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CP Chemins-du-Nouveau-Monde

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« Chemins-du-Nouveau-Monde
Saint-Jean XXIII »

Officiellement reconnue le 26 avril 2009 par Mgr Vincent Jordy, alors évêque auxiliaire, notre communauté relève de l’archidiocèse de Strasbourg, l’Église catholique en Alsace, et fait partie du doyenné de Guebwiller et Soultz au sein de la zone pastorale Lauch-Thur-Doller. Elle est composée des paroisses de Bollwiller, Feldkirch, Pulversheim, Raedersheim et Ungersheim, communes situées près du carrefour dit « du Nouveau Monde », d’où la communauté tire son nom.

Nous avons choisi de nous placer sous le patronage de saint Jean XXIII, pape à l’initiative du concile de Vatican II, connu pour avoir été celui de l’aggiornamento de l’Église catholique, de son ouverture au monde, à ses réalités humaines et spirituelles. Ce concile a ouvert des chemins d’espérance et de relations nouvelles avec les autres confessions chrétiennes et les autres religions.

Dans cet esprit, nous cherchons à ouvrir des chemins conduisant vers Jésus Christ, des chemins parfois pentus et caillouteux, mais aussi riches de ce qu’ils permettent de découvrir de Celui en qui un nouveau monde est déjà né. Ces chemins sont nourris de notre histoire, liée tant à l’agriculture qu’aux mines de potasse. C’est tout cela que notre logo veut illustrer.

Béatifié en 2000 par Jean-Paul II puis canonisé par François en 2014, saint Jean XXIII est fêté le 11 octobre, jour de l’ouverture du concile de Vatican II.

 
Curé de la Communauté de paroisses
  • Gabriel Girroy
Prêtre retraité
  • Raymond Henninger

Adresse du presbytère

15 rue de la gare – 68540 Bollwiller
Tel. 03 89 48 10 49

Eglise Saint-CharlesBOLLWILLER
Paroisse Saint-Charles

4174 habitants

Avant la construction de leur église, les habitants de Bollwiller relevaient de la paroisse de Feldkirch. Ils y ont été baptisés et enterrés.

 Dès 1828 puis en 1841, il y eut des projets de construction d’une église à Bollwiller. En 1843, une demande officielle fut effectuée par le maire Thiebault Durwell pour la création d’une paroisse, soutenue par le curé Friess de Feldkirch. L’exécution du projet fut retardée à cause d’une épidémie entre 1845 et 1846 qui causa de nombreux décès et appauvrit la population. Le patronage de saint Charles Borromée a vraisemblablement été choisi du fait que ce saint évêque s’était dévoué lors de la peste qui sévissait à Milan au 16e siècle.

Le 28 mai 1848 fut posée et bénite la première pierre, encore visible près de l’entrée extérieure de la sacristie. Le 4 novembre 1849, le curé Friess bénit l’édifice encore inachevé et y célébra la première messe.

 Les gens étaient pauvres mais ils avaient contribué très activement à la construction par des dons en nature et en espèces et par du bénévolat (disponibilité de 4 maçons).

 Le 1er juin 1852, le prince Louis-Napoléon Bonaparte signa le décret créant la paroisse de Bollwiller. Le 14 décembre 1852, le premier curé, l’abbé Mathias Schermesser, a été installé. L’église fut consacrée par Monseigneur Raess, évêque de Strasbourg, le 8 août 1860.

 Depuis, de nombreux prêtres et vicaires se sont succédé. Les plus récents dont les paroissiens se souviennent : l’abbé Joseph Sifferlen, les curés Wurth, Rieflé, Binder, Jérôme Meyer, Gérard Bréta et Raymond Henninger ont marqué les mémoires.

 Suite au réaménagement pastoral du diocèse d’Alsace, la paroisse de Bollwiller fait partie de la communauté de paroisses Chemins-du-Nouveau-Monde depuis 2009.

 Pour vous informer sur l’orgue, cliquez ici .

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FELDKIRCH
Paroisse Saint-Rémi

999 habitants

La paroisse

 Feldkirch a été évangélisé dès le 8e siècle par saint Fridolin, moine prêcheur venu d’Irlande.

Lorsqu’elle fut constituée, la paroisse de Feldkirch comprenait les communes de Feldkirch, avec Bollwiller et Pulversheim comme annexes et Raedersheim comme église filiale. Raedersheim, après de nombreuses réclamations qui durèrent de 1436 à 1666, obtint le droit d’avoir un vicaire résidant dans la commune tout en restant attaché à la paroisse-mère. La séparation n’eut lieu qu’en 1697. Pulversheim dépendit d’Ensisheim à compter de 1802. Quant à Bollwiller, la paroisse devint indépendante en 1852.

