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Chemins d’Art Sacré 2017

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« 20 ans d’Art Contemporain
dans les églises ! »

Du 30 juin au 16 octobre 2017

Vingt ans de rencontres !
Vingt ans de grâces et de beautés… Et ?…
…Vis chaque instant comme une aube !…

Confiance et bonne route !…

Bertrand Schlund – bertrand.schlund@sfr.fr – 06 87 71 28 88

Comment célébrer vingt ans de rencontres, vingt ans de patience, d’efforts et de grâces ?

En se souhaitant peut-être toujours du bien ! Que ce vingtième chemin d’art sacré, soit un temps de reconnaissances et de remerciements pour tous ceux qui lui ont permis de se faire, de se creuser !

Merci à celui qui en fut le fondateur, le père Charles Singer, merci aux soutiens fidèles du diocèse, à ses représentants, merci à tous ceux, qui de près ou de loin, chaque année, y oeuvrent, y peinent en donnant le meilleur d’eux-mêmes !

Ce que l’on considère comme beau résulte souvent d’un contexte socioculturel, d’une éducation ou d’une esthétique donnée. Pour qui n’a qu’une paire de lunettes…, le beau se limitera …Apprendre à relativiser son mode de voir, à sortir du cadre des idées toutes faites, apprendre à se laisser surprendre… that is the question !… une vraie rencontre ce peut être quelque chose de fulgurant (comme si vous changiez brutalement de lunettes) ou progressif, voire lent comme l’apprentissage du Petit Prince et du renard, mais au final … on voit toujours mieux !…

…/…

Élargir son regard, comme c’est enrichissant ! Ce chemin vous invite à le faire en vous inscrivant dans la réalité de dix lieux bien visibles, témoins d’histoires architecturales très anciennes. Ils sont tous chargés de mémoires, témoins de la vie de communautés et de paroisses réelles. Ils accueillent et nous ouvrent à la vision personnelle de dix artistes, à l’écoute de leur intérieur, au service d’une Parole de toujours… Chaque artiste a choisi sa thématique. Il rencontre son public aux travers de permanences ponctuelles (voir indications dans les églises et les bulletins des paroisses), au travers de visites commentées, de rencontres, conférences, concerts, ateliers et d’animations variées.

L’artiste réussit à nous relier les uns aux autres dans une communauté émotionnelle… cela fait parfois peur aux « dictatures qui tuent les artistes parce que l’émotion est une arme pacifique qui permet l’expression de la liberté » (Julien Cottereau). Si l’on meurt de ne pas se dire … les artistes eux, osent … Puissions-nous à leur instar, communiquer et transformer le monde en faisant de chaque moment, des instants de grâce ! Apprenons donc à parler avec grâce, à marcher, à lire, à découvrir, à visiter avec grâce… Prions, Vivons enfin avec grâce, et faisons de nos vies des chemins de grâces ! …

Merci à eux !

…/…

  • Dominique Péry à Wissembourg matérialise la Rencontre en son absolu au travers de son expression ultime, la Communion…
  • Bernard Jung à Haguenau, partage avec douceur et poésie, l’intime beauté de rencontres éponymes de la Bible.
  • Young Hee Hong à St-Jean-Saverne, renvoie au silence conscient, à l’instant magique, au moment ultime où la conscience s’incarne dans la pauvreté infime d’un point…
  • Un nouveau magnifique lieu d’accueil s’ouvre à Niederhaslach ! Joseph Kriegel y fait surgir des visages d’hommes « reçus-donnés » comme autant de regards d’amour qui nous espèrent…
  • Une soeur bien étonnante vous attend à Rosheim ! Sr Marie-François Lin en bonne contemplative s’émerveille de la rencontre avec l’infi ni de Dieu… Cette voyageuse intersidérale propulse tout « regardeur » dans un monde d’intensités incroyables… à voir !
  • Véronique Moser à Ribeauvillé, interroge : quelles traces laissons-nous de nos existences ? Quelle est la nature de ce tombeau vide ? La société ne manquerait-elle pas de manques ?…

…/…

  • Drôle et profonde, Noémie Chevaux à Sigolsheim, parle de remèdes pour nous révéler que le baume le plus puissant serait la révélation de notre propre richesse… à consommer sans modération…
  • Elisabeth Bourdon, à Lautenbach, nous plonge dans l’abstraction du Dieu Trine. Le mystère des trois personnes s’orchestre en couleurs savamment immergées toutes rayonnantes d’une Présence agissante…
  • Reposante et solitaire, posée dans son écrin de verdure, l’abbatiale de Murbach accueille les paysages doux et secrets de Beata Sawicka. Empreints de délicate nostalgie, ce sont des hymnes à la nature, qui invitent à l’évocation retenue du temps qui passe, à des rencontres contemplatives, ou à des échanges délicats de verdure et de poésie.
  • A Feldbach, les peintures de Laurence Wessang-Reeb entrent en résonnance avec l’humblement grande église St Jacques. Là tout n’est que bains de lumière et d’Esprit, tout renvoie à la beauté d’un Dieu exhalant à la fois une infi nie grandeur, et une infinie douceur…

Bon Anniversaire petit chemin d’Art sacré, témoin de tant d’actes de foi qui transcendent sans cesse les apparences ! Toi petit chemin de sagesse et de liberté, qui sait que l’artiste sage, est celui qui, se libérant, libère l’autre… toi qui sait qu’aimer c’est révéler un être à lui-même !…

Bonne route à vous ! Pleine de Grâces et de beautés !

