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CP du Pays des Sources et du Haut-Sundgau

Communauté de paroisses

du Pays des Sources
et du Haut-Sundgau

Zone pastorale du Sundgau

Au sud de l’Alsace et du diocèse, s’étend un paysage verdoyant et merveilleux. A l’horizon pointent monts et collines, communément appelés le « Jura alsacien », annonçant les premiers contreforts du massif jurassien.

Quel vide ce serait, s’il n’y avait pas de Signes pour dire et montrer que c’est une terre chrétienne, telles les Croix qui se dressent aux bords de nos chemins, aux carrefours de nos routes, symboles de la Foi.

Ce sont aussi les 16 Eglises de nos paroisses qui sont : Bendorf, Bouxwiller, Courtavon, Durlinsdorf, Ferrette, Koestlach, Levoncourt, Liebsdorf, Ligsdorf, Moernach, Mooslargue, Oberlarg, Sondersdorf, Vieux-Ferrette, Werentzhouse, Winkel (Lucelle).

En plus des 16 clochers, viennent s’ajouter 5 chapelles : celles de Lucelle et de Hippoltskirch, celle du cimetière de Bendorf,  du cimetière de Courtavon et enfin la chapelle Warth à Winkel.

Dans ce paysage vallonné jaillissent de nombreuses Sources.

Ce sont :

  • La source de l’Ill, à Winkel qui, grossie de tant de rivières et de ruisseaux, et parcourt toute l’alsace.
  • La source de la Largue qui, depuis Oberlarg, coule paisiblement par de nombreux méandres avant de se jeter dans l’Ill.
  • La source du Grumbach, qui, à partir de Bendorf parcourt prés et champs et irrigue les paysages environnants.

Cette terre, aux confins de la Suisse, imprégnée d’histoire et pétrie par un passé religieux remarquable a vu passer plus d’un Saint prestigieux, dont St BERNARD de CLAIRVAUX. Il sema du bon grain en abondance qui porta beaucoup de fruits, dont Lucelle qui reste une trace visible et vivante.

Voilà pourquoi, c’est à lui, ST Bernard de Clairvaux, que la Communauté de Paroisses est confiée pour qu’il en soit le « Patron » et le protecteur.

Curé de la Communauté de Paroisses :

Cyrille Lutz

1 rue du Château

68480 Ferrette

 

Prêtre coopérateur:

Robert Tumu

72 rue de Bendorf

68480 Ligsdorf

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Bulletin paroissial

du Pays des Sources et du Haut-Sundgau

Retrouvez tous les horaires des célébrations sur www.messes.info

Le Conseil Pastoral

Le conseil pastoral un est groupe de réflexion au service de la communauté des chrétiens.

Présidé par le curé, il examine les besoins de l’évangélisation sur le territoire de la paroisse et les moyens d’y répondre. De par la diversité de ses membres, le conseil pastoral reflète la vie de la communauté chrétienne. Avec pour soucis la qualité de vie évangélique de la paroisse, il propose des orientations, aide à murir les projets qui lui sont confiés et fait l’écho de la vie de la paroisse.

  • Il est « veilleur et éveilleur » pour la mission de l’Église. Et pour cela il est à l’écoute des attentes et des suggestions de toute personne pour contribuer à la cohésion de la communauté de paroisses.
  • Il rappelle la dimension universelle de l’Église et la dimension internationale de la réalité sociale en proposant des actions de solidarité.
  • Il se réunit chaque trimestre.

Coopératrices de la Pastorale:

Céline Jasinski (pour les jeunes) Véronique Ruchty (pour les enfants)
5 rue du Herrenweg 55 rue du Chêne
68560  Ruederbach 68480   Moernach
Tél.:   06 42 91 06 83 Tél.:  07 71 25 12 11
Mail: coop.jeunado@gmail.com Mail: coopenfants@outlook.fr

L’Équipe d’Animation Pastorale (EAP)

L’équipe d’animation pastorale est une équipe composée  de laïcs qui participent en étroite collaboration avec le curé de la paroisse à la mission de l’Eglise locale dans la fidélité aux orientations diocésaines.

Elle veille à la cohésion et au dynamisme de l’Église qui vit sur le territoire de la communauté de paroisses.

Avec le curé elle décide, cordonne et met en œuvre les activités habituelles ou exceptionnelles de la paroisse.

Les membres de l’équipe d’animation pastorale travaillent ensemble dans une communion fraternelle et missionnaire. Ils consolident leur action dans  la prière, la parole de Dieu et les sacrements.

 

                                                                                              Notre équipe :

Cyrille Lutz, Curé, Ferrette

Allemann Catherine, Sondersdorf

Delcourt Daniel, Sondersdorf

Ritty Yolande, Ligsdorf

Schull Andrée, Courtavon

Le Conseil de fabrique

Les fabriques d’église sont régies par le décret du 30 décembre 1809 et sont des établissements publics du culte, dotés de la personnalité juridique de droit public.