 La paroisse de Feldkirch a donné de nombreux prêtres, religieux et religieuses à l’Église. La chronique du 250e anniversaire de l’église cite 13 prêtres, 2 religieux et 4 religieuses. Plusieurs prêtres ont leur tombe au cimetière de Feldkirch dont 4 de part et d’autre de la porte d’entrée de l’église.

De 1764 à 1932, la confrérie du Saint-Rosaire était très présente. En témoignent la bannière et les porte-cierges de la confrérie près de l’autel de la Vierge qui représentent les mystères joyeux, douloureux et glorieux de la vie du Christ.

 L’église Saint-Rémi

 Construite à la place d’un sanctuaire déjà dédié à saint Rémi, l’église actuelle de Feldkirch date de 1725. Elle est l’œuvre de l’architecte Jacques Spingal de Masevaux. Décédé le 18 mars 1725, il fut enterré au cimetière de Feldkirch. En 1726, le nouvel édifice était à peu près terminé. On y installa le maître-autel de l’ancienne église qui date de 1719, œuvre de style baroque due à un atelier de Thann. La consécration n’eut lieu que le 24 août 1739 en la fête de saint Barthélémy par Mgr Jean-Baptiste Haus, évêque coadjuteur de Bâle dont la paroisse dépendait alors.

Le 17 octobre 1753, trois cloches furent coulées. Elles furent bénites le 29 octobre de la même année. Elles ont toutes disparu dans la tourmente révolutionnaire. Après les épisodes des guerres de 1870, 1914-1918 et 1939-1945, les cloches actuelles ont été bénites le 10 juillet 1949 en présence des parrains et marraines choisis parmi des familles connues du village.

 En 1766, un orgue de style italien a été installé par Ambrosius Ronzoni, facteur d’orgue à Burkheim (Allemagne). Cependant, le travail n’ayant pas donné satisfaction, un procès lui fut intenté en 1782 devant le tribunal de Freibourg-im-Brisgau (Allemagne). L’instrument sera achevé en 1785 par Joseph Rabiny, facteur d’orgue à Rouffach. L’orgue a connu plusieurs restaurations. La dernière date de 1961 et consistait en une réfection des sommiers par l’atelier Curt Schwenkedel. D’autres information en cliquant ici.

 Des travaux de restauration eurent lieu au fil des années. Ils ont concerné tant l’intérieur de l’édifice (murs, sol, plafond et mobilier) que l’extérieur, cela grâce au soutien des paroissiens, de généreux donateurs et de la municipalité de Feldkirch.

 L’ARSEF (Association pour la rénovation et la sauvegarde de l’église de Feldkirch), créée à l’initiative d’Amand Holder, président du conseil de fabrique, assura la gestion des travaux de 1993 à 2005, toujours avec le soutien de la municipalité et des habitants.

 La guerre de 1914-1918 épargna l’église, hormis le tableau du maître-autel endommagé par quelques éclats d’obus et les vitraux côté sud qui furent soufflés. De même, l’église fut miraculeusement épargnée durant la guerre de 1939-1945.

 La nef est de style grange. Le chœur, voûté en plein cintre, est orné de deux vitraux de 1874 signés de Paul Beyer, représentant l’Annonciation et la Nativité. Le maître-autel est de style baroque, dominé par un baldaquin supporté par quatre colonnes. Le tableau du 18e siècle qui en orne le fond représente le baptême de Clovis par saint Rémi. Il a fait l’objet d’une restauration en 2017 par l’atelier François Péquignot de Strasbourg. Les autels latéraux datent de la même époque et sont également de style baroque. L’autel gauche est celui de la confrérie du Saint-Rosaire et représente la Vierge à l’Enfant, saint Dominique et sainte Catherine de Sienne. L’autel droit représente saint Fridolin ressuscitant Urso, dont une donation avait permis la construction de l’abbaye de Säckingen (Allemagne).

 La sacristie occupe la place de l’ancienne chapelle réservée aux seigneurs De Rosen, au-dessous de laquelle se trouve encore leur caveau funéraire. Le plus illustre de cette famille, le Maréchal Conrad De Rosen (1621-1715) a son épitaphe gravée sur une plaque de marbre blanc conservée dans la sacristie.

Sources :

HERGOTT (Louis), Abbé STURCHLER (Léon), OBRECHT (Auguste), « Deux cent cinquantenaire de l’église de Feldkirch », 1975
MAIRIE DE FELDKIRCH, « Notre village, Unser Dorf », 2012

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PULVERSHEIM
Paroisse Saint-Jean

3176 habitants

La première paroisse de Pulversheim est antérieure au 13e siècle. Elle a pour origine la donation faite par le duc Adalbert au monastère Saint-Étienne de Strasbourg.

 En tant que paroisse, le village faisait partie du Chapitre rural Citra Colles Ottenbühl (Hattstatterbückel) de l’ancien évêché de Bâle. Elle est signalée en 1302 dans la collection papale « Ecclesia » (Fouillé, tome VI, 155 et 171) et, après 1441, dans le Liber Marcarum sous Wulfersheim.