Le 20e « Chemin d’art Sacré en Alsace », initiative de l’Église catholique en Alsace, est organisé par l’Archevêché de Strasbourg. Il est soutenu par les communautés paroissiales et les municipalités qui accueillent les différentes expositions.

Expositions ouvertes au public tous les jours
du 30 juin au 16 octobre de 9 h à 18 h – Entrée Libre.

Manifestations placées sous le patronage de Mgr Luc RAVEL, Archevêque de Strasbourg.

Finissage le samedi 21 octobre à 17h à l’église Sts Pierre et Paul de Rosheim

feldbachÉglise St Jacques

Située près d’un monastère de bénédictines maintenant disparu, l’église Saint-Jacques date du XIIe siècle. La pureté des lignes de la construction fait naître un sentiment d’harmonie et de sérénité. Ici, rien de superflu. Le visiteur est invité à un dépouillement intérieur et à un retour sur soi. La lumière jouant sur les murs de pierres claires amène à la paix intérieure.

LAURENCE WESSANG-REEB
« Lumière, source de vie »

« Je lève mes yeux vers les montagnes… »
Psaume 121, 1

L'exposition

« Mes visites de préparation à cette exposition dans l’église Saint-Jacques de Feldbach m’ont fait ressentir un lieu d’une grande quiétude. Sa lumière diffuse met en valeur les pierres, et tout reflète la force divine.

Ces pierres me ramènent aussi à mes tableaux que je vois comme éléments de construction. Suis-je pour autant créateur de mes propres univers ?…

Depuis mon enfance, je suis contemplative de la nature, consciente de la puissance divine : il n’y a qu’un seul Créateur, je ne suis que récepteur de Sa création. Ma mémoire est emplie de paysages, de couleurs, de lumières, de sensations qui rejaillissent aujourd’hui dans mes toiles à travers mes émotions, par leur approche abstraite. »

Biographie

Née dans le village Le Bonhomme situé sur le versant alsacien du massif vosgien, Laurence passe son enfance au sein de la nature, entourée de vastes espaces où les sentiers de montagne sont un  royaume inégalable pour s’épanouir.

Ces paysages sont une source infinie d’inspiration et le dessin est déjà présent dans sa vie.

A l’adolescence, sa rencontre avec M. Ambroselli, artiste-peintre et sculpteur, la guide vers une évolution artistique : sous sa direction, elle participe à la restauration des ex-voto de la chapelle Saints-Félix-et-Régule de Kientzheim.

Elle rejoint ensuite l’école des Beaux-Arts de Mulhouse.

Expositions : Mulhouse, Strasbourg, Colmar, Paris, Cannes, Niederroedern, Nancy, Rouen, Toulouse, Saint-Louis, Boston, Saint-Paul-de-Vence, etc…

Dimanche 24 septembre à 17h30 : Concert par le choeur madrigal Eclats de Voix de Strasbourg, dirigé par Hubert Dennefeld.
Église Saint-Jacques le Majeur – Feldbach

Nature et nombre d'oeuvres

10 peintures acryliques sur toile, format 1,16 m x 0,89 m et un ensemble de toiles de formats variés

Contact


http://laurencereeb.free.fr
laurencereeb@free.fr
Tél. : 03 69 19 71 47

Église St Georges de Haguenau

L’église fut construite au XIIe siècle, puis agrandie à partir de 1371. C’est la nef majestueuse qui surprend d’emblée le visiteur. Le plafond en bois fut remplacé en 1611 par la remarquable voûte réticulée actuelle. Le choeur gothique, contemporain de la cathédrale de Strasbourg, est un modèle d’élégance et de légèreté. Une custode de 1523 est un véritable joyau de pierre, ciselé en dentelles. Les vitraux lumineux dus à Jacques Le Chevalier sont posés entre 1956 et 1969. Dans le transept sud, volets peints de 1496. Dans le transept nord, retable du XVe siècle. Les deux plus grandes cloches sont les cloches les plus anciennes en service en Europe (1268).