Ces établissements sont chargés de veiller à l’entretien des édifices culturels et d’administrer les biens et revenus affectés à l’exercice du culte, en réglant les dépenses et en assurant les moyens d’y pourvoir.

La durée du mandat des conseillers est de six ans. Aucun membre ne pourra accomplir plus de trois mandats successifs.

Paroisse de

Notre conseil est constitué comme suit :

Lecteurs

Le lecteur est au service de Dieu qui en fait son porte-parole et celui de l’assemblée à qui il porte la Parole de Dieu, pour qu’elle s’en nourrisse et en vive à la gloire de Dieu. L’équipe des lecteurs assure les lectures aux offices dominicaux et participe à la distribution de la communion aux fidèles.

Chaque lecteur intervient à tour de rôle selon un planning établi en concertation avec tous les membres lors d’une réunion trimestrielle.

Les prières universelles sont également préparées par chacun ou puisées dans le livret  » Prions en Eglise « .

Paroisse de

Sacristains

Le métier de sacristain, emploi d’Église au sein d’une paroisse, constitue un service qui comporte des missions, tant manuelles qu’intellectuelles. Il nécessite une polyvalence et foi dans le Seigneur. Le sacristain se donne dans la prière et collabore avec une équipe de personnes dans la confiance, le respect, la communication et la complémentarité.

Paroisse de

Chorales

Servants d’autel

Servir à la messe, c’est contribuer à la beauté des célébrations, aider le prêtre et l’assemblée à prier et être soi-même plus disponible à la prière.

Ainsi, cette pastorale dépasse le seul service liturgique. Elle est un lieu de proposition et d’approfondissement de la foi chrétienne. Les jeunes y trouvent une formation liturgique, une certaine catéchèse, une expérience fraternelle de convivialité, de découverte et de vie en Église.

Les enfants qui souhaitent renforcer les équipes des servants d’autel et ainsi participer activement à aider le prêtre lors des célébrations, veuillez contacter le responsable de chacune des paroisses de la communauté.

Paroisse de

Fleurissement des églises

Pour la beauté des offices religieux, des personnes donnent de leur temps et de leur talent pour le fleurissement des églises. Des fleurs peuvent être offertes par tous. Pour chaque église, des bénévoles assurent l’entretien et la décoration du lieu de culte.

Dans la paroisse, une équipe composée d’une dizaine de personnes bénévoles, hommes et femmes, s’est engagée de fleurir régulièrement l’église pour tous les offices liturgiques. En fin d’année, un calendrier est établi, répartissant la période attribuée aux personnes qui, toutes travaillent en binôme sur une durée de deux mois.

Selon les saisons, des fleurs peuvent être cueillies dans la nature, mais quel que soit le choix, un cahier est mis à disposition de l’équipe en place pour y introduire le décompte de leur période d’activité (fonds de caisse, dons, dépenses etc). Ce cahier sera remis tous les deux mois au trésorier du Conseil de fabrique pour vérification.

Paroisse de

Adorateurs du Mont Ste Odile

Elle fut fondée en 1931 par Mgr. RUCH, alors évêque de Strasbourg et mise en œuvre par le chanoine Brunissen. Depuis cette année, des hommes et plus récemment des femmes, se relaient nuit et jour, 365 jour par an, dans la prière devant le Saint-Sacrement. Ils sont originaires de tous les cantons d’Alsace et sont groupés au sein de la Confrérie de l’Adoration perpétuelle.

Actuellement le groupe de notre doyenné compte environ 30 membres. Leur âge moyen est de 71.9 ans d’où la nécessité d’adresser un appel pressant à tous les fidèles de notre communauté de paroisses de venir se joindre à nous, chacun et chacune selon ses possibilités.

Contacts :

Bendorf

Église de l’Exaltation de la Sainte-Croix – Bendorf

L’Église se situe en plein cœur du village de Bendorf.

Le lieu de culte est mentionné pour la première fois en 1302. Au-dessus de la porte ouest de l’église actuelle est inscrite la date 1783. Elle a donc été reconstruite selon les plans de l’architecte Mainrad Stroltz et dédiée à l’intention de la Sainte-Croix. En 1947, le peintre Carlos Limido peint l’Exaltation de la Croix au plafond de la nef.

Chapelle Saint-Nom-de-Jésus – Bendorf

La chapelle était dédiée au Sacré-Cœur jusqu’en 1900. L’intérieur de l’édifice religieux renferme l’armoirie eucharistique et une statue de la Vierge. L’abbé François-Xavier Durringer, curé du village au XIXème siècle, y est inhumé.

Courtavon

L’église St Jacques et St Christophe

C’est un bâtiment de style néo-gothique datant de 1868.