 L’ancienne chapelle et le cimetière se situaient derrière l’actuelle église Saint-Côme et Saint-Damien. Dans la relation de 1724, on signale en effet à cet endroit le « rudera » (ruine), d’une ancienne chapelle, indiquée également sur la carte topographique de Casini.

 En 1660, Pulversheim était une filiale de la paroisse de Feldkirch. En 1699, le marquis de Rosen créa un prieuré dans son château de Bollwiller et le chapelain desservait en même temps le village de Pulversheim.

 En 1802 le village devient une filiale d’Ensisheim. Le service religieux a lieu dans l’ancienne église du couvent de Schoenensteinbach.

 Pour éviter aux fidèles les pénibles déplacements vers les lieux de culte des localités environnantes, deux habitants, Xavier Himmelspach et Joseph Rieber prirent l’initiative de réunir, par collecte dans la localité et dans les alentours, les fonds nécessaires à la construction d’une église.

 On ne sait pas pourquoi l’église n’a été achevée que quinze ans plus tard. Il s’agissait d’une petite chapelle de 12 m de long sur 9 m de large, édifiée à l’emplacement de l’actuelle église Saint-Côme et Saint-Damien, au milieu de l’ancien cimetière, transféré en 1877. Cette église, dédiée à saint Etienne comme la précédente chapelle, a été bénite le 18 octobre 1827.

 À cette date un abbé d’Ensisheim, rétribué uniquement par les habitants de Pulversheim, faisait fonction d’administrateur. La municipalité intervint à plusieurs reprises en vue de la création d’une paroisse et de la nomination d’un pasteur rétribué par l’État.

 Le 21 novembre 1835, la toiture de la chapelle fut fortement endommagée, mais réparée aussitôt grâce aux dons des habitants, afin d’éviter des détériorations ultérieures à l’approche de l’hiver. Il restait à surmonter un obstacle : la construction d’un presbytère. L’engagement pris en 1835 fut réalisé en 1837 conjointement avec la construction d’une école.

 Pulversheim fut érigée en paroisse par ordonnance du roi Louis-Philippe en date du 31 mai 1840 et rattachée au doyenné d’Ensisheim.

Au regard de réparations nécessitées pour la conservation de l’église de 1827, les dépenses s’avéraient si coûteuses en 1885 que le conseil municipal, en accord avec le conseil de fabrique de l’église, chargea l’architecte Schmitt de l’élaboration d’un plan pour la construction d’une nouvelle église.

 La nouvelle église, toujours dédiée à saint Etienne fut consacrée en 1887.

Après la Première Guerre mondiale, municipalité et conseil de fabrique, grâce aux dons des habitants et aux collectes organisées par le curé de l’époque, mirent en commun leurs efforts pour réunir les fonds nécessaires à une rénovation complète.

Suite au bombardement du village en 1944-1945, l’église a de nouveau été fortement endommagée et a bénéficié de nouvelles réparations.

 La population grandissant, la petite église ne pouvait plus contenir tous les fidèles. Il a été décidé de construire une nouvelle église entre les deux quartiers du village pour affermir l’esprit communautaire.

Les responsables : clergé, municipalité et comité de l’association, choisirent parmi les trois maquettes présentées celle élaborée par l’architecte Du Cailar. La première pierre, bénite par Mgr Maurer, vicaire général, put être posée le 16 mai 1965. La nouvelle église dédiée à saint Jean fut consacrée par Mgr Elchinger, évêque de Strasbourg, le 31 mars 1968.

 L’ancienne église paroissiale Saint-Etienne, désormais Saint-Côme et Saint-Damien, accueille aujourd’hui l’Église orthodoxe roumaine.

 Pour des informations sur l’orgue, cliquez ici.

Sources :

HIRSINGER (Ewald), « Chronique de Pulversheim », Guebwiller, Editions Alsatia, 1977, 295 pages.

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RAEDERSHEIM
Paroisse Saint-Prix et Saint-Amarin

1146 habitants

Dès 1490, une chapelle avait été érigée aux confins des routes d’Issenheim et de Soultz. Jusqu’en 1666, le village était desservi par le curé de Feldkirch.

 En 1842, les paroissiens ont commandé un orgue aux facteurs d’orgues Callinet, originaires de Rouffach, pour 2.700 francs de l’époque.

 L’église actuelle date de 1882 et a été construite à côté d’une ancienne maison paysanne qui a longtemps servi de presbytère, puis de mairie à partir de 1972.

 L’orgue a été transféré dans la nouvelle église. Il a subi d’importants dégâts en 1914-1918 mais n’a été restauré qu’en 1976 pour 20.000 francs (remplacement des tuyaux en tôle par des tuyaux en zinc). Il a fait l’objet d’un relevage par la manufacture d’orgues Muhleisen de Eschau en 2018. Pour plus de détail, cliquez ici .

