***REPORTÉ***24H pour Jésus

Lumière sur une initiative missionnaire qui a lieu à Strasbourg du 20 au 21 mars.

En ce début d’année 2020, alors que les mauvaises nouvelles nous accablent et que les chrétiens semblent de plus en plus en peine pour répondre aux aspirations de l’homme de notre temps, osons un message d’espérance.

Et si l’Église n’était « ringarde » qu’en apparence ?

Certes, en superficie, ce que le monde cherche s’éloigne de ce que l’Église propose. Mais le désir le plus profond de l’Homme n’a pas changé. Il est et demeure un assoiffé de bonheur. Comment dès lors, pourrait-il refuser Dieu ?

Le refus actuel de Dieu par beaucoup de nos contemporains est nécessairement dû à une méprise sur qui est Dieu en réalité. Or nous, chrétiens, savons ce qu’il en est, puisque Dieu s’est révélé en Jésus-Christ : « Qui m’a vu, a vu le Père » (Jn 14, 9). Nous ne pouvons plus nous taire et garder ce trésor pour nous.

Face à une telle soif spirituelle, mais aussi pour répondre au mandat missionnaire du Christ : « Allez, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit » (Mt 28,19), le doyenné de Strasbourg-Centre se lance cette année dans un projet missionnaire : « 24H pour Jésus », afin de répondre aux Strasbourgeois aspirant à ce que quelqu’un vienne leur dire : « Dieu t’aime ! »

Rejoignez-nous

Il vous est donc proposé de vous joindre à plusieurs initiatives missionnaires qui ont lieu du 20 au 21 mars.

Le programme est le suivant :

un temps pour se centrer sur le Seigneur (adoration du Saint-Sacrement, louange, confession, et formation à la mission),

et un temps « d’annonce » dans les rues de Strasbourg. Cette annonce sera accompagnée des reliques de saint Amand, premier évêque de Strasbourg, mais aussi d’enfants en habits traditionnels.

Ce sera l’occasion de rappeler que les racines culturelles et spirituelles de Strasbourg sont profondément chrétiennes. Si nous sommes nombreux, les coeurs seront touchés.

Dans l’attente de ce beau moment, nous vous espérons nombreux à venir, certains que le témoignage courageux de l’Église d’Alsace, en ces temps difficiles, sera une grande source de grâce.

Thibaud Perruchot, séminariste stagiaire

Partager