valeur. La flèche du clocher est recouverte d’ardoises tandis que la toiture de la nef est couverte par de la tuile plate alsacienne. De forme compacte, elle exhale une beauté humble aux proportions parfaites.
Pour en savoir plus : historique Eglise d’Ammertzwiller

BALSCHWILLER – église Saint Morand

A l’origine BALSCHWILLER faisait partie de la paroisse de GILDWILLER dont le sanctuaire placé au haut de la colline sacrée, avait été l’église-mère des villages situés au pied de la colline.
Au cours des siècles, vers l’année 1100, BALSCHWILLER eut une église qui servit également aux fidèles d’UEBERKUMEN. D’après une vieille tradition, Saint-Morand, apôtre du Sundgau et prieur d’un petit prieuré clunisien près d’Altkirch, visitait toujours cette première église lors de son pèlerinage à l’église Notre-Dame de GILDWILLER.
Avant l’année 1200, BALSCHWILLER avait deux églises, l’une était placée au « Niederdorf » près de la cour colongère de MASEVAUX, l’autre, sans doute érigée par les comtes de FERRETTE et destinée aux fidèles de la cour colongère seigneuriale, s’élevait dans « l’ Oberdorf »  (haut village).
Pour en savoir plus :historique Eglise Saint Morand de Balschwiller

BERNWILLER – église Saint Jean Evangéliste

Dédiée à Saint-Jean Baptiste dès le XVème siècle, l’église de Bernwiller  fut dévastée à plusieurs reprises au cours des siècles passés. Reconstruite en 1784 sur les plans de Zeller (chœur et sacristie) et Ritter (nef et tour), elle possédait en 1832 une flèche à huit pans.
Gravement touchée par les bombardements en 1915, l’église fut reconstruite en 1928 sur les ruines de l’ancien édifice datant de 1784.  Les architectes de l’époque, Horn et Voegtlin, la dotèrent alors  d’un clocher coiffé d’une coupole néo-byzantine en forme de bulbe comme on peut le voir dans le Tyrol ou en Franche Comté.
Reconnaissable en toutes par son clocher, l’église de Bernwiller abrite des statues et des peintures remarquables. En 2004, d’importants travaux de réfection ont été menés à l’intérieur de l’église paroissiale : pose d’un revêtement de sol en pierre naturelle, traitement de la charpente, réfection des menuiseries bois et de la peinture, pose de faux plafonds et  travaux d’électricité.  L’église rénovée a été inaugurée le 16 octobre 2004 en présence de Monseigneur Doré.

BUETHWILLER – église Saint Etienne

Consacrée à Saint-Étienne, le premier des martyrs, l’église de Buethwiller fut construite en 1737 à l’initiative du curé Gressard. Deux ans plus tard, en 1739, l’édifice fut rehaussé d’un clocher doté de trois cloches (50, 100 et 300 kg), lesquelles avaient été coulées à Porrentruy en Suisse.
Pièce majeure de l’église de Buethwiller, le maître-autel est consacré à saint Etienne . Un autel secondaire de style baroque est dédié à sainte Catherine, représentée avec une roue brisée. On peut également remarquer les statues des patrons secondaires, saint Fridolin et saint Sébastien. L’intérieur abrite encore quatorze statues de style naïf populaire.
Rénovée en 2014, l’église a bénéficié d’une réfection complète de ses peintures tandis que les vitraux, statues, ornements, bancs et boiseries retrouvaient leur éclat d’antan grâce aux bénévoles du conseil de fabrique.

DIEFMATTEN – église Saint Nicolas

L’église Saint Nicolas de Diefmatten se dresse sur l’emplacement d’une ancienne chapelle datant de 1778.

Cette ancienne chapelle avait été Bénie en 1779 et agrandie en 1852. Son chœur et sa sacristie furent construits en 1854. Le cimetière aménagé autour de l’église date quant à lui de 1855.

La chapelle fut élevée au rang d’église paroissiale en 1861. Dédiée à Saint Nicolas, elle est surmontée d’un clocher de style franc-comtois coiffé d’un coq. Derrière l’autel béni en 1857, on peut admirer une très belle toile représentant saint Nicolas.

EGLINGEN – église Saint Léger

Fortement endommagée lors de la première guerre mondiale, l’église de Eglingen fut démolie en 1926. La nouvelle église  dont les travaux de reconstruction avaient débuté le 4 septembre de la même année, fut bénie le 9 octobre 1927.

Témoins de son passé, les cloches, l’orgue, les autels, les stations, les vitraux, les plafonds peints et autres confessionnaux nous content son histoire…

Pour en savoir plus :
EGLINGEN – l’Eglise St Léger par Aimé Brun
EGLINGEN – L’Enigme du GLOCKAHUS par Aimé Brun

GILDWILLER – église Notre Dame du Mont

Erigée sur la colline du Sternenberg à 346 m d’altitude, l’église de Gildwiller sur le mont fut longtemps l’église-mère des villages construits aux pieds de la colline.  Aujourd’hui encore, elle rassemble tout au long de l’année, les habitants de Gildwiller, Falkwiller et Hecken, ainsi que de nombreux pèlerins qui viennent s’y recueillir.
Son histoire est tourmentée : ruinée et détruite par les Anglais pendant la guerre de Cent ans (1376), et par les « Armagnacs » en 1441, elle sera reconstruite en 1833 puis agrandie trente ans plus tard. Bombardée à plusieurs reprises pendant la première guerre mondiale, elle sera incendiée le 4 septembre 1914, par les troupes françaises pour qu’elle ne serve pas de repère aux allemands.
Pour en savoir plus :Historique église Gildwiller

HAGENBACH – église Saint Pierre

Historiquement, l’église du village se trouvait dans la partie Oberdorf (haut du village). Les premiers écrits datant de 1474 rapportent que le sanctuaire subit quelques dégâts suite à l’incursion des mercenaires d’Etienne de Hagenbach, frère du tristement célèbre Pierre de Hagenbach. La visite canonique de 1603 relate une église en mauvais état, celle de 1632 la trouve en ruines, probablement suite aux dévastations de la guerre de trente ans. Par contre, la visite de 1650 ne souligne rien de particulier sur l’état de l’église : on peut donc penser qu’elle a été reconstruite entre temps, sous l’administration du curé de Balschwiller. Un croquis de 1760 nous montre une église simple et petite, percée par trois vitraux latéraux. Le clocher regardait vers l’est comme l’édifice actuel (nord-est). En 1756, on constata que la sacristie était entièrement ruinée et que le chœur devait être réparé.
En 1772, on parle d’une église vétuste et en mauvais état général. Elle sera détruite quelques années plus tard et sa disparition entraîna celle du caveau des nobles de Hagenbach.
Aujourd’hui, seul un calvaire rappelle le probable emplacement du sanctuaire originel.
Pour en savoir plus :  Historique église de Hagenbach

L’Équipe d’Animation Pastorale (EAP)

L’équipe d’animation pastorale est une équipe composée  de laïcs qui participent en étroite collaboration avec le curé de la paroisse à la mission de l’Eglise locale dans la fidélité aux orientations diocésaines.
Elle veille à la cohésion et au dynamisme de l’Église qui vit sur le territoire de la communauté de paroisses.
Avec le curé elle décide, cordonne et met en œuvre les activités habituelles ou exceptionnelles de la paroisse.
Les membres de l’équipe d’animation pastorale travaillent ensemble dans une communion fraternelle et missionnaire. Ils consolident leur action dans  la prière, la parole de Dieu et les sacrements.                                                     

Notre équipe :

M. le Curé Jean-Paul Grandthurin
Balschwiller – 06 22 70 43 23 – jpggdsem@yahoo.fr

Animatrice de Zone – Béatrice Hascher
beatrice.hascher@cmub-internet.fr

LITURGIE – Marlyse Bruckert
Gildwiller  – 03 89 25 34 83 – ml.bruckert@orange.fr

SOLIDARITE – Monique Faedy
Spechbach-le-haut – 03 89 25 43 76 – francois.faedy@wanadoo.fr

BIEN MATERIEL – Laurent Kuony
Hagenbach – 03 89 25 32 45 – laurent-kuony@orange.fr

ANNONCE DE LA PAROLE – Simone Gross
Gildwiller – gross.simone@wanadoo.fr

COMMUNICATION – Valérie Desjardin
Balschwiller – 07 82 930 970 – valerie.desjardin68@gmail.com

Le Conseil Pastoral

Le conseil pastoral un est groupe de réflexion au service de la communauté des chrétiens.