 Les vitraux ont été conçus et exécutés en 1882 par M. WEYH, de Colmar, de même que les bancs et les stalles.

Le chemin de croix a été peint par le peintre Heinrich KAYSER, de Stanz (Suisse).

Une première rénovation extérieure de l’église a été achevée à l’occasion de son centenaire en 1982. La rénovation intérieure a été réalisée de 1999 à 2001 grâce à un financement de la commune et des quêtes à domicile.

 Le dernier curé à habiter à Raedersheim a pris sa retraite en 1968, date à laquelle la paroisse fut rattachée à Feldkirch.

En 2009, Raedersheim a été réuni aux paroisses de Bollwiller, Feldkirch, Pulversheim et Ungersheim.

Un article détaillé sur la paroisse et l’église est consultable sur le site de la commune.

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UNGERSHEIM
Paroisse Saint-Michel

2422 habitants

 Notre église dont les origines remontent à la fin du XIe siècle a été reconstruite en 1749.

 Elle se compose d’un vaisseau unique, d’un chœur polygonal en retrait et d’un clocher latéral en partie roman coiffé d’un bulbe baroque. Ce clocher séparé de l’église était probablement fortifié, on y voit une petite porte romane et deux meurtrières, et deux piliers aux chapiteaux simples et cubiques sont reliés entre eux par trois arcs. L’église et sa tour romane sont classées monuments historiques.

Le chœur est surmonté d’un baldaquin, belle œuvre baroque, provenant de l’abbaye de Pairis.

Le tableau du maître-autel, copie d’une toile de Guido Reni, a été exécuté par Danzer de Mulhouse et représente saint Michel, patron de la paroisse, terrassant un dragon. Les autels latéraux sont dédiés à la Vierge Marie et à saint Joseph.

Les statues de saint Pierre et saint Paul, pièces marquantes de notre patrimoine cultuel, datant probablement du 16e siècle, ont été sculptées par Martin Hoffmann de Bâle. En bois polychrome, remarquables par leur finesse, typique de la région du Rhin supérieur, elles ont été inscrites à l’inventaire des monuments historiques.

 L’orgue François Ignace Hérisé de 1844 fut remplacé en 1904 par un orgue pneumatique installé par Martin et Joseph Rinckenbach. En 1991, un nouvel orgue fut reconstruit par Rémy Mahler et se compose de 27 jeux de timbres et de sonorités variés. Pour plus de détails, cliquez ici.

 Quatre cloches, baptisées Saint-Michel, Saint-Joseph, Saint-Nicolas, la Vierge Marie, rythment la vie des villageois.

 À l’entrée du village, rue de la Chapelle, se situe le « Schaecher » (calvaire) construit sans doute à l’issue de la guerre de Trente Ans.

 La paroisse célèbre saint Michel, son saint patron. De 1762 à 2014, elle fêtait également l’Exaltation de la Sainte Croix en raison de la remise à l’époque d’une relique de la Sainte Croix par un capucin originaire du village.

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CALENDRIER LITURGIQUE

Calendrier Liturgique Année C « Luc » Lire et télécharger :
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HORAIRE DES MESSES

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"LE LIEN"

L’ EDITORIAL DU MOIS

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Et Dieu vit que cela était bon

DEMARCHES RELIGIEUSES

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Baptême

Quand célébrer le baptême ?

Pour les bébés : dans les premières semaines après la naissance
Dans les autres cas : à partir de l’âge de raison

Quand faire la demande ?

Pour le baptême des bébés : au moins 3 mois avant la date prévue
Dans les autres cas : à partir de l’âge de scolarité (cours élémentaire 1re année)

Quel jour célébrer le baptême ?

Pour les bébés : le samedi en fin d’après-midi, ou le dimanche après la messe dominicale, ou à Pâques
Par la suite : à l’occasion des fêtes de Pâques

Qui peut être parrain ou marraine ?

Il faut être catholique et être âgé de plus de 16 ans.
Il n’est pas nécessaire d’avoir un parrain ET une marraine : l’un d’eux suffit. Ainsi, il est possible de choisir un parrain ou une marraine catholique, et une autre personne signant le registre de baptême à titre de témoin.

Y a-t-il une préparation ?

Oui. Pour le baptême des bébés, outre le 1er rendez-vous avec le prêtre destiné à faire connaissance et échanger sur la motivation de la demande, les parents doivent prévoir 1 rencontre. Une soirée par mois y est consacrée.

Pour les enfants en âge de scolarité et les jeunes, la préparation est plus longue (plusieurs rencontres). Elle peut être jointe à celle de la 1re communion ou de la confirmation.

Pour les adultes, la préparation s’étale sur 1 à 2 ans. Elle consiste en des rencontres mensuelles avec le prêtre et d’autres adultes.

Combien cela coûte-t-il ?