Elle est dédiée à St Jacques et St Christophe, rappelant ainsi que Courtavon est situé sur un des chemins empruntés par les pèlerins pour sa rendre à St Jacques de. Compostelle sous la protection de St Christophe patron des voyageurs. À l’entrée du chœur, un peut voir les deux statues en bois de ces deux saints. Elles proviennent d’une chapelle située à l’ouest du village.

Lorsqu’on pénètre à l’intérieur de l’église, on remarque la luminosité des vitraux du chœur et des vitraux latéraux.

Ces vitraux ont été financés par les habitants du village lors de la reconstruction de l’église en 1868.

La grotte de Lourdes

Cette petite grotte, au fond de l’église a été construite à l’initiative d’une parisienne. Elle a également financé les travaux de construction de ce petit lieu de recueillement.

La chapelle St Jacques

Restaurée en 1991, elle est située à l’ouest du village au-dessus de la colline. Ce petit lieu de recueillement exposé aux vents abrite les statues en bois de St Jacques et de St Christophe.

Saint Jacques

Il était surnommé le Majeur. Né à Bethsaïde, fils de Zébédée, frère de Jean l’évangéliste, un des douze apôtres. Une légende en fait l’apôtre de l’Espagne. Il mourut à Jérusalem. Saint Jacques de Compostelle est toujours représenté en pèlerin portant le signe de la coquille et un bâton à la main.

Saint Christophe

Selon la légende il aurait porté l’enfant Jésus pour passer une rivière. Il est le patron des voyageurs et des automobilistes.

La chapelle du Cimetière

Située à l’emplacement de la première église de Courtavon détruite en 1632, et reconstruite en 1648. La foudre tomba sur l’église en 1805 et toute la partie endommagée fut abandonnée. Il ne subsistait que le chœur qui devint la chapelle. Cette chapelle abrite un autel réalisé avec une meule de moulin ainsi que les pierres tombales des membres de la famille de Vignacourt, Seigneurs du Morimont, et des trois frères Noblat dont Benoît dernier abbé de Lucelle. Suite à un vœu fait par les habitants du village lors de la guerre de 1914-1918, cette chapelle a été restaurée et dédiée à Notre Dame du Perpétuel Secours.

La chapelle des sept douleurs

Petit oratoire situé à gauche à l’entrée du village. Elle a été construite en1925 suite à un vœu fait par Mr Rosenblatt dont le fils était très malade. Après la guérison de son fils il fit ériger la chapelle en signe de reconnaissance. Cette petite chapelle abrite une pietà, et un Christ en Croix. Ce Christ en fer proviendrait de l’ancienne fonderie Paraviccini de Lucelle qui, au XIXème siècle exploitait le fer sur le banc de Courtavon.

Levoncourt

Très ancienne paroisse du doyenné de l’Elsgau du diocèse de Bâle, elle doit probablement sa fondation, dans la première moitié du Xllème siècle, aux comtes de Neufchâteau. Cela explique pourquoi la Maison de Neufchâtel, en Bourgogne, a conservé le patronage de la paroisse Saint-Laurent de Levoncourt jusqu’en 1370, date à laquelle elle le céda aux seigneurs de Morimont.

En 1582, les barons de Morimont vendirent leur château avec le droit de patronage de 1’église de Levoncourt, aux comtes d’Ortenbourg de Salamandre qui les gardèrent jusqu’à la guerre de Trente Ans.

On raconte que la partie la plus ancienne, les deux premiers étages du clocher daterait des années 1300 et était une tour de guet rattachée au château de Morimont. Le Clocher actuel, roman est couvert de deux paires de baies en plein cintre.

Cet édifice primitif, dédié à saint Laurent, subit des transformations au XVème siècle, dont témoigne le chevet plat percé de deux fenêtres de style gothique tardif. La tour porte les initiales HB et la date de 1608, témoignage d’une reconstruction.

Pendant la guerre de Trente Ans (1618-1648) l’église est incendiée par les suédois et les protestants, le village laissé en ruines et déserté par ses habitants réfugiés en Suisse dans les pays romands et le Valais plus particulièrement à Saint-Maurice-d’Agaune.

En 1648, Louis XIV donna la seigneurie de Morimont avec le patronage de l’église de Levoncourt, à Robert de Vignacourt. Les Vignacourt conservèrent la colature de l’église jusqu’à la Révolution.

La paroisse de Levoncourt ruinée par la guerre de Trente Ans fut unie à celle de Courtavon dont le desservant célébrait les offices à tour de rôle dans les deux églises. C’est en 1685 que le prince évêque de Bâle la sépara de Courtavon et lui donna pour curé Antoine Etienne de Courtemaiche.

Les paroissiens choisissent alors de se mettre sous la protection de Saint Maurice en souvenir de leur exil dans le Valais.

