Chaque nouvelle édition est l’occasion de proposer un thème nouveau à explorer pour tous les actrices et acteurs qui souhaitent participer et organiser des actions durant la période.
Cette année, du 7 au 22 mai 2022, la Quinzaine du commerce équitable célèbre les valeurs qui nous rapprochent, d’un bout à l’autre de la planète.
D’un bout à l’autre de la planète, des liens invisibles nous relient à celles et ceux qui nous nourrissent et qui fabriquent nos produits du quotidien. Malheureusement, ces liens reposent trop souvent sur l’exploitation des personnes et la destruction de l‘environnement. .
Donner du sens à sa consommation, c’est aussi s’attacher à ses impacts. Dans les pays du Sud comme en France, le constat est sans appel : les grandes difficultés économiques des producteurs(rices) et les conséquences du changement climatique doivent nous amener à changer nos manières de produire et de consommer ! Notre avenir en dépend !
Peut-on faire MIEUX ?
Oui.
A travers une rémunération juste et des relations durables, entre entreprises et producteurs(rices). Les partenariats de commerce équitable valorisent le travail des producteurs(rices) d’ici et d’ailleurs, maintiennent l’emploi local et participent à la reconnaissance de ces métiers essentiels. Et ça change tout !
En rendant visible l’histoire qui se cache derrière un produit, par des engagements de transparence et traçabilité auprès des consommateurs(rices).
Par l’adoption de modes de production qui respectent la nature et les êtres vivants. Pour permettre d’en récolter les fruits de manière durable et de donner accès à des produits de qualité et bons pour la santé aux consommateurs(rices)
Producteurs(rices), entreprises, militant·e·s, citoyen·ne·s, consommateurs(rices)… Nous sommes toutes et tous concerné·e·s ! Ces valeurs nous rapprochent et elles n’ont pas de frontières, qu’il s’agisse de lait français ou de chocolat ivoirien !
Ensemble, pendant la Quinzaine du commerce équitable, partageons ces valeurs qui nous rapprochent !
27 rue des juifs • 67000 Strasbourg
07 70 29 19 94
aconrath1878@laposte.net
27 rue des juifs • 67000 Strasbourg
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pastohandicap@diocese-alsace.fr
27 rue des juifs • 67000 Strasbourg
03 88 21 19 31 / 06 62 27 65 45
pastohandi.67@diocese-alsace.fr
Maison diocésaine Teilhard de Chardin
17 rue de la cigale • 68200 Mulhouse
06 41 11 66 03
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06 80 38 74 72
06 08 43 10 26
duchatel.helene@gmail.com
(du 13 octobre au soir au 22 octobre au soir)
Cette fête suit immédiatement Kippour : « Pendant sept jours vous résiderez dans les cabanes » (Lv 23, 42).
C’est la joie du peuple réconcilié, libéré par Dieu, comme au temps de l’exode dans le désert, dont ces jours font mémoire, affirmation de la confiance inébranlable dans la Providence.
Dans une cour, ou parfois simplement perchée sur un balcon, la soucca s’ouvre directement sur la voute du ciel. On y prend ses repas (sauf s’il pleut), on y chante, on y lit, on y étudie, on y reçoit ses amis…
Ces jours où ‘tu ne seras que joie’ (Deut. 16, 15) s’achèvent par la fête de la joie de la Torah (25 oct.) : on termine la lecture annuelle de la Torah, avant de la reprendre aussitôt.
(du 8 octobre au soir au 9 octobre au soir)
« Le dixième de ce septième mois, qui est le jour du Grand Pardon, vous tiendrez une réunion sacrée, vous jeûnerez […] vous ne ferez aucun travail… » (Lv 23, 27).
La veille au soir, après le dernier repas avant le grand jour de jeûne total (nourriture et boisson), la synagogue est éblouissante, les hommes sont revêtus d’un suaire blanc et de leur talith (Châle de prière), …et retentit solennellement, par trois fois, le chant du Kol Nidrei, qui libère chacun en quelque sorte « juridiquement » mais surtout prépare émotionnellement à la conversion du cœur : nostalgie du lien rompu, sentiment de la pureté restaurée dans la relation à Dieu.
(du 29 sept. 2019 au soir au 1er oct. au soir)
Premier jour du septième mois selon la Bible (devenu ensuite premier mois de l’année), Roch Hachana est la « tête de l’année » juive.
On s’y souvient que Dieu est bon, qu’Il a donné la création, dont on célèbre l’anniversaire (Lv 23, 24).
Mais c’est aussi le jour du jugement de Dieu, avec la sonnerie du chofar (Corne de bélier) qui invite à s’y préparer.
Cette sonnerie – qui a fait trembler les Hébreux (Ex. 19, 16…) – résonne fortement dans la sensibilité et la conscience juives : elle évoque en même temps la création, la ligature d’Isaac, le don de la loi au Sinaï, la mort, le jugement et la libération finale du mal.
D’où le double aspect de Roch Hachana :