Il n’est rien demandé aux familles. Une corbeille est cependant mise à disposition des personnes qui souhaitent laisser une offrande pour la paroisse où le baptême est célébré.

Première Communion

ou SACREMENT DE L’EUCHARISTIE

Quand célébrer la Première Communion ?

Pour les enfants : lorsqu’ils sont en cours élémentaire 2ème année
Par la suite : à tout âge

Quand faire la demande ?

Pour les enfants : lorsqu’ils entrent en cours élémentaire 1ère année
Par la suite : à tout moment

Quel jour est célébrée la Première Communion ?

Pour les enfants : en général fin mai début juin. La date précise dépend du nombre d’enfants.
Par la suite : en principe à l’occasion des fêtes de Pâques

Y a-t-il une préparation ?

Oui. Pour les enfants de notre communauté de paroisses, la préparation s’étale sur 2 années scolaires. Elle consiste en une rencontre hebdomadaire ou tous les 15 jours en petits groupes, animée par une maman accompagnatrice. Il n’y a pas de réunion pendant les vacances scolaires.

Pour les jeunes : la préparation peut être concomitante à celle de la Confirmation. Elle fait l’objet de rencontres spécifiques.
Par la suite : la préparation s’étale sur 1 à 2 ans. Elle consiste en des rencontres mensuelles avec le prêtre et d’autres adultes.
Tous sont invités à participer aux célébrations dominicales, particulièrement à celles qui leur sont destinées.

Combien cela coûte-t-il ?

Les parents sont invités à participer aux frais de secrétariat (courriers, photocopies) ainsi qu’à l’achat des manuels des enfants et des accompagnateurs.

Profession de foi

Cette démarche n’est plus proposée dans notre communauté de paroisses. Elle n’est pas un sacrement et correspondait autrefois à l’entrée des jeunes dans le monde des adultes (entrée en apprentissage). Il s’agit pour les jeunes de prendre à leur compte la déclaration de foi que les parents, parrain et marraine ont proclamée en leur nom lors de leur baptême.

D’autre part, la profession de foi est déjà intégrée dans la célébration de la Confirmation (sous-entendu du Baptême).

Enfin, un certain nombre de jeunes célébraient leur Profession de foi sans poursuivre jusqu’au sacrement de la Confirmation, ce qui manque de sens.

Consultez la page consacrée à la confirmation en cliquant ici.

Confirmation

Quand célébrer la Confirmation ?

Pour les jeunes : dans notre communauté de paroisses, nous proposons la démarche aux jeunes atteignant l’âge de 15 ans dans l’année de la célébration.

Par la suite : à tout âge

Quand faire la demande ?

Pour les jeunes : dans l’année précédant leur 14e anniversaire, à la rentrée scolaire

Par la suite : à tout moment

Quel jour célébrer la Confirmation ?

Pour les jeunes : la date est déterminée d’une année sur l’autre en fonction de la disponibilité de l’Archevêque ou de son représentant

Par la suite : en principe à l’occasion des fêtes de Pâques. Il est aussi possible de se joindre aux jeunes confirmands.

Y a-t-il une préparation ?

Oui. Pour les jeunes de notre communauté de paroisses, elle s’étale sur 2 années scolaires. La préparation consiste en des rencontres hebdomadaires ou tous les 15 jours avec une personne laïque. Il leur est aussi proposé des rencontres avec d’autres jeunes ou des séjours à l’extérieur.

Par la suite : la préparation s’étale sur 1 à 2 ans. Elle consiste en des rencontres mensuelles avec le prêtre et d’autres adultes.

Tous sont invités à participer aux célébrations dominicales, particulièrement à celles qui leur sont destinées.

Combien cela coûte-t-il ?

Les parents sont invités à participer aux frais de secrétariat (courriers, photocopies), ainsi qu’à l’achat des cierges et des croix pour la Profession de foi.

Mariage

Quand faire la demande ?

Au moins 6 mois avant la date envisagée. Cette date sera fixée d’un commun accord en fonction des disponibilités du prêtre.

Quel jour célébrer le mariage ?

En principe le samedi, sauf le Samedi Saint et les jours fériés

Y a-t-il une préparation ?

Oui. Elle consiste en 3 à 4 rencontres avec le prêtre visant, outre la préparation de la célébration elle-même, à approfondir le sens du mariage chrétien, lequel s’articule autour de 4 piliers :

– les fiancés s’engagent l’un envers l’autre en pleine liberté pour fonder une véritable communauté de vie et d’amour ;
– cet engagement est donné pour toute la vie ;
– les fiancés se promettent soutien mutuel dans la fidélité ;
– ils s’engagent à accueillir et à éduquer humainement et chrétiennement les enfants qui pourront naître de leur union.

Parallèlement, il est proposé une rencontre d’une journée avec d’autres couples se préparant au mariage, animée par un couple formé à cet effet.

Combien cela coûte-t-il ?

Reportez-vous à la rubrique Offrandes de messe en cliquant ici.