BERNARD JUNG
« Rencontrer ou l’Art d’aimer »

« Le ciel et la terre passeront mais mes paroles
ne passeront point… »
Marc 13, 31 ; Matthieu 24,35 ; Luc 21,33

L'exposition

L’âme, c’est l’abstrait, le souffle, le ciel. Le corps, c’est l’argile, la terre. L’un ne va pas sans l’autre, c’est notre condition d’homme… Si la vie est faite de découvertes, de rencontres, qui ose la Vraie Rencontre ?…

Celle qui se fait d’abord avec nous-mêmes ?… Et puis avec l’Autre… Si la première est celle de notre âme et de notre corps, du ciel et de la terre, elle reste mystérieuse… car nous sommes faits de  clartés et d’ombres, à la fois finis et infinis…

La Vraie Rencontre est, comme donnée, elle est « grâce »… Pour illustrer concrètement cette alchimie de la Rencontre, je mélange l’abstrait et le figuratif pour aller au coeur de ce qui conditionne toutes les rencontres, que ce soit celle de son conjoint, de l’étranger, de la maladie, de la souffrance, de la vieillesse, de la mort ou de la Vie, il y a juste à réaliser « l’acceptation de ce qui est… ».

Mes tableaux sont des rencontres en soi… ils cherchent humblement à rendre un témoignage à la VIE. Ils représentent beaucoup et un peu… c’est comme le dit Bobin à la fois « Le bout du monde et le  fond du jardin, ils contiennent la même quantité de merveilles »…

Biographie

« Je suis né à Saletio (Seltz) en 1932. Après une scolarité en Allemand, pendant la guerre, j’ai suivi les cours du petit séminaire de Walbourg. »

Bernard Jung obtient après six années d’études aux Arts Décoratifs de Strasbourg, son diplôme « d’Ébénisterie et Sculpture », ainsi qu’un Brevet de Maîtrise « Ébénisterie » délivré par la Chambre des Métiers d’Alsace. Il effectue alors son service militaire à Paris. Il y rencontre sa future femme et travaillera alors dans une grande maison d’architecture et de décoration intérieure (Maison Jansen). De  retour en Alsace, il est professeur d’arts plastiques au Séminaire de Walbourg durant 10 ans.

Suite au concours de recrutement de professeur, il obtient le poste de l’Atelier « bois et architecture intérieure » à l’école des Arts Décoratifs de Strasbourg (1978 – 1997). Tant dans son travail que dans ses responsabilités dans des associations comme celle de la Maison des Métiers d’Arts Français, c’est toujours la même quête du beau et du vrai qui habite le coeur de Bernard Jung. Parallèlement à son métier d’enseignant, il participe à de nombreuses expositions à Paris, Colmar, Strasbourg, Seltz, ainsi qu’aux Vendémiaires à Saint-Martin de Trévieux, à Reg’Art, ou encore à L’ombre des Dinosaures à Schiltigheim.

Dimanche 24 septembre à 16h. Conte musical tout public, église St-Georges de Haguenau. « Les aventures de Trafalgar » : la marche des sapins, le secret de la gargouille, avec Isabelle LOEFFLER, conteuse polyinstrumentiste et Roland ENGEL à l’accordéon.
Entrée libre, plateau
Contact : isabelle.loeffler@laposte.net

Nature et nombre d'oeuvres

15 peintures de formats divers

Contact


bernard.jch@estvideo.fr
google : bernard jung
06 59 87 55 62 / 03 88 56 96 83

Collégiale St Michel

Au VIIIe siècle, dix-huit moines venus du couvent de Honau, une île située sur le Rhin, se sont installés à Lautenbach pour y fonder un monastère. La construction d’une première église en pierre, date de 811. Comment ne pas être saisi, en particulier, devant le porche du XIIe siècle, avec ses ogives et ses doubleaux reposant sur de minces supports ? Il ne faudrait en aucun cas manquer d’admirer le mobilier baroque intérieur, les boiseries, en particulier la chaire, installé par les moines au XVIIIe siècle.

ELISABETH BOURDON
« La Trinité : Dialogue-Présence »

« En effet, tous ceux qui se laissent conduire
par l’Esprit de Dieu, ceux-là sont fi ls de Dieu. »
Lettre de Saint Paul aux Romains 8, 14

L'exposition

Chacun de mes tableaux est une proposition d’univers colorés. Un dialogue s’installe grâce aux jeux infinis des combinaisons de couleurs. La contrainte du carré me libère et me permet d’entrer en peinture. Il est un moyen de composer, de superposer, de juxtaposer des formes colorées pour créer un espace sans cesse renouvelé. Je réinterroge couche après couche l’espace proposé et décline rythmes et couleurs au gré de l’avancement du tableau. Je commence par un « fond » dont je masque les couleurs, couche après couche. Elles deviennent quasiment invisibles mais vont finir par sourdre de façon aléatoire. Je souhaite rendre visible cette présence et donner vie à cet Invisible.

Je cherche à faire rayonner et communier les espaces colorés pour que les couleurs renvoient l’une à l’autre, reliées, tout en étant différentes, comme le sont les trois personnes de la Trinité (Père, Fils et Esprit Saint), qui sont à la fois présentes, individuées et Une… dans un au-delà qui nous échappe. Je crée quant à moi une harmonie de couleurs qui se fondent, se baignent et s’immergent, entrant en  résonance dans un espace qui advient.