Présidé par le curé, il examine les besoins de l’évangélisation sur le territoire de la paroisse et les moyens d’y répondre. De par la diversité de ses membres, le conseil pastoral reflète la vie de la communauté chrétienne. Avec pour soucis la qualité de vie évangélique de la paroisse, il propose des orientations, aide à murir les projets qui lui sont confiés et fait l’écho de la vie de la paroisse.

• Il est « veilleur et éveilleur » pour la mission de l’Église. Et pour cela il est à l’écoute des attentes et des suggestions de toute personne pour contribuer à la cohésion de la communauté de paroisses.
• Il rappelle la dimension universelle de l’Église et la dimension internationale de la réalité sociale en proposant des actions de solidarité.
• Il se réunit chaque trimestre.

Membres

M. le Curé Jean-Paul Grandthurin
Balschwiller – 06 22 70 43 23 – jpggdsem@yahoo.fr

EAP LITURGIE – Marlyse Bruckert
Gildwiller  – 03 89 25 34 83 – ml.bruckert@orange.fr

FLEURISSEMENT – Odile Baugenez
Hagenbach – 03 89 25 91 52 – baugenez.patrice@wanadoo.fr

MCR – Angèle Beltz
Bernwiller -b.beltz@hotmail.fr

CHORALES – François Faedy
Spechbach-le-Haut – 03 89 25 43 76 – francois.faedy@wanadoo.fr

ELUS – Claude Gentzbittel
Hecken – 03 89 25 36 33 – claude.gentzbittel@orange.fr

CATECHESE SCOLAIRE – Marie-Claude Grienenberger
Eglingen – 03 89 25 33 94 – mc.grienenberger@neuf.fr

CONSEILS DE FABRIQUE – Roger Hartmann
Falkwiller – 03 89 25 34 99 – r.hartmann@wanadoo.fr

SOLIDARITES – Cécile Kippelen
Balschwiller – 03 89 25 31 27 – cecile.kippelen@wanadoo.fr

COOPERATEUR de la PASTORALE – Christophe Krust
Vieux-Thann – 03 89 37 01 31 – krust.christophe2@wanadoo.fr

VISITEUSES de MALADES – Roseline Muller
Diefmatten – 03 89 26 91 41 – roseline.muller68@orange.fr

EVEIL à la FOI / PREPARATION MARIAGE – Marguerite Schoen
Hecken – 03 89 25 31 01 – schoen.marguerite@orange.fr

Marie-Paule Martin
Bernwiller – 03 89 25 33 29 – miaoumartin@orange.fr

Les Conseils de fabrique

Les fabriques d’église sont régies par le décret du 30 décembre 1809 et sont des établissements publics du culte, dotés de la personnalité juridique de droit public.

Ces établissements sont chargés de veiller à l’entretien des édifices culturels et d’administrer les biens et revenus affectés à l’exercice du culte, en réglant les dépenses et en assurant les moyens d’y pourvoir.

La durée du mandat des conseillers est de six ans. Aucun membre ne pourra accomplir plus de trois mandats successifs.

Paroisse de EGLINGEN

Président : Dominique Grienenberger
03 89 25 33 94 – d.grienenberger@wanadoo.fr
Trésorière : Maryvonne Brun
03 89 25 30 47 – aimebrun@wanadoo.fr
Secrétaire : Paul Gerber
Membre : Régine Finck
Membre : Léon Greter

Membres de droit :
M. le Curé Jean-Paul Grandthurin
M. le Maire Pierre Schmitt

Les équipes Liturgiques

Les équipes liturgiques ont pour rôle, avec le prêtre, de préparer la messe du dimanche. Elles sont composées de quelques personnes qui lisent et méditent ensemble les lectures proposées, cherchent un axe ou des idées forces. Ce sont elles qui rédigent les textes pour le mot d’accueil de l’assemblée, pour la préparation pénitentielle, pour la prière universelle, … en s’aidant des publications, revues et livres à leur disposition.
En lien avec les animateurs de chant, elles prévoient l’animation de la liturgie : choix des chants tant de l’ordinaire de la messe que de ceux qui ponctueront la célébration (entrée, communion, envoi …) en fonction du temps liturgique et de l’axe choisi.
Enfin, elle réalise une feuille d’animation remise à l’organiste et au célébrant.
Les équipes liturgiques contribuent à rendre nos liturgies aussi vivantes et animées que possible.

Lecteurs

Le lecteur est au service de Dieu qui en fait son porte-parole et celui de l’assemblée à qui il porte la Parole de Dieu, pour qu’elle s’en nourrisse et en vive à la gloire de Dieu. L’équipe des lecteurs assure les lectures aux offices dominicaux et participe à la distribution de la communion aux fidèles.
Chaque lecteur intervient à tour de rôle selon un planning établi.

APPEL à LECTEURS : Les personnes qui souhaitent devenir « LECTEUR » sont les bienvenues.
N’hésitez pas à contacter le responsable des lecteurs de votre paroisse.

Responsables des lecteurs :

Paroisse de Ammerztwiller : Agnès Kuony
03 89 25 31 13 – ag.kuony@wanadoo.fr

Paroisse de Balschwiller : Jean-Claude Peduzzi
03 89 25 37 09 – jcpeduzzi@sfr.fr

Paroisse de Bernwiller : Simone Schittly
03 89 25 90 32 – joseph.schittly@wanadoo.fr

Paroisse de Buetwiller : Philippe Schindler
03 89 25 31 74 – schindler.philippe@wanadoo.fr

Paroisse de Diefmatten :
Jacqueline Blonde – 03 89 26 91 03 – eugene.blonde@orange.fr
Roseline Muller – roseline.muller68@orange.fr

Paroisse de Eglingen : Maryvonne Brun
03 89 25 30 47 – aimebrun@wanadoo.fr

Paroisse de Gildwiller : Marlyse Bruckert
03 89 25 34 83 – ml.bruckert@orange.fr

Paroisse de Hagenbach : Sophie Messerlin
03 89 25 36 90 – sofi.messerlin@orange.fr

Sacristains & Sacristines

Essentiel dans la vie d’une paroisse,  le rôle de la sacristine/ du sacristain est d’être au service du Christ et de l’Eglise par la liturgie, en préparant les lieux de célébration en fonction des assemblées et en préparant tous les objets nécessaires aux différents rites. Le sacristain collabore ainsi étroitement avec le prêtre qui préside les différentes célébrations, mais il entre aussi en relation avec beaucoup d’autres personnes, telles que les lecteurs, les servants de messe, les équipes liturgiques, les catéchistes, etc. En ce qui concerne les servants de messe, son rôle est important en ce sens qu’il est en général celui qui les accueille, les forme et les encourage.