Visites aux malades

ET AUX PERSONNES ÂGÉES

Les personnes souffrant de la solitude et/ou de la maladie bénéficient d’une attention particulière de la part de Jésus Christ. À sa suite, des bénévoles rendent visite aux personnes âgées et/ou malades de nos paroisses. À cette occasion, elles peuvent leur porter la communion, selon une tradition remontant aux origines du christianisme.

Bien sûr, il est nécessaire de connaître les personnes concernées. On peut les signaler à l’Abbé Gabriel Girroy au 03 89 48 10 49. Lui-même rend visite à ces personnes à l’occasion des fêtes de Noël, Pâques, Assomption et Toussaint.

En milieu hospitalier ou dans les maisons de retraite, il existe des aumôneries qui assurent présence et écoute. Là encore, on peut signaler les personnes qui attendent une visite en s’adressant au personnel médical.

Sacrement des malades

ou ONCTION des MALADES

L’Onction des malades n’est pas seulement le sacrement de ceux qui se trouvent à toute extrémité. Le moment opportun pour la recevoir est déjà venu lorsque le fidèle est dangereusement malade ou lorsqu’il entre dans la grande vieillesse. Elle peut être réitérée si le malade, qui a reçu l’onction et s’est rétabli, redevient malade ou si, durant la même maladie, son état s’aggrave.

Comment célébrer ce sacrement ?

– individuellement : contacter le prêtre de la paroisse, ou l’aumônier de l’hôpital si le malade est hospitalisé. Ceux-ci se rendront auprès du malade. La présence de membres de la famille est souhaitée.

– en communauté : la communauté de paroisses organise tous les 2 ou 3 ans une célébration communautaire à l’intention des personnes concernées, dans l’une des églises de la communauté.

Y a-t-il une préparation ?

Lorsque le sacrement est sollicité individuellement par la famille d’un malade, il est bon de recueillir l’accord de l’intéressé s’il est en état de le donner.
Il n’y a pas de rencontre préparatoire. Le sacrement est conféré dans le cadre d’une célébration de prière à la maison, en milieu hospitalier ou dans le cadre d’une messe à l’église.

Combien cela coûte-t-il ?

Il n’est rien demandé, mais il est possible de faire une offrande pour la paroisse ou tout autre bénéficiaire.

Funérailles

La célébration des funérailles à l’église est ouverte à tout baptisé catholique n’ayant pas demandé sa radiation de l’Église catholique. Cette célébration peut revêtir la forme :

– d’une eucharistie (messe avec communion). Celle-ci a toujours lieu dans une église. Elle est suivie d’un temps de prière au cimetière.
– d’une célébration de la Parole (sans communion). Elle est suivie d’un temps de prière au cimetière. Cette célébration peut se dérouler dans un centre funéraire.

En cas de crémation, les célébrations ont toujours lieu avant la crémation, sauf empêchement majeur. Comme pour l’inhumation, un temps de prière est possible lors de la dépose de l’urne au cimetière.

Pour les non-baptisés, un temps de prière est possible au cimetière ou au centre funéraire.

Comment faire la demande ?

– soit par l’intermédiaire des Pompes funèbres qui prendront contact avec le prêtre
– soit directement au prêtre
– soit à la personne relais de la paroisse

Quel jour célébrer les funérailles ?

Les jours ouvrables sauf :

– le lundi matin et le samedi après-midi
– le jeudi matin pour ce qui concerne Bollwiller
– les jours fériés
– le Samedi Saint

Y a-t-il une préparation ?

Oui. Une rencontre est à prévoir avec le prêtre.

Combien cela coûte-t-il ?

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LES EQUIPES

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L'Equipe d'animation pastorale

L’équipe d’animation pastorale est une équipe composée  de laïcs qui participent en étroite collaboration avec le curé de la paroisse à la mission de l’Eglise locale dans la fidélité aux orientations diocésaines.
Elle veille à la cohésion et au dynamisme de l’Église qui vit sur le territoire de la communauté de paroisses. Avec le curé elle décide, cordonne et met en œuvre les activités habituelles ou exceptionnelles de la paroisse.
Les membres de l’équipe d’animation pastorale travaillent ensemble dans une communion fraternelle et missionnaire. Ils consolident leur action dans  la prière, la parole de Dieu et les sacrements.  

Le Conseil pastoral

Le conseil pastoral un est groupe de réflexion au service de la communauté des chrétiens. Présidé par le curé, il examine les besoins de l’évangélisation sur le territoire de la paroisse et les moyens d’y répondre. De par la diversité de ses membres, le conseil pastoral reflète la vie de la communauté chrétienne. Avec pour soucis la qualité de vie évangélique de la paroisse, il propose des orientations, aide à murir les projets qui lui sont confiés et fait l’écho de la vie de la paroisse.