Une chapelle à la sortie du village conserve le vocable de Saint Laurent devenant alors patron secondaire.

La sacristie est bâtie en 1768 et la nef est reconstruite en 1869.

Pendant la guerre de 1914-1918 les cloches ont été enlevées par les allemands pour en faire des armes. Elles seront réinstallées en 1924, l’une d’elle est dédiée à Saint-Maurice.

En 1958 lors de travaux de restauration un incendie détruit entièrement le chœur. L’importance du sinistre oblige l’architecte de l’époque de reconstruire le chœur et la rénovation totale de l’église. Le maître autel, le tableau de Saint-Maurice, les vitraux du chœur (détruits par l’incendie), les autels latéraux et la chaire ont disparu. Les statues de Saint-Joseph et celle de la Vierge, ont été placées chacune sur un bloc de grès rouge, à la place des autels latéraux. Des bancs pour les enfants sont installés de chaque côté du chœur. Dans le chœur se dresse un nouvel autel construit en pierre. Dans le même style est tenue la cuve baptismale. Au fond du cœur dominant l’autel se dresse la statue en pierre de Saint-Maurice représenté en officier romain prêt à donner sa vie dans un élan d’enthousiasme. Autour du socle sont sculptes trois symboles : au centre l’écusson du Valais (13 étoiles), dont Saint-Maurice est un des illustres protecteurs, d’un côté un poulet, que sacrifiait la légion thébaine, de l’autre un bouclier et l’épée (le soldat romain).

En 1978 sous l’impulsion du curé Julien Idoux la statue originale de Saint-Laurent autrefois mise à l’écart dans une chapelle est réinstallée dans l’église. La chapelle est préservée avec une autre statue de Saint-Laurent.

En 1985 les peintures sont rafraîchies, à l’occasion de ces travaux, la voûte séparant le chœur de la nef est élargie, l’autel est avancé libérant ainsi une place importante au fond du cœur pour la chorale paroissiale qui était à l’étroit sur la tribune.

En 2000 le parvis est entièrement rénové. Une belle place permet l’accueil des paroissiens pour les grandes occasions. Les trois pierres tombales d’anciens prêtres de la paroisse sont déplacées vers la stèle Julien Idoux. Les restes des gravures usées par le passage seront ainsi préservés. Le beffroi du clocher est rénové, l’horloge vétuste est mise en exposition et remplacée par un mécanisme électronique. Un carillon vient rythmer la vie du village.

Ligsdorf

Église paroissiale Saint-Georges

L’Eglise paroissiale Saint-Georges a été construite en 1765.

Oberlarg

L’église Saint-Martin

L’église Saint-Martin, qui domine le village, est fort ancienne : elle est desservie entre 1349 et la Révolution par les cisterciens de Lucelle. Le bâtiment cultuel a été reconstruit au milieu du XVIIIème siècle.

Dans le chœur de l’église d’Oberlarg, un beau mobilier baroque est composé d’un maître-autel (et ses deux reliquaires encastrés) et de deux autels-retables secondaires.

Sur un des autels secondaires, une toile, la plus ancienne de l’église, représente les saints intercesseurs, Sainte-Thérèse, la Vierge Marie et le Christ. Sainte-Thérèse a été ajoutée ultérieurement et faisait l’objet d’un pèlerinage où on se rendait en procession.

Les 14 saints auxiliaires, des saints guérisseurs vénérés

L’usage de vénérer et d’invoquer les saints intercesseurs (Vierzehnheiligen) s’est répandu depuis le XV* siècle (1445) à partir de l’Allemagne.

Il s’agit des saints Érasme, Eustache, Georges, Catherine d’Alexandrie, Cyriaque, Christophe, Pantaléon, Denis, Acace, Guy (ou Vite), Barbe (ou Barbara), Blaise, Gilles (ou Égide) et Marguerite d’Antioche. Parfois, l’un ou l’autre est remplacé par un suppléant.

Chacun des saints est invoqué pour une raison ou un mal particulier. Les 14 saints auxiliaires sont vénérés dans le Sundgau à Fulleren, Manspach, Gommersdorf, Wittersdorf, Magstatt-le-Bas, Bartenheim (chapelle Saint-Nicolas), Frœningen et Oberlarg.

Les saints portent des habits du début du XVIIIème siècle. Un livret daté de 1763, conservé aux archives de l’ancien évêché de Bâle à Porrentruy, signale cette dévotion d’Oberlarg.

Sondersdorf

L’église Saint-Martin.

Une église est mentionnée pour la première fois à Sondersdorf, en 1284.Cependant, d’après le terrier de la seigneurie de Ferrette de 1592, il n’y aurait jamais eu d’édifice religieux. Le lieu de culte dédié à Saint-Ulrich devient une église paroissiale à la demande des habitants en 1768, ce qui fut accordé par l’évêque de Bâle Le patron devient alors Saint-Martin. Selon la date 1778 inscrite sur la porte d’entrée, le choeur et la nef ont été reconstruits. La tour (ancienne tour choeur ?) subsista, elle daterait du 13e ou 14e siècle ; devant la façade occidentale petit porche fermé, moderne

La chapelle de Hippoltskirch.