AMMERTZWILLER : Agnès Kuony et Nicole Welterlin.
BALSCHWILLER : Bernard et Marguerite Stemmelen
BERNWILLER : Anne-Marie-Pierre Schittly
BUETHWILLER : Jean-Marie Koenig et Jean-Paul Koenig
DIEFMATTEN : Céline Blondé
EGLINGEN : David Burkel
GILDWILLER : Marlyse Bruckert, Simone Schittly, Marie Odile Rosenacker et Nicolas Schnoebelen
HAGENBACH : Véronique Grevillot – Francine Schweitzer – Sophie Messerlin

Chorales

Les différentes chorales de notre communauté de paroisses ont pour mission de se mettre au service de la communauté des chrétiens en soutenant sa prière lors des célébrations eucharistiques. Présentes aux messes dominicales, aux grandes fêtes mais aussi aux funérailles, leur mission est d’orienter l’assemblée vers celui seul qui est le centre de l’action liturgique : Dieu Père, Fils et Saint-Esprit . Par le chant et l’émotion musicale qui s’en dégage, elles favorisent le recueillement et la prière . Le chant vient alors exprimer une relation forte de chacun avec Dieu.

Notre communauté de paroisses compte 8 chorales qui contribuent chacune à embellir la liturgie et aident à la prière des fidèles.  Elles se rassemblent et collaborent lors des cérémonies communes à notre communauté de paroisses. L’exigence de qualité qui les anime nécessite des répétitions régulières tout au long de l’année. Si vous souhaitez rejoindre l’une des chorales, n’hésitez pas à prendre contact avec le chef de chœur de votre paroisse.

Chefs de chœur :

AMMERTZWILLER : François Faedy
BALSCHWILLER : Jeannine Moritz
BUETHWILLER : Jean-Paul Koenig
DIEFMATTEN : Eugène Blondé
EGLINGEN : Katia Hermann
GILDWILLER : Laurent Schnoebelen
HAGENBACH : Annick Rein

Fleurissement

Si le fleurissement de nos églises participe à la beauté des cérémonies religieuses, il contribue également à créer un espace de prière et de recueillement… un espace qui soit accueillant pour celles et ceux qui entrent dans nos églises.

Ainsi chaque semaine,  plusieurs équipes chargées du fleurissement de nos églises se relaient pour créer de belles décorations florales. Autrefois réalisées spontanément par les paroissiens pour embellir leur église, ces décorations ont évoluées : privilégiant la simplicité, les fleurs de saison, elles se mettent désormais au service de la liturgie et chaque célébration fait l’objet de nouvelles créations.

Merci à toutes les personnes qui donnent de leur temps et de leur talent pour le fleurissement de nos églises.

Les équipes

AMMERTZWILLER : Agnès Kuony, Nicole Welterlin, Geneviève Biechlin
BALSCHWILLER : Marguerite et Bernard Stemmelen, Véronique Schnoebelen, Hélène Schnoebelen, Jeanne Johann
BERNWILLER : Anne-Marie Schittly
BUETHWILLER : Denise et Robert Sauner
DIEFMATTEN : Jocelyne Richert
EGLINGEN : Valérie Gerber
GILDWILLER : Marie-Odile Rosenacker, Marie-Rose Freyburger
FALKWILLER : Liliane Gross, Marie-Rose Berna
HECKEN : Anne-Marie Orlandini
HAGENBACH : Odile Baugenez

Entretien des églises

Dans chacune de nos Paroisses, des bénévoles assurent régulièrement l’ouverture et la fermeture des églises, leur nettoyage et leur fleurissement. Réalisées dans la discrétion, ces activités sont pourtant indispensables et reflètent la vitalité de la communauté qui les fréquente.

MCR

Présent dans tous les diocèses de France, le MCR ou Mouvement Chrétien des Retraités est composé d’équipes locales qui se réunissent une fois par mois pour réfléchir, écouter, dialoguer, partager leurs joies, leurs peines, leurs questions, donner du sens à leur vie à la lumière de la Parole de Dieu.

Le MCR vous propose :
Des colloques nationaux et régionaux
Des rencontres intergénérationnelles
La découverte du patrimoine culturel et religieux,
Des pélerinages diocésains
Des voyages
Les JMR (Journées du Monde de la Retraite)

Solidarité

Voyage de l’Espérance

Caritas Alsace est un service de l’Eglise catholique. Notre mission est de faire rayonner la charité chrétienne par la mise en œuvre d’une solidarité concrète entre tous. Par nos actions nous n’avons pas la prétention d’apporter une solution à tous les besoins, mais, tout en aidant matériellement des personnes en précarité, nous nous donnons la mission d’annoncer une espérance ! Nous croyons qu’un geste, une parole, un regard peuvent permettre de relever celui qui n’a plus d’espoir…

Dans ce contexte, nous avons créé un groupe que nous appelons ESPERANCE
Chaque année, Caritas propose, à tous ceux qui le désirent, (bénévoles, accueillis ou autres paroissiens) de vivre « un voyage de l’Espérance » à Lourdes. Ce voyage permet aux personnes en recherche de spiritualité, de se retrouver, de tisser des liens, prendre le temps de la rencontre, sortir de leur quotidien. Ce pèlerinage permet également de ‘marcher’ ensemble au rythme les uns des autres, de s’accueillir fraternellement,  de permettre à chacun d’exprimer son espérance, sa foi,  de se découvrir dans notre recherche … et de réfléchir au sens de sa propre vie. Pendant  un an, nous nous préparons à vivre ce pèlerinage. Le groupe se rencontre 3 ou 4 fois dont une retraite de 2 jours à Marmoutier.

 « Etre près de ceux qui sont loin de tout »
et « remettre l’homme debout »
sans faire du prosélytisme,
sont les devises de Caritas…

Les inscriptions pour le pèlerinage d’août 2017 auront lieu début octobre 2016.
Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à appeler au 03 89 25 31 27

Cécile Kippelen

Visiteuses de malades

« j’étais malade et vous m’avez visité » (Mt 25, 36)

Dans toutes les communautés, il y a des équipes de Visiteurs de malades, c’est à dire des équipes de chrétiens qui, au nom de l’Eglise, font le lien avec les personnes âgées, isolées, malades, qu’elles soient en milieux hospitaliers, en maison de retraite, ou à domicile…
Au sein de notre communauté de paroisses, une équipe de bénévoles visite régulièremment celles et ceux qui le souhaitent. Leur souhait est de pouvoir assurer une présence fraternelle et une écoute, auprès de toute personne isolée.

N’hésitez pas à nous informer si vous-même ou un de vos proches désirez être visité.
Pour cela vous pouvez contacter :
Françoise Wadel, responsable des visiteuses de malades au 03 89 25 32 93
Roseline Muller 03 89 26 91 41

Baptême

« Je te baptise au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. »

Le baptême est le sacrement de la naissance à la vie chrétienne : marqué du signe de la croix, plongé dans l’eau, le nouveau baptisé renaît à une vie nouvelle. L’onction avec le Saint Chrême lui donne son nom de chrétien et dit sa mission. Devenu chrétien, le nouveau baptisé peut vivre selon l’Esprit de Dieu. Être baptisé, c’est être plongé dans la mort et la résurrection du Christ. C’est un rite de passage : avec le Christ nous traversons la mort et nous participons à sa vie de ressuscité. Configuré au Christ, nous devenons fils d’un même Père et frères de Jésus-Christ, par l’Esprit Saint. (source www.eglise.catholique.fr)

Par ce premier sacrement qu’est le Baptême, votre enfant fera son entrée ans la famille des chrétiens : l’Église.
Pour mieux vivre cette démarche, des rencontres préparatoires au Baptême sont organisées au presbytère de Balschwiller. 