Accepter l’idée même de la Trinité ne se fait pas facilement et demande de reconnaître qu’il existe quelque chose derrière les apparences : une présence agissante. Pour entrer dans mon travail, il faut regarder sans a priori pour que le tableau « surgisse » en miroir de celui qui regarde : il faut accepter de se laisser embarquer, accepter de lâcher prise… pour passer de l’autre côté du tableau. La collégiale est un lieu de paix, générée par l’équilibre des volumes, de la lumière et de l’ombre : mon travail cherche à célébrer ces mêmes valeurs de convergences et de différences.

Biographie

« Après cinq ans d’étude à l’école des Beaux-Arts de Nancy et l’obtention du Diplôme National de gravure en 1975, j’ai passé six ans en Afrique où j’ai travaillé en tant qu’enseignante. Lors de mon retour en France, je me suis inscrite à la faculté de Strasbourg pour présenter le Capes. Parallèlement à ma carrière d’enseignante, j’ai mené une vie de famille et une vie de création. »

Elisabeth Bourdon a exposé dans des galeries à Nancy en 1975 et à Metz en 1976. Son travail a ensuite été exposé au Musée des Beaux-Arts de Mulhouse en 2011. Elle collabore également à des expositions collectives : à la Biennale d’Epinal, au CRAC d’Altkirch, à Colmar, à l’UHA de Mulhouse, à Lostdorf en Suisse ainsi qu’à Art3F.

Nature et nombre d'oeuvres

10 oeuvres de formats divers

Contact


elisabeth.bourdon@hotmail.fr
Tél. : 06 48 30 53 37

Église St Léger

Fondée par Saint Pirmin en 721, l’abbaye bénédictine de Murbach est un des hauts-lieux de l’art roman en France. Le choeur, les tours orientales et le transept, conformes à la tradition de construction du Rhin supérieur, et qui seuls demeurent, témoignent aujourd’hui de son ancienne splendeur. Ici, le calme est au rendez-vous. Sans doute parce que chacun, tout en se sentant enraciné solidement dans la terre, se sent élevé vers les réalités spirituelles.

BEATA SAWICKA
« Que la beauté soit ! »

« Tous les oiseaux du ciel nichaient dans ses
rameaux… Il était beau par sa grandeur,
par l’ampleur de son branchage… »
Livre d’Ezéchiel 31, 6-7

L'exposition

« Lorsque je travaille les paysages, je suis attentive à la Présence de « Dieu Créateur ». Je suis face à la Nature comme face à la Création. C’est à la fois l’instant T de l’émerveillement et la recherche d’un paradis perdu. Je contemple le Mystère, celui du cycle de la nature qui fait qu’un endroit est le même sans être tout à fait le même ; celui d’un chemin qui va quelque part, qui se perd dans l’infini ; un chemin vers Dieu ?…

L’acte de peindre est pour moi une louange à Dieu. Je rends grâce pour le don gratuit des saisons. J’essaie d’exprimer la joie de mon appartenance à l’univers. Je cherche à transmettre au travers de mes paysages, l’authenticité d’une présence immanente de Dieu…

J’aime la figure de l’arbre, qui représente ma relation personnelle avec Dieu. J’aime sa force vitale, son énergie en élévation. Comme lui, je suis ancrée dans le monde, je change au fi l des saisons, mais dans l’intime de l’arbre il y a un appel et ses branches se dressent vers le ciel, vers quoi ? …

Mon travail d’artiste est tout d’abord un travail de contemplation, c’est ensuite un travail d’observation. Un détail peut mener à l’abstraction et les taches « réassemblées » former alors à nouveau, un paysage, un arbre, un lieu… »

Biographie

Beata Sawicka étudie l’art à Rouen puis à Gdansk. Elle obtient en 1985 sa maîtrise en Illustration et Design du livre, à l’Académie des Beaux-Arts de Varsovie, sa ville natale. Elle collabore et travaille avec des périodiques et des maisons d’éditions. Elle réalise de nombreuses illustrations et aquarelles, ainsi qu’un chemin de croix en linogravure, après son installation à Strasbourg en 1996.

Engagée au Club des Arts du Conseil de l’Europe elle y expose et participe à l’organisation d’expositions internationales. D’autres expositions se tiennent à l‘Institution Notre-Dame de Sion, à l’église Notre-Dame de Lourdes, à Saint-Florent (chapelle de Jésus Miséricordieux), à la « Cour Hélène de Beauvoir » à Goxwiller et à Dammarie-les-Lys.

Elle a également participé à des expositions collectives à Strasbourg, Varsovie, New York et Paris.

Depuis 2008, elle se consacre à la peinture à l’huile et au thème du « paysage ».

