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Sanctuaire de sainte Faustine

Nous sommes partie bien plus tôt ce vendredi afin de nous rendre au sanctuaire de sainte Faustine. Le train de 9h était vide nous avons pu y célébrer un beau temps de prière tous ensemble. Arrivé à Cracovie nous prenons le tram pour la première fois, c’est très agréable de nous épargner de la marche en sachant que ce week-end nous avons une dizaine de kilomètres à réaliser pour nous installer au Campus Misericordiae (lieu de la célébration finale).

Le père Jonathan Knock nous a alors parlé de la vie de Sainte Faustine, pour nous permettre de mieux comprendre la définition de la miséricorde auquel la sainte est si étroitement associée.

L’attente était très importante pour accéder au cœur du sanctuaire, là où sa dépouille est exposée. Nous sommes restés sous un soleil de plomb, durant 40 minutes, mais cela en valait la peine.

En raison du monde nous ne pouvions pas rester longtemps, mais nous avons pu nous recueillir une dizaine de minutes devant la dépouille de Sainte Faustine et vénérer ses reliques.

Après cela nous nous sommes installés dans le parc du sanctuaire et les pères Charles Guthlin et Jonathan Knock ont proposé le sacrement de la réconciliation.

Il était 16h lorsque nous repartis du sanctuaire, la foule était si importante qu’il était impossible de prendre le train, nous sommes repartis à pied à la gare, ce qui nous a fait une heure de marche.

La foule était si dense, des milliers de polonais arrivent à Cracovie pour le week end de clôture, on parle d’un total de deux millions de personnes rassemblées.

Après avoir fait des acheter des cadeaux pour nos familles polonaises, le groupe est revenus à Myslovice, dans le parc public, pour y offrir un repas constitué de risotto et de spaghetti.

Divers animations étaient organisées dont un grand concert de louange mais la pluie était au rendez-vous, nous sommes donc repartis assez vite avec nos familles pour profiter de leur présence dans de meilleures conditions.

Laureen, Marion et moi sommes donc revenues dans l’appartement de notre famille, où nous avons pu prendre quelques photos et s’échanger des cadeaux.

Notre famille, qui nous avait déjà gâté constamment toute la semaine, en étant au petit soin pour nous, souhaitait encore nous offrir des souvenirs.

Mais pour nous trois, il est évident que nous n’avons pas besoin de biens matériels pour nous rappeler de la générosité, de la gentillesse et la sincérité de la famille Larysz et nous les quittons avec beaucoup de tristesse mais aussi avec un grand sentiment de joie d’avoir pu les rencontrer.

À cette tristesse s’en ajoute une autre, une jeune fille de notre groupe ne pourra pas venir avec nous au week-end de clôture ; elle s’est cassé le petit doigt de pied vendredi matin et n’a pas le droit de bouger puisqu’il est possible qu’elle se fasse opérer à son retour en France lundi.

C’était une soirée riche en émotion, comme ça l’est toujours aux JMJ.

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