A un kilomètre de Sondersdorf, au bord de l’Ill, cette chapelle classée aux monuments historiques en 1995, date du XVIIIe siècle, mais la première mention d’une chapelle dédiée à saint Martin remonte à 1144.Cette chapelle est au Moyen Âge un lieu de pèlerinage qui fut placé sus l’invocation de la Vierge Marie et de saint Hippolyte par le pape Léon IX. Démolie en 1770 sur ordre de l’évêque de Bâle pour cause de vétusté, un nouvel édifice est reconstruit par les habitants du village entre 1778 et 1781, empruntant le gros-œuvre de l’église primitive.

Winkel

L’église de Winkel

Construite entre 1786 et 1788, l’église actuelle de WINKEL fut consacrée le 14 septembre1788 par Mgr. Joseph von Roggenbach, évêque de Bâle. Dédiée à St Laurent, diacre et martyr, mort en 258, elle est la quatrième église de Winkel, les 3 précédentes ayant été détruites tour à tour en 1445 (durant la Guerre contre les Armagnacs), en 1633 (durant la Guerre de Trente Ans) et en 1784, lors d’un incendie accidentel.

C’est dans l’influence de l’Abbaye de Lucelle qu’il faut rechercher l’origine du style baroque cistercien de notre église, caractérisé par la présence d’anges joufflus et de colonnettes torsadées décorant les autels. Le bâtisseur du sanctuaire actuel, le R.P. Célestin ADAM, religieux de Lucelle, curé de Winkel de1776 à 1829 s’inspira des règles de construction en usage au sein de son ordre.

Le maître-autel sculpté en 1863 par. J. DREYER est une copie de celui de 1’Abbatiale de Lucelle dont l’original se trouve à Koestlach. Le tableau qui le domine, inspiré d’un tableau de Rubens, représente le martyre de Saint-Laurent. Les deux autels qui le flanquent sont consacrés, l’un au Rosaire et l’autre à St. Wendelin, patron des bergers. Ces trois tableaux sont dus à Jean-Jacques Bulffer (1774-1819).

Lors de l’agrandissement de 1863, on allongea la nef et le chœur et l’on construisit le transept. On mit en place les deux magnifiques autels du transept classés monuments historiques et provenant de l’Abbatiale de Lucelle, dont l’un, à gauche, représente la mort de St Joseph et l’autre le martyre de Ste Agathe (Jacob Carl Stauder 1694-1756). Le plafond et les murs de l’église furent décorés de fresques lors de sa rénovation de 1911. Les vitraux datent de 1951.

Saint Laurent

Diacre de l`église romaine, mort brûlé sur un gril, le 10 août 258, au cours de la persécution qui coûta également la vie au pape Sixte II, Laurent compte au petit nombre des saints romains à avoir reçu très vite un culte officiel. Patron de Rome après Pierre et Paul, il est le protecteur des pompiers, des pâtissiers, des rôtisseurs et des charbonniers et réputé guérir des brûlures et protéger contre les incendies.

La chapelle de Warth

Le 1er mai 1308, Jean de Souabe avec quatre complices assassine l’empereur Albrecht 1er de Habsbourg afin de monter sur le trône. La forfaiture fut accomplie à Windisch en Suisse. La suite des évènements ne se passa cependant pas comme prévu. Agnès de Hongrie, femme ou fille de l’empereur, prit les affaires du royaume en mains. Elle se mit en quête des conjurés pour assouvir sa vengeance. Le seul qui tomba entre ses mains fut Rodolphe de Warth. Durant son procès, la jeune Adelaïde, femme de Rodolphe,implora à genoux la clémence de la reine et du tribunal. Ce fut en vain, Rodolphe fut condamné à mourir sur la roue.

Rodolphe fut traine, attaché à la queue d’un cheval jusqu’à Brugg, lieu choisi pour le supplice. Là, le bourreau l’attacha sur la roue et lui brisa méthodiquement tous les membres.L’agonie de Rodolphe dura trois jours et trois nuits. Durant tout le supplice, Adelaïde resta au côté de son mari pour lui prodiguer des soins, le réconforter et le préparer à une mort chrétienne.Après sa mort, elle rejoignit à pied la ville de Bâle et s’enferma dans un couvent. Elle y mourut quelques années plus tard en odeur de sainteté.

Les trois fils de Rodolphe, dont deux s’étaient consacrés au Seigneur, firent construire la chapelle en face des ruines du château familial.Celui-ci fut rasé sur ordre de la reine. Des documents de l’an 1362 mentionnent la chapelle et un don fait aux moines de Lucelle pour la lecture de messes au sein de cette chapelle destinée au salut de l’âme du chevalier de Warth.