  • Il est « veilleur et éveilleur » pour la mission de l’Église. Et pour cela il est à l’écoute des attentes et des suggestions de toute personne pour contribuer à la cohésion de la communauté de paroisses.
  • Il rappelle la dimension universelle de l’Église et la dimension internationale de la réalité sociale en proposant des actions de solidarité.
  • Il se réunit chaque trimestre.

Les Conseils de fabrique

Les fabriques d’église sont régies par le décret du 30 décembre 1809 et sont des établissements publics du culte, dotés de la personnalité juridique de droit public.
Ces établissements sont chargés de veiller à l’entretien des édifices culturels et d’administrer les biens et revenus affectés à l’exercice du culte, en réglant les dépenses et en assurant les moyens d’y pourvoir.
La durée du mandat des conseillers est de six ans. Aucun membre ne pourra accomplir plus de trois mandats successifs.

Les Chorales

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GESTION MATERIELLE

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Conseils de fabrique

Gestion des paroisses

Les FABRIQUES d’ÉGLISE

Fabrique : du latin fabrica (métier d’artisan, action de travailler artistiquement, de façonner, atelier, forge)

Les fabriques d’église sont des établissements publics du culte dotés de la personnalité juridique de droit public, régis par un décret impérial du 30 décembre 1809 complété et modifié à diverses reprises, en dernier lieu par un décret du 10 janvier 2001. Les fabriques d’église d’Alsace-Moselle ont survécu à la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905 en raison de la nationalité allemande de ces provinces à l’époque.
Les fabriques d’église sont « chargées de veiller à l’entretien des édifices cultuels et d’administrer les biens et les revenus affectés à l’exercice du culte, en réglant les dépenses et en assurant les moyens d’y pourvoir ».
La fabrique d’église est administrée par un conseil qui se compose, dans les communes de moins de 5000 habitants, de 5 membres pris parmi les personnes catholiques et majeures domiciliées dans la paroisse. De plus, sont membres de droit le curé et le maire.

Nos CONSEILS de FABRIQUE

BOLLWILLER

Président : vacant
Trésorier : Jean-Louis BRENDER
Secrétaire : Michel WIGNO
Assesseurs : Bernadette BACK, Pierre DOUSSELIN, Patrick RISSER
Membres de droit : abbé Gabriel GIRROY, curé, Jean-Paul JULIEN, maire

FELDKIRCH

Président : Christian FRÉTAY
18 rue des Mines – 68540 FELDKIRCH
Tél. : 03.89.48.81.59 – Courriel : crfretay@free.fr
Trésorier : Jean-Marie STRUB
Secrétaire : Gérard HURSTEL
Assesseurs :  Anny EHRHART, Philippe HERRISÉ
Membres de droit : abbé Gabriel GIRROY, curé, Pierre SALZE, maire

PULVERSHEIM

Président : Christophe DIDELOT
7 allée des Merises – 68840 PULVERSHEIM
Tél. : 03.89.50.17.47 – Courriel : christophe.didelot68@orange.fr
Trésorier : Joël PETERSCHMITT
Secrétaire : Audrey MURÉ-GOSSEREZ
Assesseurs : François HIMMELSPACH, Hélène KINET
Membres de droit : abbé Gabriel GIRROY, curé, Christophe TORANELLI, maire

RAEDERSHEIM

Président : Jean-Marc SCHOENN
8 rue des Prés – 68190 RAEDERSHEIM
Tél. : 03.89.48.27.15 – Courriel : jm.schoenn@free.fr
Trésorier : Christian TOSCH
Secrétaire : Suzanne HERRSCHER
Assesseur : René SCHMITT
Membres de droit : abbé Gabriel GIRROY, curé, Jean-Pierre PELTIER, maire

UNGERSHEIM

Présidente : Michèle FRANZ
9 rue Georges-Brassens – 68190 UNGERSHEIM
Tél. : 03.89.48.25.98 – Courriel : michele.franz@orange.fr
Trésorier : Florette MOYSES
Secrétaire : Dominique BEUCHER
Assesseurs : Martine HASSENFORDER, Philippe MULLER
Membres de droit : abbé Gabriel GIRROY, curé, Jean-Claude MENSCH, maire

Mense curiale

Mense : du latin mensa, table (pour l’alimentation) – Curiale : qui se rapporte au curé, à la cure (presbytère)

À côté des fabriques d’église existe une mense curiale, établissement public du culte régi par un décret du 6 novembre 1813, article 1-15 et disposant à ce titre de la personnalité juridique. Initialement destinée à assurer les dépenses personnelles et pastorales du curé, ses fonctions actuelles sont décrites en fin d’article.

Il n’y a qu’une mense curiale par communauté de paroisses. Elle est placée sous la responsabilité du curé qui décide de l’emploi des fonds disponibles, en lien avec l’équipe d’animation pastorale. Mais les écritures et la présentation des comptes sont confiées à un trésorier, qui dispose de la signature sur les comptes bancaires.