Éveil à la Foi

Vous n’osez pas vous rendre à la messe avec vos petits ?
Venez participer aux prochaines rencontres pour un temps de partage en famille : 

• Dimanche 30 avril  à 16h00 en l’église de GILDWILLER
• Dimanche 11 juin 2017 à 16h00 en l’église de GILDWILLER
  (précédé de la Fête du jeu avec l’A.C.E. de14h à 16h à côté de la maison des scouts)
  Les enfants de tout âge sont invités à la fête du jeu préparée avec l’ACE (Action Catholique des Enfants) à Gildwiller-le-Mont sur le pré de la Maison des Scouts. Un temps de fête, un temps de joie, un temps pour grandir dans la foi en jouant. Soyez les bienvenus !

Dans une ambiance chaleureuse, les enfants apprendront
à mieux connaître Jésus tout en s’amusant.

Préparation des célébrations : les  03/10 – 07/11 et 12/12 à 20h00 à Balschwiller
Ces réunions sont ouvertes à tous les parents d’enfants de 3 à 8 ans souhaitant rejoindre l’équipe.

Catéchèse
Catéchèse scolaire

L’enseignement de la religion à l’école publique

Le statut scolaire de l’Alsace et de la Moselle intègre un enseignement de la religion dans le programme scolaire des écoles élémentaires, des collèges et des lycées. Cette réalité en école publique n’existe pas dans les autres académies de France, mais existe dans la majeure partie des pays d’Europe. Elle s’adresse à tous les élèves à raison d’une heure par semaine inscrite dans l’emploi du temps.

Discipline d’enseignement, la religion s’inscrit dans l’acquisition du socle commun des connaissances, de compétences et de culture. Elle permet à des élèves de construire leur identité et d’apprendre à vivre ensemble dans l’estime des différentes convictions, cultures et religions.  Les cours sont dispensés par des professeurs de religion (PDR) en collège et en lycée et des intervenants de religion (IDR) en école élémentaire, proposés par les autorités religieuses, agréés par les services académiques et formés par les organismes compétents.

Dans notre Communauté de Paroisses constituée de 10 villages, deux  intervenantes de religion (IDR), Catherine Greter et Marie-Claude Grienenberger dispensent l’enseignement de la religion auprès de 230 enfants environ, du CP au CM2. Pour chacune des classes, une très forte proportion d’élèves est inscrite à ce cours.
L’articulation ainsi que la particularité de ce cours permet à ces enfants de mieux comprendre leur propre religion et d’apprécier celle des autres, de s’ouvrir au monde dans lequel ils vivent, de lutter contre l’ignorance du fait religieux, de débattre autour de questions éthiques à partir de textes, de grands témoins de la foi  et de l’actualité, d’obtenir des réponses à des questions parfois muettes ou que l’on n’ose pas aborder avec ses proches… Bien souvent, les intervenants de religion  témoignent lors des rencontres de formation, du bien-fondé de cet enseignement ainsi que de son impact positif sur le vivre ensemble. La dimension spirituelle de même que le questionnement existentiel individuel des élèves dans le respect  de leur démarche personnelle sont également abordés et dynamisent les échanges. Des liens se tissent entre les élèves et l’adulte. Les IDR ont à cœur d’éveiller leur curiosité, de contribuer un tant soit peu à les faire grandir dans tout leur être dans le respect et la liberté de chacun.
Dans nos villages et dans la majorité des cas,  la transmission de la foi dans les familles est courante. Cela est incontestablement une richesse pour tous. Pour certains enfants en revanche, l’IDR est parfois la seule personne à même de leur parler de culture biblique et religieuse. Lorsque c’est le cas, nous mesurons encore plus à quel point cet enseignement religieux est une chance. Les cours sont ouverts à tous les élèves, au-delà des convictions et des appartenances religieuses.

De nouveaux programmes sont disponibles depuis septembre 2013 et s’inscrivent dans une triple nécessité :

• Répondre à des demandes d’actualisation des contenus,
• Prendre en compte l’évolution des publics scolaires,
• S’inscrire dans la réforme de l’école.

Ainsi, loin d’être archaïque ou dépassé, l’enseignement de la religion se veut innovant et actuel. Pour illustrer ce dernier propos, le contenu de deux  chapitres est succinctement développé ci-dessous.

Le chapitre « Grandir » accompagnera des élèves de CE1. Il comporte la progression suivante : Engager un débat sur la signification du verbe « grandir » en lien avec d’autres chapitres déjà vus. Le conte danois de la « belle histoire d’un petit grain de blé » illustre le thème.

•  Faire découvrir la parabole de « la graine de moutarde ». Évoquer le cadre socio-culturel et historique dans lequel Jésus a vécu.
•  Faire comprendre la parabole.
• Dialoguer autour des termes « partage » et « solidarité » en s’appuyant sur des situations réelles : à partir d’un exemple de partage vécu entre des enfants de France et ceux de la République centrafricaine sur le thème de l’hygiène et de la santé, inviter les enfants à nommer des situations de solidarité autour d’eux.

Avec des élèves de CM2, le chapitre « S’engager pour » leur fait rencontrer des hommes et des femmes qui au nom de certaines valeurs, ont décidé d’entreprendre des actions.

Une progression :

• Avec un témoin de l’histoire : Don Bosco s’engage en faveur des jeunes.
• Avec une figure contemporaine : Malala, prix Nobel de la Paix à 17 ans, s’engage pour l’éducation des filles au Pakistan et dans le monde.
• Des hommes et des femmes se sont engagés et s’engage à la suite … (de Jésus pour les chrétiens). Avec le texte biblique « le sermon sur la montagne », découvrir l’appel de Jésus à répondre à des exigences de vie et de relation.
• Des croyants de différentes religions partagent des valeurs communes pour construire un monde de paix, de dignité, de respect.

 MC Grienenberger

A lire également :
2016 La Religion à l’école
Lettre de Christophe SPERISSEN
Directeur du Service de l’Enseignement de la Religion

Premier pardon
Première communion

C’est parce qu’il nous aime et qu’il veut nous faire vivre de sa propre vie
que le Christ a institué l’Eucharistie.

 L’Eucharistie, ou la Communion, est un des sept sacrements de l’Église catholique. C’est aussi la source et le sommet de toute vie chrétienne. Communier est le fait de recevoir le corps du Christ présent sous l’apparence du pain consacré au cours de l’Eucharistie. D’un mot grec qui signifie « rendre grâce », « remercier », l’Eucharistie désigne par extension la messe, où le prêtre prononce, sur le pain et le vin, les paroles du Christ lors de la Cène : « Prenez et mangez-en tous, ceci est mon corps… ceci est mon sang livré pour vous« .