En 1591, la chapelle fut placée sous le patronage de St Georges. Un pèlerinage s’y développa, car les eaux de la fontaine attenante furent reconnues salutaires pour la guérison des blessures. Une légende prit peu à peu forme dans la région. Il s’y raconte que certaines nuits il est possible de rencontrer la belle Adélaïde. Elle transporte de lourdes pierres afin de les entasser. Elle doit ainsi en rassembler trois cents pour sauver l’âme de Rodolphe. Mais à chaque fois, Agnès de Hongrie surgit, furieuse, et les disperse. Si vous avez une bonne âme et que vous rencontrez Adélaïde ou un des tas de pierres, aidez-la, afin de la délivrer, elle et son époux, de cette malédiction éternelle.

Le Bildstoecklé

En retournant sur la rue principale et en montant tout droit jusqu’au plateau (à environ 2 km) appelé « Plateau de l’Oratoire », vous découvrirez le Bildstoecklé, en bois sculpté, au milieu des tilleuls. Celui-ci représente dans sa partie supérieure, le Sainte Famille accompagnée de la Sainte Trinité et en dessous, une statuette de Saint Antoine.

La chapelle Saint-Antoine

A l’entrée du village, en venant de Ferrette, a été édifiée une autre petite chapelle, dédiée à Saint Antoine, en 1924, suite au vœu de deux jeunes winkelois de construire une chapelle s’ils revenaient sains et saufs de la guerre.

Lucelle – Annexe de Winkel

L’histoire de Lucelle commence par la donation des terres et la bénédiction de Bernard de Clairvaux. Très vite l’abbaye eut une telle renommée que plus de 200 moines y résidaient à la fin du XIIe siècle. Sur ses terres d’une surface considérable, l’abbaye avait des droits souverains sur la chasse, la pêche, les cours d’eau, l’exploitation de mines de fer, et la justice. Elle possède un haut fourneau et une forge ainsi qu’une tuilerie, des moulins et des fermes. Plusieurs vastes forêts et de grands prés fournissaient le bois et le fourrage nécessaire. Elle possèdera une quinzaine de « granges » en Alsace et dans l’évêché de Bâle qui seront réunies par la suite en prieuré-fermes.
À la suite d’un séisme, le couvent doit être reconstruit et la nouvelle abbatiale gothique est consacrée en 1346. L’église, entièrement réservée aux moines, mesurait 62 m de longueur et 20 m de largeur. En 1525, elle ne compte pas moins de 18 autels.
Incendiée par les Suisses après la bataille de Dornach en 1499, puis dévastée par un incendie en 1524 l’abbaye devait voir fondre sur elle la révolte des paysans d’Alsace l’année suivante. Endommagée durant la guerre de Trente Ans, qui voit les moines quitter Lucelle pour aller se réfugier au Petit-Lucelle alors situé en territoire soleurois. Après l’incendie de 1699, l’abbatiale est dotée d’un riche mobilier baroque, de nouvelles cloches ainsi que de nouvelles orgues.
En 1792, alors la plus riche abbaye cistercienne d’Alsace, est fermée. Le couvent était alors dirigé à cette époque par l’abbé Benoît Noblat et comptait 45 moines. Elle est vendue le 11 mai de cette année à un particulier. L’abbaye fut démolie en grande partie et le mobilier baroque vendu aux enchères publiques, se retrouvant ainsi aujourd’hui dans plusieurs communes du Haut-Rhin ou de Haute-Saône. Seul un bâtiment fut conservé pour servir de douane. Le 28 février 1801 un haut fourneau était érigé sur le site.
Depuis 1124, l’année de la fondation de l’abbaye cistercienne à Lucelle, la tradition veut que la Sainte Messe soit célébrée chaque dimanche à la gloire de Dieu et c’est ainsi qu’à partir du séjour de Saint Bernard de Clervaux à Lucelle dans la Chapelle Notre Dame de l’Abbaye, la prière « Salve Regina Mater misericordiae » retentit dans cet endroit marqué par la Sainteté des Abbés moines cisterciens.

Eveil à la Foi

Pour la 1ère séance d’éveil à la foi, le 10 novembre à Lucelle, les enfants étaient accompagnés par Agathe Fuetterer et Justine Froehly, deux jeunes confirmantes, sous la houlette d’Annick Gasser, coopératrice de la pastorale des jeunes et Marie-Jeanne Schreiber, coopératrice de la pastorale enfants.

Le curé Christophe Lacny a partagé ce moment avec nous.

Après un temps d’accueil autour d’un goûter, les enfants ont découvert la vie de Sainte Bernadette, puis fabriqué une petite lanterne avec la prière du  JE VOUS SALUE MARIE  puis nous nous sommes rendus à la grotte de Lourdes pour un temps de prière.