Nature et nombre d'oeuvres

Environ 20 huiles sur toile, dessins

Contact


beatka.sawicka@gmail.com
06 82 32 66 19 / 03 88 56 27 73

JOSEPH KRIEGEL
« Visages d’hommes, visage de Dieu »

« Et nous tous qui n’avons pas de voile sur le visage,
nous reflétons la gloire du Seigneur, et nous sommes
transformés en son image avec une gloire de plus en
plus grande, par l’action du Seigneur qui est Esprit. »
Deuxième lettre de Saint Paul aux Corinthiens 3, 18

niederhaslachÉglise St-Jean-Baptiste / Collégiale St-Florent

La collégiale Saint-Jean-Baptiste est l’un des bâtiments sacrés les plus représentatifs de l’architecture gothique du Bas-Rhin en dehors de Strasbourg. Haut lieu de pèlerinage depuis 810, elle abrite les reliques de Saint Florent, 7ème évêque de Strasbourg. Classée monument historique, l’église fut construite de 1274 à 1385 à l’emplacement d’une autre. Le chapitre des chanoines, créé au XIIe siècle, en remplacement de l’abbaye Bénédictine d’origine, est resté en place jusqu’à la révolution. Le village est parsemé de maisons  canoniales. Célèbre aussi pour ses vitraux (XIIIe-XIVe), l’abside s’illumine au soleil levant à la St Jean-Baptiste (24 juin).

L'exposition

Dans ma peinture on relèvera essentiellement le souci permanent de retrouver la matière « terre », celle d’où je viens et où je retournerai un jour. D’où une dominante de couleurs terres-ocres- bruns-rouilles…

Mon travail présente une série de Visages d’hommes comme autant de visages de Dieu peut-être… car que sommes-nous donc ?… Qui sommes-nous si nous ne sommes pas visage de Dieu ?… “Sois ce que tu es !” disent les Hindous.

Faire de ma peinture, et même de ma vie, une liturgie intérieure, tel est l’ambitieux et difficile but !

Toucher le coeur du spectateur, avoir toujours en mémoire que je ne suis que « passant », cela aide à relativiser. Ma peinture essaie donc d’amener à cet abandon et cette confiance en la « Grande Vie », celle qui coule en chacun de nous et ainsi “à rendre visible, l’invisible” (Paul Klee).

Biographie

Originaire du Pays de Bitche, je suis diplômé de l’école des « Arts Décos » de Strasbourg. Mes maîtres, tels Camille Claus, François Cacheux ou Fred Tinsel, m’ont appris à faire taire mes impatiences, à être exigeant dans mon travail, à être discipliné et créatif. Ont suivi 35 ans de professorat, en dessin d’abord, puis en arts plastiques. Travailler avec les jeunes est une expérience décapante et belle.

Peindre est un acte de liberté intérieure. Ne dépendre de rien, de personne, n’appartenir à aucune école, c’est cela Etre soi-même. Peindre c’est avoir la passion de l’Inconnu.

« Ce que je sais, c’est que je ne sais rien » disait avec humilité Socrate. Cela veut dire qu’il convient de se laisser guider et d’aller à l’essentiel. La technique est peut être secondaire, elle vient en son temps, avec le travail et le mûrissement nécessaires. Pratique et persévérance sont ses acolytes.

Parmi mes expositions, il en est une assez remarquable qui reste visible : le « Calendrier Universel de la Fraternité et de la Paix ».

Elle correspond à un ensemble de 365 portraits sculptés dans la pierre, représentant des hommes et des femmes ayant oeuvré à la construction d’un monde pacifique et fraternel. On y côtoie ainsi Jésus, Nelson Mandela, Mère Teresa, Charlie Chaplin, Malraux et tant d’autres.

Ce calendrier si particulier, qui m’a coûté vingt ans de travail, se visite à Schorbach, près de Bitche en s’informant soit à la mairie de Schorbach soit à l’Office de tourisme du Pays de Bitche.

Nature et nombre d'oeuvres

Entre 15 et 20 portraits de 0,80 m à 1,20 m

Contact


jokriegel@yahoo.fr

03 87 63 97 01 / 06 81 04 94 52

Église St Grégoire le Grand

Construite à partir de 1282, l’église gothique Saint-Grégoire est constituée d’une seule nef. Elle est dédiée dès 1359 à Saint-Grégoire le Grand. Achevée en 1473, elle est profondément transformée en 1876. Entre autres trésors, l’église conserve une belle Vierge à l’Enfant sur le tympan en arc brisé. Des statues en grès des Vosges, du Christ et de ses disciples au Mont des Oliviers forment un ensemble remarquable. Le tout est complété par un beau Christ au tombeau datant du XVe siècle. La famille des Ribeauvillé protectrice des ménétriers se faisait inhumer dans cette église.