La première communion c’est, comme son nom l’indique, recevoir pour la première fois le corps du Christ sous forme d’hostie consacrée par le prêtre. La communion crée une relation personnelle au Christ. Pour communier, deux conditions sont nécessaires : être baptisé et vouloir vivre en amitié avec le Christ, selon son Évangile et dans toute sa vie. Les enfants sont préparés à ce sacrement dans le cadre du catéchisme à partir du CE1 / CE2. L’enfant y apprend à connaître la vie de Jésus et découvre une première approche de la messe. Ce doit être une démarche personnelle mais ses parents et ses catéchistes peuvent l’y aider. Au bout de 2 ans de catéchisme, les enfants peuvent faire leur première communion. C’est pour eux une grande joie mais aussi un engagement sérieux : celui de répondre à l’appel du Seigneur qui, tous les dimanches, les convoque à l’Eucharistie, à la messe.

Profession de Foi
Sacrement de la Confirmation

« Sois marqué de l’Esprit Saint, le don de Dieu »

« Par le sacrement de Confirmation, le lien des baptisés avec l’Eglise est rendu plus parfait, ils sont marqués du sceau de l’Esprit Saint, enrichis d’une force spéciale de l’Esprit Saint » (Lumen Gentium 11), force qui fut jadis accordée aux Apôtres au jour de la Pentecôte pour répandre la Bonne Nouvelle de Jésus Christ, par la parole et en action.
« Celui qui nous affermit avec vous dans le Christ et qui nous as donné l’onction, c’est Dieu Lui qui nous as marqués de son sceau et a mis dans nos cœur les arrhes de l’Esprit » (2 Corinthiens 1, 21-22).
C’est avec une huile parfumée, le Saint Chrême, que l’évêque marque le front de chaque confirmand. Comme cette huile répand une bonne odeur, chacun est appelé, par l’élan et la joie de sa vie, à répandre la bonne odeur du Christ, à être un témoin authentique du Ressuscité, afin que le corps du Christ s’édifie dans la foi au Dieu, Père, Fils et Esprit, et l’amour des hommes et du monde. Comme le Baptême dont elle est l’achèvement, la Confirmation est donnée une seule fois.
La préparation à la Confirmation doit viser à conduire le chrétien vers une union plus intime au Christ, vers une familiarité plus vive avec l’Esprit Saint, son action, ses dons et ses appels, afin de pouvoir mieux assumer les responsabilités de la vie chrétienne. (sources www.eglise.catholique.fr)

Après le baptême, le sacrement de la confirmation poursuit l’initiation chrétienne du néophyte. Pour les jeunes, la préparation a ce sacrement a lieu en général à l’aumônerie des lycées et collèges publics et privés. Elle est souvent proposée en classe de troisième. Pour les adultes, la confirmation est préparée dans le cadre du catéchuménat.

Mariage 2017

Pour des raisons d’organisation, les demandes de mariage pour 2017
doivent se faire impérativement avant le 1er Décembre 2016.

Onction des malades

ou SACREMENT DES MALADES

Etre malade, jeune ou âgé, c’est souvent se trouver confronté à l’inquiétude, la solitude, la souffrance. Mais dans ces moments difficiles, Dieu reste à nos côtés. L’évangile nous invite à croire que le Christ est réellement présent en ce moment de partage, et qu’il écoute celui ou celle qui crie vers Lui et répond par des paroles et des gestes, pour les relever et les guérir.

Le sacrement de l’onction des malades n’est pas un sacrement réservé aux derniers moments comme le laissait entendre les expressions « extrême onction » et « derniers sacrements ». La pratique ancienne réservait en effet ce sacrement aux grands malades à l’article de la mort.

Plutôt qu’une « extrême onction » à recevoir au moment de rendre l’âme,
il s’agit d’un geste de la tendresse de Dieu qui exprime sa présence bienfaisante et compatissante aux personnes éprouvées par la maladie ou le grand âge.

Il s’adresse aux fidèles dont la santé commence à être dangereusement atteinte par la maladie ou la vieillesse, aux malades au moment où la maladie devient une épreuve difficile à supporter, à ceux qui vont subir une opération sérieuse et aux personnes âgées dont les forces déclinent beaucoup. Il peut être reçu plusieurs fois.

Pendant la célébration du Sacrement des malades :
le 1^er dimanche de juin, pendant la Messe du pèlerin à 18h00 à Gildwiller.

Pour les malades à domicile : 
s’adresser au presbytère pour demander la visite du prêtre.

En cas d’hospitalisation: 
s’adresser à l’aumônier de l’hôpital.

L’onction des malades ne remplace en aucun cas les soins médicaux.

Funérailles

« Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra » Évangile selon saint Jean, 11,25

A travers la célébration religieuse des funérailles, les chrétiens veulent accueillir, dans la foi et l’espérance, l’événement de la mort et du deuil qu’elle entraîne. Les obstèques religieuses peuvent être demandées par des personnes qui reconnaissent leur distance par rapport à la foi, mais qui ont gardé une certaine relation avec la religion, soucieuses de bien faire ou de respecter la volonté de leur défunt. « Passer par l’église » n’est pas seulement un acte social traditionnel, c’est aussi l’attente d’une parole de compassion, d’espérance, de paix, de vie…

Qu’apporte la cérémonie chrétienne des funérailles ? Elle a pour but de rendre honneur au défunt et de prier pour lui. Elle exprime la dignité de l’homme au moment de sa mort et l’amour du Christ présent même dans les moments les plus difficiles de notre vie. Elle est l’occasion du rassemblement de la famille et des amis du défunt, parfois de retrouvailles et même de réconciliation.. Elle aide les uns et les autres à commencer le deuil avec un regard d’espérance.

source Portail de la Liturgie Catholique

Les Adorateurs de Sainte Odile

PELERINAGE

Haut lieu spirituel, le Mont Sainte Odile accueille depuis 77 ans des groupes d’hommes et de femmes des divers doyennés d’Alsace qui se relaient pour assurer, de jour comme de nuit, l’adoration devant le Très-Saint Sacrement de l’eucharistie.

L’origine de la Confrérie des adorateurs de Ste Odile
L’adoration et la louange de Dieu étaient la préoccupation première de Sainte Odile et de ses compagnes. En 1924, Mgr Ruch, alors évêque de Strasbourg, exprime le souhait qu’une adoration perpétuelle soit instituée en Alsace. Il invite alors les membres de l’Apostolat Eucharistique à réfléchir à cette proposition. C’est ainsi que le 5 juillet 1931, nait la communauté de Sainte Odile.
Depuis, la confrérie de l’adoration perpétuelle assure une veille permanente de prière devant le Saint Sacrement exposé jour et nuit au Mont Sainte Odile. C’est ainsi que semaine après semaine, ces groupes d’adorateurs se succèdent pour prier pour les intentions de l’Eglise, de notre diocèse et pour toutes les intentions personnelles.

Le service d’adoration
Ce service d’église se prend par équipes de deux, pour une heure durant le jour (6h à 24h) et deux heures la nuit (00h à06h) selon un tour établi par le responsable du groupe. Les adorateurs participent avec la communauté religieuse du Mont à la prière du matin et du soir et à l’eucharistie journalière. Ils assurent aussi le service de la lecture et de la quête aux offices. Deux conférences journalières (09h et 17h) contribuent à la formation spirituelle des adorateurs.
Traditionnellement, le mercredi, les paroisses d’origine des adorateurs montent en pèlerinage au Mont.

La semaine d’Adoration pour les cantons d’Altkirch & Dannemarie
Les Adorateurs de Ste Odile de notre Communauté de Paroisses, assurent généralement le service de l’adoration la dernière semaine de février :

• en 2016 : du 23 février au 2 mars
• en 2017 : du 27 février au 6 mars (à confirmer)

Le pèlerinage cantonal, quant à lui, a lieu  le mercredi de cette même semaine.