Premier Pardon  et  Première Communion

La Première Communion se prépare en deux ans, la première année étant la préparation du Premier Pardon autrement dit le sacrement de la Réconciliation

Par le Sacrement de la réconciliation (ou 1er pardon) les enfants découvrent en Jésus un compagnon de route qui s’intéresse à leur vie et qui désire leur bonheur. En le recevant pour la 1ère fois, dans le Sacrement de l’Eucharistie, ils entrent pleinement avec lui dans le mystère pascal.

En permettant aux enfants de réfléchir sur ce qu’ils vivent avec les autres et avec Dieu, quelques modules du parcours « Nathanaël » préparent les enfants au 1er pardon, tout en leur présentant Jésus comme celui qui relève, qui guérit et qui pardonne les péchés.

D’autres parties du parcours « Nathanaël » les préparent à entrer en communion avec lui par le sacrement de l’Eucharistie. Nous utilisons en particulier les modules « En alliance avec Dieu » et « Vivre l’Eucharistie ».

INSCRIPTIONS AU PREMIER PARDON en vue de la 1ERE COMMUNION

 

Contacter Marie-Jeanne Schreiber par mail ani.pastosundgau@gmail.com

                                                                           ou tel 06 77 21 31 01

Vérifier le lieu et la date du baptême de votre enfant.

Si votre enfant n’est pas baptisé, une préparation au Baptême lui sera proposée.

 

Profession de Foi

La profession de foi n’est pas un sacrement comme la confirmation, mais un temps fort qui permet aux jeunes de réfléchir sur leur foi et une célébration qui compte pour les parents. Pour certains jeunes, c’est une étape importante dans leur itinéraire religieux. Ils y sont plus attachés qu’à la confirmation. Elle est une célébration au cours de laquelle des jeunes renouvellent en leur nom propre l’engagement pris pour eux par leurs parents, parrain et marraine à leur baptême.

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Merci de s’inscrire auprès d’Annick par tél. (06 85 77 10 10) ou par mail

gasserannick@gmail.com

 

 

Renseignements:

Annick Gasser 03 89 68 21 09, 06 85 77 10 10, E-Mail: gasserannick@gmail.com

Confirmation

Avec le Baptême et l’Eucharistie, le sacrement de la Confirmation constitue l’ensemble des « sacrements de l’initiation chrétienne ». Ils conduisent à leur pleine stature les fidèles appelés à exercer leur mission dans l’Eglise et dans le monde : annoncer Jésus Christ, célébrer la gloire de Dieu et servir l’homme et le monde.

« Par le sacrement de Confirmation, le lien des baptisés avec l’Eglise est rendu plus parfait, ils sont marqués du sceau de l’Esprit Saint, enrichis d’une force spéciale de l’Esprit Saint » (Lumen Gentium 11), force qui fut jadis accordée aux Apôtres au jour de la Pentecôte pour répandre la Bonne Nouvelle de Jésus Christ, par la parole et en action.

« Celui qui nous affermit avec vous dans le Christ et qui nous as donné l’onction, c’est Dieu Lui qui nous as marqués de son sceau et a mis dans nos cœur les arrhes de l’Esprit » (2 Corinthiens 1, 21-22)

C’est avec une huile parfumée, le Saint Chrême, que l’évêque marque le front de chaque confirmand. Comme cette huile répand une bonne odeur, chacun est appelé, par l’élan et la joie de sa vie, à répandre la bonne odeur du Christ, à être un témoin authentique du Ressuscité, afin que le corps du Christ s’édifie dans la foi au Dieu, Père, Fils et Esprit, et l’amour des hommes et du monde. Comme le Baptême dont elle est l’achèvement, la Confirmation est donnée une seule fois. La préparation à la Confirmation doit viser à conduire le chrétien vers une union plus intime au Christ, vers une familiarité plus vive avec l’Esprit Saint, son action, ses dons et ses appels, afin de pouvoir mieux assumer les responsabilités de la vie chrétienne.

La préparation se fait sur deux années. Une rencontre mensuelle de 2h30 et des temps forts (adoration eucharistique, festival du film chrétien, Printemps de la Fraternité, camps d’été…). Une retraite en début ou en fin d’année dans une communauté religieuse. Pas de programme pré-établi. On propose aux jeunes des thématiques qui les préoccupent sur le moment. Les rencontres sont ludiques et interactives. Nous faisons appel à des témoins qui parlent aux jeunes de leurs engagements soit en paroisse soit dans le civil.

Signes du sacrement : l’imposition des mains, l’onction avec le Saint-Chrême et le geste de paix.

Paroles du sacrement : « Sois marqué de l’Esprit Saint, le don de Dieu »

Renseignements : Annick Gasser, coopératrice de la pastorale.