VÉRONIQUE MOSER
« Entre deux »

« Mets ta main dans mon côté »
Évangile selon Saint Jean 20, 27

L'exposition

« Entre deux », présentée en l’église St Grégoire, est pensée comme une installation en résonance avec le lieu… Il s’agit d’images qui se situent au croisement du dessin, de la photographie, de la  peinture, entre négatif et positif entre plat et relief, entre compréhension et incompréhension de celui qui regarde et qui se demande : qu’est ce que c’est ? : « Tu crois parce que tu m’as vu… Bienheureux ceux qui croient sans avoir vu » dit Jean (ch20, 24-29) : cette apparition à Thomas est tout à fait intéressante…

Dans le travail présenté, la « notion d’indice » est essentielle car tout n’est pas donné immédiatement. En s’inscrivant dans cette reconstitution du Jardin des Oliviers, l’artiste cherche à se connecter au Christ qu’il situe entre ombre et lumière, « entre deux », ni dans ci, ni dans ça… à la lisière… : Thomas croit en la trace, il a besoin de preuves, de concret. Aujourd’hui, ne cherchons-nous pas nous aussi la même assurance de choses palpables, concrètes ? A-t-on besoin de preuves pour exister… ? « Nous ne sommes plus capables d’affronter la maîtrise symbolique de l’absence, c’est sans doute pour cela que nous sommes aujourd’hui plongés dans l’illusion désenchantée de la profusion, donnée par la prolifération des écrans et des images… » (Baudrillard « Le Crime parfait », 1993, p.9).

L’artiste est là pour poser des questions et non pour donner des réponses…

Biographie

Véronique Moser, artiste plasticienne, vit et travaille à Strasbourg. Elle est diplômée de l’Ecole des Arts Décoratifs (Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique, option Design) et est titulaire d’une licence d’arts plastiques. La méthode de travail de Véronique Moser consiste à créer des séries ou des modules et à les décliner : moulages, monotypes, tampons, photographies…

Dans ses propositions plastiques, l’unique n’existe pas ; tout fonctionne par séries ou en nombre. Elle ne privilégie aucune technique, mais utilise et adapte divers procédés : dessin, canivet, collection, installation…

Dans notre société tout est sujet à la prolifération des informations, des objets, des statistiques. Tout dans notre quotidien est présenté comme « pluriel » et sensationnel… nous amassons, nous  accumulons, nous collectionnons, nous thésaurisons pour finalement jeter…

Cette multiplication, « muraille » matérielle et immatérielle, nous rend paradoxalement fragiles. Le travail de l’artiste se nourrit de cette contradiction et qu’il la métamorphose en ambiance pleine de mystères et de poésies.

Depuis une dizaine d’années, sa recherche plastique se resserre principalement autour d’un geste originel et emblématique : l’Empreinte. Celle-ci, humble et fragile, devient le miroir de nos incohérences contemporaines. »

Nature et nombre d'oeuvres

4 panneaux 0,80 m x 1,60 m et 2 panneaux 2 m x 1,50 m

Contact


veromoser.atelier@free.fr
veroniquemoser.blogspot.com
Tél. : 06 13 67 82 65

Église Sts Pierre et Paul

L’église Saints-Pierre et Paul est un joyau de l’art roman en Alsace. Dans ce sanctuaire du XIIe siècle, comment ne pas admirer les proportions harmonieuses, la richesse de son décor sans surcharge, le subtil décor de bandes lombardes sur la façade, les sculptures sur la toiture ? Point de repère de la maturité de l’art roman en Alsace, l’église a su allier les traditions architecturales de la vallée du Rhin et des éléments d’influence extérieure, venus d’Italie, de Lorraine et de Bourgogne.

Sr MARIE-FRANÇOIS LIN
« Refl ets de la Création »

« Que tes oeuvres sont nombreuses, Seigneur !
Toutes avec sagesse tu les fi s, la terre est remplie
de ta richesse. »
Psaume 104, 24

L'exposition

Sr Marie-François est en quête du Beau Infini. Elle veille toujours à refléter « l’Invisible » de la Création du Très-Haut. Cette exposition a été conçue en écho à la lettre encyclique du Pape François : Laudato si.

Sr Marie-François Lin s’inspire de la nature et de toute la richesse du monde ! De l’infiniment petit à l’infiniment grand, tout l’étonne et l’émerveille !… Son travail pictural se conçoit comme des partitions musicales, reflets de l’harmonie de la Création. A l’instar des deux François, dont elle partage le prénom de consacrée, elle a souci non seulement de la Terre, maison commune de tous les hommes, mais aussi celui d’un amour authentique des pauvres.

« Le vent souffle où il veut !… » Visiteur ! Hisse les voiles ! Laisse toi conduire par la lumière des profondeurs d’horizons lointains, là où commence la perspective immense de l’Espérance.

Quand la contemplation laissera entendre « la voix du silence », alors la Révélation se fait… et la présence du Créateur se dévoile !…

Biographie

Née à Taïwan sous l’Occupation japonaise, Sr Marie-François déborde dès son plus jeune âge, de talents multiples maniant avec autant de dextérité l’archet que les pinceaux. La plus grande rigueur est de mise dans sa famille et dans la formation artistique classique qu’elle reçoit de ses professeurs chinois. Cela l’amène à une maîtrise peu commune de la calligraphie, du dessin au fusain, ou encore de la peinture à l’encre de Chine.