Pour en savoir plus et/ou rejoindre Les Adorateurs de Ste Odile de notre Communauté de Paroisses :
Vous pouvez contacter : Eugène Blondé au 03 89 26 91 03 

Pèlerinage

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Messes des familles

La messe des familles est une messe dominicale conçue pour les enfants  et leurs parents. Véritable moment festif offerts aux enfants comme aux adultes chacun y a sa place : c’est cela l’esprit de la messe des familles « un rendez-vous de fête avec les parents».

Le principe est de bien accueillir les enfants, accompagnés de leurs parents et de leur permettre  de mieux trouver leur place dans la communauté paroissiale au cours de messe dominicale. Elle permet de participer plus activement à la célébration, notamment pour les enfants du caté, que ce soit en chantant, en lisant un texte, la prière universelle, en participant  à un geste en rapport avec le temps liturgique du moment comme par exemple ‘’allumer la première bougie qui symbolise le premier dimanche de l’Avent.’’

Nous aimerions que ces messes permettent aux uns et aux autres d’approcher un peu plus le mystère de l’Eucharistie, même si beaucoup de parents sont éloignés de l’Église ou n’ont pas l’habitude d’assister aux offices.  Le prêtre se met à la portée des enfants en entamant un dialogue avec eux, en posant des questions. Des mains se lèvent,  la réponse est bonne ou erronée : peu importe, les enfants sont heureux de participer entourés  de leurs catéchistes.

L’esprit de la messe des familles, préparée avec les équipes de la catéchèse, est toujours très chaleureux.
La messe des familles : une fête où parents, enfants, grands-parents, voisins sont les bienvenus.

Retrouvez ici le calendrier de ces rendez-vous incontournables
pour tous les enfants de la communauté de paroisses et même d’ailleurs :

CALENDRIER 2016/2017
des MESSES DES FAMILLES

• Dimanche 18 septembre à 10h45
  en l’église de BALSCHWILLER
  MESSE DE RENTREE avec bénédiction des sacs d’école

• Dimanche 27 novembre à 10h45
  en l’église de BALSCHWILLER
  MESSE D’ENTREE en AVENT

• Dimanche 15 janvier à 10h45
  en l’église de BERNWILLER
  MESSE DES FAMILLES avec distribution des livrets de messe aux enfants

• Dimanche 5 mars à 10h45
  en l’église de BERNWILLER
  MESSE DES FAMILLES du 1er DIMANCHE DE CARÊME

• Dimanche 9 avril à 10h45
  en l’église de GILDWILLER
  MESSE DES FAMILLES – DIMANCHE DES RAMEAUX

Servants d’autel

Actuellement, 80 jeunes, filles et garçons âgés entre 6 et 18 ans, participent activement au service liturgique de notre Communauté de Paroisses. Autrefois « enfants de chœur »,  on les appelle aujourd’hui « servants d’autel » ou « servants de messe »…

Leur rôle est très important : les servants de messe assistent le prêtre pendant toute la durée de la célébration liturgique.   Selon leur âge et leur ancienneté, ils remplissent différentes fonctions : Dans la procession, ils portent la croix, les cierges, l’encensoir, la navette (qui contient l’encens), le livre. Pendant l’offertoire de la messe, ils aident à la préparation de l’autel, et à la présentation par le célébrant du pain et du vin. Enfin, après ils aident le prêtre à ranger.  Le rôle du servant d’autel est donc d’aider le prêtre lors des célébrations. Il permet à la messe de se dérouler dans l’ordre et la beauté, leur présence donne une certaine solennité aux cérémonies comme les processions. Ils favorisent le recueillement et la beauté de la liturgie dominicale. Le rôle des servants de messe par leur attitude et leur recueillement, est d’aider les fidèles à prier. Il suffit d’assister à une messe célébrée par un prêtre seul pour se rendre compte de l’importance de leur présence !

Pourquoi devenir servant d’autel ?

Devenir servant d’autel est aussi important pour toi. Dans la sacristie, tu es proche de tous ceux qui préparent la célébration. Près de l’autel, tu es près du Seigneur. En participant à la messe le dimanche, tu pénètres mieux le mystère de la présence du Christ. A la sacristie avant et après la messe, on a parfois des questions, c’est alors plus facile de les poser aux autres servants d’autel, à un prêtre ou à un animateur.
Tout ceci ne serait pas complet si on oubliait de dire qu’être servant d’autel permet de partager une vie de groupe où tu trouveras l’amitié d’autres enfants et jeunes, comme toi amis de Jésus.

Comment peut-on devenir servant d’autel ?

Simplement en demandant à un servant d’autel que tu connais ou bien en venant  te présenter à la sacristie juste après la messe. Tu pourras alors demander au père Jean-Paul ou bien te renseigner auprès du responsable des servants d’autel de ton église :

Ammertzwiller
Balschwiller : Marguerite Stemmelen
Bernwiller : Marie-Thérèse Leber
Buethwiller : Marie-Rose Schwob
Eglingen
Diefmatten : Emilienne Blonde
Gildwiller : Simone Gross
Hagenbach : Danielle Rochereau

Benoît XVI s’adresse aux servants d’autel

« Chers jeunes, je voudrais vous adresser un message qui pourra vous accompagner dans votre vie et dans votre service. Les Apôtres ont été les témoins de Jésus parce qu’ils étaient ses « amis ». Vous aussi, vous êtes déjà apôtres de Jésus ! Quand vous participez à la Liturgie en exerçant votre service de l’autel, vous offrez à tous un témoignage. Votre attitude de prière, qui vient du cœur et qui se manifeste par les gestes, par le chant, par votre participation, tout cela est déjà apostolat. Vous êtes très proches de Jésus Eucharistie, ce qui est le plus grand signe de son amitié pour vous. Laissez-vous toujours émerveiller par tant d’amour et de proximité ! Chers servants d’autel, soyez toujours amis et apôtres de Jésus ! »                              mercredi 2 août 2006

JMJ

Créées en 1986 à l’initiative du Pape Jean-Paul II,  Les Journées Mondiales de la Jeunesse sont devenues un évènement une « fête de la foi », à l’occasion de laquelle des jeunes de tous horizons et de tous pays se rencontrent et font l’expérience de l’amour de Dieu. Jean-Paul II voulait, grâce aux JMJ, se rendre proche des jeunes, leur manifester la confiance que l’Église met en eux, et leur transmettre sa foi en Jésus-Christ et son attachement à l’enseignement des Évangiles. Benoît XVI et le pape François ont, dès leur élection, exprimé leur bienveillance pour la jeunesse en prolongeant l’institution de leur prédécesseur. Célébrées localement chaque année le dimanche des Rameaux, les JMJ prennent tous les 2 ou 3  ans, une dimension internationale : Sydney 2008, Madrid 2011, Rio 2013…

Cette année, les JMJ se sont tenues du 26 au 31 juillet à Cracovie en Pologne où se sont retrouvés plus de 2 millions de jeunes venus du monde entier. Parmi eux, étaient présents plus de 240 jeunes alsaciens dont Anne-Lise Grienenberger et Marie Schnoebelen de notre Communauté de paroisses. 