Tél.: 0685771010  ou par mail: gasserannick@gmail.com

 

Baptême

Le sacrement du Baptême est le fondement de toute la vie chrétienne, le porche de la vie dans l’Esprit et la porte qui ouvre l’accès aux autres sacrements. Par le Baptême nous sommes libérés du péché et régénérés comme fils de Dieu, nous devenons membres du Christ et nous sommes incorporés à l’Eglise et faits participants à sa mission. Le Baptême est le sacrement de la régénération par l’eau et dans la parole. Le Baptême est le plus beau et le plus magnifique des dons de Dieu :   » paragraphe 1213 du Catéchisme de l’Eglise Catholique  »

Mariage

Le sacrement du mariage  » L’alliance matrimoniale, par laquelle un homme et une femme constituent entre eux une communauté de toute la vie, ordonnée par son caractère naturel au bien des conjoints ainsi qu’à la génération et à l’éducation des enfants, a été élevée entre baptisés par le Christ Seigneur à la dignité de sacrement . »

Dieu qui a créé l’homme par amour, l’a aussi appelé à l’amour, vacation fondamentale et innée de tout être humain. Car l’homme est créé à l’image et à la ressemblance du Dieu qui est Lui-même Amour. Dieu l’ayant créé homme et femme, leur amour mutuel devient une image de l’amour absolu et indéfectible dont Dieu aime l’homme. Il est bon, très bon, aux yeux du Créateur. Et cet amour que Dieu bénit est destiné à être fécond et à se réaliser dans l’oeuvre commune de la garde de la création :  » Et Dieu les bénit et Il leur dit : « Soyez féconds multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-là  » (Gn 1, 28)

Que l’homme et la femme soient créés l’un pour l’autre, l’Ecriture Sainte l’affirme :  » Il n’est pas bon que l’homme soit seul.  » La femme,  » chair de sa chair « , c’est à dire son vis à vis, son égale, toute proche de lui, lui est donnée par Dieu comme un  »  secours « , représentant ainsi le  » Dieu en qui est notre secours « .  » C’est pour cela que l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux deviennent une seule chair  » ( Gn 2, 18-25). Que cela signifie une unité indéfectible de leur deux vies, le Seigneur Lui-même le montre en rappelant quel a été,  » à l’origine « , le dessein du Créateur :  » Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair  » (Mt 19,6). (paragraphe 1601, 1604 et 1605 du Grand Catéchisme de l’Eglise Catholique)

 

Pastorale des malades,

qui se manifeste par une présence…
• « J’étais malade et vous m’avez visité » Matthieu 25, 36. C’est au visité que le Christ s’identifie et non au visiteur. Aller à la rencontre de l’autre, le visiter, se faire proche de lui, prendre le temps de l’écouter et rompre sa solitude, c’est passer de la seule intervention du ministre du culte à un « ministère de la présence », mission portée par toute une équipe qu’elle soit paroissiale ou d’aumônerie. Dans le respect des convictions de la personne rencontrée, sans prosélytisme et sur le seuil de ses questionnements. « Etre pauvre de soi. Faire de soi un espace où l’autre puisse respirer sa vie. » M.Zundel. Visiter, c’est s’offrir une hospitalité réciproque.

Funérailles

La mort d’un proche provoque toujours un choc. Les funérailles permettent d’humaniser ce moment par le rassemblement des proches, l’évocation de celui qui vient de partir, les gestes d’amitié. Pour un chrétien, les funérailles sont aussi l’occasion de rappeler que, malgré le deuil, la vie ne s’arrête pas à la tombe.

Équipe funérailles

Sur notre communauté de paroisses, une équipe funérailles a suivi une formation sur huit journées au centre diocésain Teilhard de Chardin à Mulhouse.Ces personnes sont au service des familles éprouvées par un décès, pour les accompagner à la préparation de la messe d’enterrement.Elles peuvent, si vous le souhaitez : être présentes quand le prêtre reçoit les familles en deuil, aider à choisir les lectures, à rédiger les prières universelles ainsi que le texte qui retrace la vie du défunt.

Ces personnes sont à votre service pour vous écouter en toute discrétion et confiance.

Coordonnées des personnes de l’équipe funérailles :

Sylviane Baysang de Bendorf           03 89 40 40 80           ou 06 08 78 49 99

Josiane Schmitt de Winkel               03 89 40 87 10           ou 06 43 11 95 35

Andrée Schull de Courtavon             06 88 22 54 03

 

Ouverture de la Visite Pastorale du Sundgau

La zone pastorale du Sundgau vit sa Visite Pastorale de Novembre 2015 à Avril 2016 avec Mgr Dollmann.

Lancement de la Visite pastorale du Sundgau

Le week-end prochain va débuter à Hirsingue, dans le Sudgau, la Visite pastorale de la Zone pastorale par […]

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