Sr Marie-François Lin réside en France depuis plus de cinquante ans dans le couvent de « La Solitude » à Grand Bourg en région parisienne. Elle y a prononcé ses voeux perpétuels dans la branche contemplative de la Congrégation de Notre-Dame de Sion. Sr Marie-François chemine dans l’espace et le temps, entre les cultures, pour nous conduire au final à des abstractions aussi originales qu’étonnantes.

Capable de réaliser des portraits au fusain, des panneaux calligraphiés, elle développe des « mondes » de cosmogonies multipliés à l’infini où se mêle à l’envie, lumières, feux, étincelles, volcans,  cascades, rivières souterraines, sources, bulles, gouttes perlées, voiles, souffles, vents violents, cavités, alvéoles, entrailles, abîmes, ténèbres. Un tel « imaginaire » témoigne d’une force impressionnante qui nous fait plonger dans des jaillissements de couleurs, de nuances, de contrastes ou au contraire nous fait planer de façon vertigineuse dans d’immenses décors foisonnant de vie. Il s’agit de se laisser  guider vers ces mondes invisibles pour entrer dans celui de la contemplation de la beauté de la Création et de la VIE…

Nature et nombre d'oeuvres

Ensemble de peintures à la gouache, de dessins au fusain et de croix en bois peintes à l’huile

Contact


sbathilde.nds@wanadoo.fr
06 74 14 94 93 / 03 88 35 45 47

Église Sts Pierre et Paul

Une première église fut édifiée à Sigolsheim dès 888 par sainte Richarde. Plantée dans un environnement de vignobles, l’église actuelle a été achevée à la fi n du XIIe siècle. Ayant subi d’importants dommages entre 1939-1945, elle a été magnifiquement restaurée. A l’intérieur, les couleurs des vitraux jouant sur les murs sont une invitation à la prière. Et comment, à l’extérieur, ne pas être saisi d’étonnement devant l’imposante façade de grès rose où les sculptures du tympan montrent le Christ accueillant les visiteurs à bras ouverts ?

NOÉMIE CHEVAUX
« Les Voies (voix) de la guérison ? »

« D’une parole, il expulsa les esprits et,
tous ceux qui étaient atteints d’un mal, il les guérit. »
Évangile selon Saint Matthieu 8, 16-17

L'exposition

Entendre ce que notre corps nous dit, prendre le temps de l’écouter… Si le médicament est souvent une solution de facilité qui se fixe sur un symptôme il ne guérit pas toujours la cause profonde… Le  problème n’est parfois que déplacé et les effets secondaires pires que le mal. Le bon sens, le jugement personnel et la patience sont oubliés…

Le recours immédiat à un médicament magique est devenu systématique dans notre société où tout est urgence, zapping, sciences exactes. La vraie solution est peut être de s’ouvrir à différentes sortes de paroles et de voir celle qui résonnera le plus en nous, de suivre son coeur et son instinct sans avoir peur de l’inconnu ou de fouler de nouveaux chemins…

J’aime explorer la mystérieuse machinerie du corps humain. Je joue avec les matières, je détourne de leurs fonctions les médicaments sacrés… Je révèle des arabesques d’énergies, des lignes d’éclats lumineux qui sont autant de sources de vie, de chemins possibles. Mes « opérations » artistiques vous parleront-elles ? Vous ouvriront-elles des voies ?… la vie est un labyrinthe : je ne fais qu’y suivre mon fi l d’Ariane…

et vous laisse vous y accrocher…

Biographie

Noémie, artiste plasticienne, est la fille du peintre Jacky Chevaux. Elle a exposé à Strasbourg (à la Bibliothèque des Arts, au GSA, à la Galerie ou l’Atelier Horéa), ainsi qu’à Mulhouse (Crédit Mutuel, Salon Art3F, galerie la Boulangerie, Marché des Arts, etc.).

Noémie est issue du Conservatoire d’art dramatique de Mulhouse et de Strasbourg (premiers prix) a fait des études d’histoire de l’Art à Strasbourg et est auteur et éditeur d’un livre d’art sur l’oeuvre de Jacky Chevaux. Elle a été commissaire d’expositions à Mulhouse (Musée des Beaux-Arts), Strasbourg (Maison Kammerzell), et Saint-Louis (Hôtel de Ville).

Dimanche 16 juillet à 17h. Conte musical tout public, église Sts-Pierre et Paul de Sigolsheim. « Les aventures de Trafalgar » : la marche des sapins, le secret de la gargouille, avec Isabelle LOEFFLER, conteuse polyinstrumentiste et Roland ENGEL à l’accordéon.
Entrée libre, plateau – Contact : isabelle.loeffler@laposte.net

Nature et nombre d'oeuvres

Dix oeuvres de formats divers

Contact


www.noemie-chevaux.com
contact@noemie-chevaux.com
Tél. : 06 32 35 38 29

Église St Jean-Baptiste

Fondée au XIIe siècle, l’église Saint-Jean-Baptiste est un modèle de l’art roman, évoquant tout ensemble la solidité, la légèreté et l’aspiration vers les réalités d’en-haut. Celui qui prend le temps d’en faire le tour en la contemplant de l’extérieur sera saisi par la lumière jouant ses nuances sur le grès et dégageant une indéniable impression d’apaisement. De plan basilical sans transept, l’église présente une nef constituée de quatre travées principales couvertes par des voûtes d’ogives. Les vitraux contemporains sont une invitation au silence de la prière.