Temoignage d’Anne-Lise 

Ces JMJ ont été une expérience unique et forte. Je suis partie 2 semaines, la 1ère dans le diocèse de Wroclaw puis la 2ème où nous avons rejoint tous les autres jeunes à Cracovie.Quand je repense à ces JMJ ils me vient plusieurs images:

D’abord l’accueil extraordinaire des polonais, qui nous ont vraiment tout donné: leur temps, leur sourire, leur expérience de vie. J’ai noué des liens très forts avec les 2 familles dans lesquelles j’étais, et nous continuons à nous envoyer des mails.
Ensuite, les difficultés rencontrées. Eh oui dans les JMJ, comme dans toute aventure, tout n’est pas toujours tout rose (on attend beaucoup…). Mais comme dans la vie, tout ce qui vient est bon à prendre, et avec le recul je vois que tous ces imprévus, ces retards, ont été une grande grâce. J’étais dans un groupe de 6 personnes, et après une journée particulièrement laborieuse nous avons expérimenté une « journée de grâce ». Durant cette journée, nous avons eu une succession de » coups de chance » inouïs. En d’autres circonstances je n’aurais pas savouré tout ce qui nous a été donné durant cette journée de la même manière. Mais après la malchance de la veille, nous nous sommes rendus compte que TOUT est don de Dieu (oui, même un train qui part à l’heure et qui en plus s’arrête à la bonne station !), et à quel point dans la vie quotidienne nous tenons certaines choses comme acquises alors qu’elles sont un pur don de Dieu que nous ne méritons pas. Oui, pendant ces JMJ nous avons été immergés dans la MISERICORDE de Dieu.
Enfin le dernier point, ce sont les mots du Pape qui ont marqué, je pense, tous les jeunes ( et aussi voir le Pape en vrai et de près est plutôt cool !). Lors de son accueil, il nous a posé 2 questions : « Avez-vous des rêves ? » et  » Croyez-vous que vous pouvez changer le monde ? ». En partant, il nous a exhorté à « sortir de notre canapé » c’est à dire à ne pas être déjà des retraités dans la tête, mais à quitter notre zone de confort en profitant de la force de notre jeunesse pour évangéliser et faire avancer les choses. A mon tour je vous pose la question « Croyez-vous que vous pouvez changer le monde ? ». Moi je crois que oui, car nous ne sommes pas seuls, nous sommes des millions de jeunes de toutes les origines et de toutes les cultures à croire en la même chose, et surtout nous avons avec nous le Christ miséricordieux qui peut tout, si seulement nous osons nous abandonner à Lui.

Anne-Lise Grienenberger de Eglingen

Pélé Lourdes

Du 17 au 23 août, 580 jeunes alsaciens et leurs accompagnateurs se sont retrouvés à Lourdes pour le 16ème Pélé-Jeunes organisé par l’Eglise Catholique d’Alsace. Ils sont partis vivre une semaine de rencontres, de fête, de prière, de découvertes, au milieu de milliers d’autres pèlerins du monde entier présents à Lourdes à la même période. 

Le thème : « En plein cœur »  qui les a réuni leur a permis d’approfondir la démarche proposée à toute l’Église dans le cadre de l’année Jubilaire de la Miséricorde. Ils ont fait aussi le lien avec les millions de jeunes réunis aux JMJ en juillet autour du Saint Père, en approfondissant le lien avec un Dieu Père rempli d’amour pour l’humanité.

Du nord au sud de l’Alsace, huit bus ont pris la route le mardi 17 août, pour rejoindre les Pyrénées et la cité mariale. L’évêque auxiliaire de Strasbourg, Mgr Christian Kratz, puis l’archevêque de Strasbourg Mgr Jean-Pierre Grallet, étaient présents avec eux durant le pèlerinage.

Rallye
des confirmands

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Barbecue
des jeunes

Dimanche 12 juin, après la messe des jeunes donnée en l’église de Gildwiller pour clôturer l’année pastorale,  les futurs confirmands se sont retrouvés à la Maison des Scouts de Gildwiller-le-Mont pour une soirée « barbecue » en compagnie de leurs animateurs Monique Faedy, Danielle Rochereau, Evelyne Schnoebelen et Christophe Krust. Après un temps de détente et de jeu, le repas fut pris dans la salle du rez-de-chaussée. Enfin pour clôturer la soirée, des diplômes furent remis aux jeunes ayant participé à la marche Priante du 29 mai.

galerie photos 2016  ICI

Retraites
avec les JEUNES

2017 – RETRAITE  » PROFESSION DE FOI  »
mercredi 19 avril, les jeunes se préparant à la profession de foi ont pu participer à une retraite proposée par les curés Jean-Paul-Grandthurin pour la Communauté de paroisses ND des portes du Sundgau et Raymond Rulhmann pour la communauté de paroisses St pierre les viaducs. Au programme de cette journée :
– Visite de l’église Saint-Pierre-le-Vieux
– Découverte de la Fraternité monastique de Jérusalem en compagnie de sœur Anna
– Visite de la Cathédrale de Strasbourg
– Visite du Grand Séminaire Sainte Marie Majeure de Strasbourg en compagnie d’un jeune séminariste
Galerie photos ICI

2016 – RETRAITE DES FUTURS CONFIRMANDS
Quatorze futurs confirmands se sont retrouvés à Storckensohn les 25 et 26 août 2016 pour  un temps de retraite. Faire retraite, c’est l’occasion de quitter ses habitudes et son cadre de vie de tous les jours pour prendre un temps à l’écart… Très concrètement,  c’est laisser son téléphone, son MP3, ou tout ce qui pourrait nous détourner de la relation à Dieu… c’est offrir à Dieu notre disponibilité…

Animation
par les jeunes

Au sein de la Communauté de Paroisses des portes du Sundgau, un groupe s’est formé pour animer les messes des familles ainsi que les célébrations pour les jeunes. Musiciens et chanteurs se retrouvent occasionnellement quelques jours avant les célébrations pour répéter ensemble avec Christelle Gaschy. 

Vous êtes musicien ?
vous aimez chanter ?
On vous attend !

Venez vivre des moments forts inoubiables
avec les jeunes du groupe de Christelle Gachy.

Pour plus de renseignements :
cbgaschy@laposte.net

Pèlerinage Notre Dame des 7 Douleurs

Les débuts de la dévotion mariale en Alsace remontent à la période mérovingienne et le  Sundgau abrite plusieurs pèlerinages à la Vierge fort anciens. Le pèlerinage de la Vierge de Gildwiller-le-Mont acquiert une renommée dès le  début du XIIème siècle grâce à Saint Morand, l’apôtre du Sundgau.

Celui-ci en effet parcourait régulièrement la région et serait venu chaque vendredi pour prier et apporter du réconfort aux pèlerins. Avant de reprendre le  chemin du prieuré d’Altkirch, il se reposait et se désaltérait à la source qui aujourd’hui porte son nom. Plus tard, chaque vendredi de la semaine des rogations, les habitants d’Altkirch  viendront en procession par le même chemin, en chantant,  priant, et portant les reliques de Saint Morand. De leur côté, les villageois des communes voisines de l’église de Gildwiller venaient à la rencontre de la procession. Pendant la messe, les reliques de Saint Morand étaient exposées sur l’autel de la Vierge. Au retour, les fidèles raccompagnaient les Altkirchois un bout de chemin. Cette tradition se perpétua jusqu’au 1^er mai 1824 date à laquelle l’évêque Tharin interdit toute procession de plus d’une heure.

Notre Dame des sept douleurs (invoquée en latin comme Beata Maria Virgo Perdolens, ou Mater Dolorosa) est l’un des nombreux titres par lesquels l’église catholique vénère la Vierge Marie, mère de Jésus. Le titre souligne l’association de la mère à la souffrance de son fils. Les « sept douleurs » font référence aux événements, relatés dans lesévangiles, qui firent souffrir la mère de Jésus dans la mesure où elle accompagnait son fils dans sa mission de Rédempteur.