La mense curiale n’est pas « la caisse du curé » ; elle reste donc attachée à la communauté de paroisses en cas de changement d’affectation de celui-ci. Sa comptabilité fait l’objet d’une présentation annuelle à l’équipe d’animation pastorale, au conseil pastoral ainsi qu’aux conseils de fabrique.

Ses ressources :

– les quêtes curiales (Noël, professions de foi, fêtes patronales, Assomption, Toussaint) ;
– les quêtes des mariages et enterrements (dont 20 % sont reversés à l’archevêché) ;
– les dons (qui donnent lieu à délivrance de reçus fiscaux) et les legs (défiscalisés).

Ses charges :

– les dépenses pastorales (formation des bénévoles et des agents pastoraux, documentation, information et communication, solidarité) ;
– les frais de déplacement des agents pastoraux ;
– la participation aux frais du presbytère siège de la communauté de paroisses ;
– la participation aux charges salariales d’une personne employée au presbytère ;
– la participation aux frais de la zone pastorale.

Offrandes de messe

Montants recommandés

Le montant et l’affectation des offrandes de messe obéissent aux règles édictées par l’archevêché. Il n’est pas possible d’y déroger, sauf évidemment en cas de difficulté financière.

* Intentions de messe (pour des défunts ou pour une autre intention) – 18 €, dont :
8 € pour la fabrique de l’église où la messe est célébrée
10 € pour le prêtre célébrant (qui reverse 2 € à l’archevêché à l’intention des prêtres de l’Intérieur)
* Mariages et enterrements – 150 €, dont :
75 € pour la fabrique de l’église où se déroule la célébration (dans notre communauté de paroisses, la fabrique reverse 19 € à la chorale paroissiale lorsqu’elle anime la célébration concernée)
35 € pour l’organiste
30 € pour l’archevêché
10 € pour le prêtre célébrant (qui reverse 2 € à l’archevêché à l’intention des prêtres de l’Intérieur)

Lorsque l’offrande dépasse les montants indiqués, le surplus est reversé à la paroisse concernée, sauf indication du destinataire.

Quêtes

Dès les débuts du christianisme, les communautés pratiquaient la collecte et le partage des biens. On en retrouve la trace dans le livre des Actes des Apôtres, chapitre 2 versets 42 à 45 et chapitre 4 versets 32 à 35. Les quêtes effectuées lors des différentes célébrations font partie intégrante de la liturgie et manifestent la solidarité des fidèles à l’égard de leur Église, de leur paroisse, des chrétiens en souffrance.

L’affectation des quêtes obéit aux règles édictées par l’archevêché. Il n’est pas possible d’y déroger.

Les quêtes sont habituellement destinées à la fabrique de l’église où se déroulent les célébrations. Toutefois, certaines quêtes sont affectées à la solidarité avec l’Église universelle ; elles sont dites « quêtes impérées » (1). D’autres sont destinées à la mense curiale ; elles sont dites « quêtes curiales » (2).

1. Les QUÊTES IMPÉRÉES

* Épiphanie, pour les Églises d’Afrique
* Grande quête diocésaine, en février, pour les diverses charges de notre archevêché (frais de personnel, entretien des bâtiments, etc.)
* 5e dimanche de Carême, au profit du CCFD – Terre solidaire (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement)
* Vendredi Saint, pour les chrétiens de Terre Sainte
* Pâques, pour le Saint-Siège (denier de saint Pierre)
* Dimanche de la communication, en mai, au profit du service de communication de notre diocèse
* Pentecôte, en soutien à l’apostolat des laïcs et à la catéchèse (formation des personnes intervenant dans ces domaines)
* Dimanche des missions, en octobre, en soutien à l’activité missionnaire de l’Église universelle
* Bon Pasteur, en novembre, au profit de la Caritas – Secours catholique
* Liturgie, musique et art sacrés, en décembre – 2/3 sont destinés aux paroisses, 1/3 à l’archevêché, pour la prise en charge des frais (formation, partitions, etc.) engagés par et pour les acteurs liturgiques : service diocésain, chorales, fleuristes, sacristains, servants d’autel
* Pax Christi, tous les 3 ans en décembre, en soutien au service du même nom qui œuvre pour la paix dans le monde

Par ailleurs, les offrandes déposées à Noël dans les troncs près des crèches sont destinées à la Sainte Enfance (enfants des pays de mission) et reversées à l’archevêché.

2. Les QUÊTES CURIALES

Il s’agit :

* des quêtes des mariages et enterrements, dont 20 % sont reversés à l’archevêché. Les enveloppes déposées dans les corbeilles sans indication de destinataire sont réputées destinées au prêtre célébrant ;
* des quêtes effectuées aux fêtes suivantes : Noël, professions de foi, fêtes patronales, Assomption, Toussaint.

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15 rue de la gare – 68540 Bollwiller
Tel. 03 89 48 10 49

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