YOUNG HEE HONG
« Un point c’est tout »

« Le Royaume des Cieux est comparable
à un grain de moutarde »
Évangile selon Saint Matthieu 13,31

L'exposition

« …Young Hee Hong nous invite à une mise au point… c’est le moins que l’on puisse dire… Elle nous incite à examiner avec attention, à relativiser, à évaluer… en faisant appel à un mélange exceptionnel de concentration et de conscience…

Point après point, goutte après goutte, toutes ces « galaxies de points » semblent exprimer comme l’infini recul d’un mélancolique instant de création, « sublimant » l’espace des oeuvres… Chaque goutte de peinture, est l’expression tout à la fois d’un monde en soi et d’un instant précis, elle renvoie au point suivant pour former par une sorte de magie : « l’incarnation plastique du temps », qui, à la fois s’écoule et demeure en une sorte d’absolu sans autre catégorie que lui-même »… comme l’a évoqué finement, Claude Rossignol, historien et critique d’art.

Biographie

L’artiste plasticienne, Young Hee Hong, est née en Corée du sud en 1963. Elle arrive en France en 1991 où elle vit et travaille, entre Paris et Strasbourg.

Suite à sa formation artistique initiale à l’université féminine de Sung-Shin (Séoul), elle obtient son diplôme de l’Ecole supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg en 1995. Elle achève en 2004 un cursus de recherche théorique par un doctorat en Arts Plastiques intitulé : « Jeu entre deux forces antagonistes comme principe de création » (Université M. Bloch, Strasbourg).

Nombreuses expositions personnelles et collectives, plusieurs « résidences artistiques » en France, en Allemagne, en Suisse et en Corée du Sud bien sûr …

Nature et nombre d'oeuvres

8 oeuvres de formats divers

Contact


sanayhong@gmail.com
http://yhhong.free.fr
Tél. : 06 33 70 32 63

Abbatiale StsPierre et Paul
Le Narthex

C’est l’abbé Edelin qui, vers la fi n du XIIIe siècle a fait édifier cette magnifique église où l’art gothique déploie ses finesses et son élancement. Comment ne pas admirer son choeur polygonal où de hautes verrières du XIVe siècle déroulent, avec leurs couleurs soutenues, des figures de l’Ancien et du Nouveau Testament ? Dans le transept sud, les fresques du XIVe siècle montrent la Passion et la Résurrection du Christ, ainsi que la Pentecôte et le Jugement dernier avec les OEuvres de miséricorde. La chapelle romane du XI-XIIe siècle où se situe l’exposition, est située au nord du cloître. Elle ne sert pas au culte.

DOMINIQUE PERY
« La Communion »

« Que tous soient un, comme toi, Père,
tu es en moi, et moi en toi.
Qu’ils soient un en nous, eux aussi,
pour que le monde croie que tu m’as envoyé. »
Évangile selon Saint Jean 17, 21

L'exposition

Où se vit la communion ?… Dans la communauté d’abord, soudée par l’Esprit Saint ! C’est Lui qui unifie et fortifie… Cette communauté peut parfois se réduire à quelques rares amis qui permettent de « sentir » la présence de la Présence…

La Communion c’est au fond, d’être en lien avec Jésus, c’est Lui qui va assurer le lien. Je me suis donc centrée sur le Visage du Christ de Wissembourg, y alliant des éléments symboliques tels que le calice ou l’auréole.

Quand le masque des faux semblants disparaît, je peux être proche de Lui, plus proche du tout Autre… La communion sous le signe de l’Esprit c’est de faire le lien entre les êtres et de répondre à un appel, à un Au-delà de nous… un appel à construire une société nouvelle ! La Jérusalem céleste !…

Nous sommes appelés à nous unifier dans la multiplicité, à nous centrer sur ce visage de Jésus plein de mystère et d’unité, nous sommes oui, appelés à une dynamique d’éternité et de communion, tout simplement…

Biographie

Dominique Pery est originaire de Versailles. Après les cours de l’école préparatoire aux écoles d’arts, elle poursuit des études d’art à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués à l’Industrie, à Paris.

Un séjour de plusieurs années en Allemagne lui a permis d’exposer en de multiples endroits ; au total plus de cent expositions en France, Allemagne, Corée, Russie, Italie…

Nature et nombre d'oeuvres

12 tableaux de 0,45 m x 0,58 m et 3 toiles de 1,30 m x 1,63 m

Contact


antoine.pery@clubinternet.fr

03 88 36 50 74 / 06 50 23 14 92

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