Notre-Dame des Douleurs est  commémorée le 15 septembre.

Notre-Dame du Mont

Dédiée à Notre-Dame des Sept Douleurs, l’église de Gildwiller le mont fut érigée sur la colline du Sternenberg à 346 m d’altitude. D’après une légende, les communautés de Gildwiller et Falkwiller avaient d’abord voulu construire leur église dans le vallon, entre les deux villages. Les ouvriers qui travaillaient à la construction ont eu la surprise un matin de ne plus retrouver leurs outils : ceux-ci se trouvaient sur le Mont de Gildwiller. La deuxième nuit, le même déplacement nocturne a eu lieu. La troisième nuit, les villageois firent dormir des gardes sur place : ils se réveillèrent avec les outils… sur le Mont ! C’était un signe : la vierge voulait que l’on construise l’église à cet emplacement.
L’église Notre dame du Mont fut longtemps l’église-mère des villages construits aux pieds de la colline.  Aujourd’hui encore, elle rassemble tout au long de l’année, les habitants de Gildwiller, Falkwiller et Hecken, ainsi que de nombreux pèlerins qui viennent s’y recueillir.

La Pietà :  L’autel latéral gauche de 1899, dédié à la Vierge, supporte une Piéta, sculpture de style renaissance, en bois de tilleul polychrome. Elle date sans doute du XVe  voir du XVIe siècle : Marie tient le corps de Jésus mort sur la croix. C’est elle Notre-Dame des Sept Douleurs, qu’invoquent depuis des siècles plusieurs générations de pèlerins. A gauche de l’autel, les ex-voto conservés témoignent de leur reconnaissance.

Morand’s Tag
Messe Saint Morand

Saint Morand, apôtre du Sundgau, est célébré chaque année le dernier dimanche de juin à l’occasion du traditionnel Morand’s Tag. Réunis autour de la fontaine qui porte son nom dans la forêt de Gildwiller-le-Mont, les pèlerins sont conviés à un temps de prière et de chants en présence d’une chorale ou d’une société de musique invitée pour l’occasion. Après la bénédiction de l’eau, la célébration se poursuit en l’église Notre Dame de Gildwiller où le curé Jean-Paul Grandthurin célébre la messe du pèlerin en l’honneur de Saint Morand. Animée par la chorale paroissiale de Gildwiller et la chorale invitée, la célébration se termine par la vénération d’une relique de Saint Morand puis, Saint Morand étant également le Saint Patron des vignerons, par la bénédiction du vin.

A l’issue de la messe, les pèlerins sont invités au verre de l’amitié par l’association des Amis de Saint Morand qui œuvre depuis plus de trente ans à l’entretien de la fontaine et de ses chemins d’accès.

Fontaine Saint Morand

Selon la tradition populaire, Morand, envoyé par l’Abbaye de Cluny à Altkirch pour y diriger une petite communauté de moines bénédictins en 1105, faisait un pèlerinage à pied chaque vendredi jusqu’à Gildwiller afin de prier Notre Dame. Sur le chemin du retour, le prieur ne manquait jamais de reprendre des forces auprès de la source dans la forêt toute proche.
Dominant le bassin d’eau limpide, une statue représente le moine saint Morand avec un livre et le bâton du pèlerin.  Sur son socle, deux dates ont été gravées :  1105 et 1905. La première rappelle la fondation -sur le site de l’actuel hôpital Saint-Morand d’Altkirch- du prieuré dont Saint Morand  fut le prieur de 1109 à 1115.
La seconde date est celle de la construction du bassin avec la statue du saint. Tombée dans l’oubli, la statue avait disparu dans les années 1950. Retrouvée par deux mètres de fond en 1987, elle a été remise en place en juin 1988.

Chemin de croix

Partant du bas du village à travers la forêt, le chemin de croix comprend 13 stations monumentales en granit artificiel serties de bas-reliefs en majolique, sorte de faïence en couleurs…  La 14ème station est le tombeau de la chapelle.

Les treize stations, en forme de croix massives, sont l’œuvre majeure du céramiste Léon Elchinger (1871-1942), père du défunt évêque Léon-Arthur, qui a  travaillé d’après des cartons du peintre R. Kuven (1901-1983) et des modelages du sculpteur Keck.

Dates à retenir

MESSES DU PELERIN

Tous les dimanches à 18h00,  en l’église Notre Dame des Sept Douleurs à Gildwiller-le-Mont.

Chaque premier dimanche du mois, la messe du pèlerin est animée par une chorale de la Communauté de Paroisses Notre Dame des portes du Sundgau.

Pélerins, nous le sommes tous : chacun fait son bout de chemin… Il est parfois difficile, parfois heureux mais reste beau. Une pause est alors nécessaire pour reprendre son souffle, s’émerveiller et se donner du courage pour affronter la suite avec son lot d’inquiétudes.

L’occasion est donnée chaque dimanche à 18h00 à Notre Dame du Mont à Gildwiller, lors de la messe du pèlerin. Ce lieu de pèlerinage de proximité est dédié à la Vierge Marie, figure du croyant, de l’espérance, de la traversée des ténèbres : debout au pied de la croix de Jésus son fils, comme nous l’ont rappelé les récentes fêtes pascales.

Après un week-end de détente et avant d’attaquer une semaine peut-être difficile, déposer ce qui pèse lourd, se laisser guider dans la prière, prendre du recul dans un lieu autre que sa paroisse, aidera certainement à envisager l’avenir sereinement et à donner une nouvelle impulsion.

MESSES DE PELERINAGE

Vendredi 2 février 2018 – 10h15 : Présentation de Jésus au temple & bénédiction des cierges
Vendredi 23 mars 2018 – 10h15 : Notre Dame des sept douleurs (9h15 confessions individuelles)
Jeudi 31 mai 2018 – 10h15 : Visitation de la Vierge Marie
Vendredi 8 juin – 10h15 : Sacré Coeur de Jésus
Mercredi 15 août – 10h messe – 20h Procession aux flambeaux suivie d’une veillée de chants et de prières
Samedi 8 septembre – 10h15 : Nativité de Marie
Samedi 8 décembre – 10h15 : Immaculée Conception (9h15 Confessions individuelles)

MORAND’s TAG à Gildwiller sur le Mont

3ème dimanche de juin

17h00 : Rendez-vous à la fontaine Saint Morand dans la forêt pour un temps de prière et de chants avec la chorale « Les Echos du Soultzbach »

18h00 : Messe du Pèlerin en l’Honneur de Saint Morand avec la chorale paroissiale et la chorale « Les Echos du Soultzbach » – Bénédiction du vin que vous aurez déposé devant l’Autel

Pour connaitre les dates des prochains temps forts de Notre Dame du Mont cliquer ICI

Les TEMPS FORTS de l’année 2018

Tout au long de l’année, dans chacune de nos paroisses,
de nombreux évènements nous rassemblent.

Retrouvez TOUS LES REPORTAGES PHOTOS sur www.flicker.com

Les TEMPS FORTS de l’année 2017

Tout au long de l’année, dans chacune de nos paroisses,
de nombreux évènements nous rassemblent.

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Tout au long de l’année, dans chacune de nos paroisses, de nombreux évènements nous ont rassemblés.
Nous vous proposons ici de revivre en images ces moments de joie et de partage.